Par The Saker – Le 13 avril 2021 – Source The Saker’s Blog
La grande nouvelle du jour est que Biden a décidé d’appeler Poutine. Voici comment les Russes ont rapporté l’événement :
Par The Saker – Le 13 avril 2021 – Source The Saker’s Blog
La grande nouvelle du jour est que Biden a décidé d’appeler Poutine. Voici comment les Russes ont rapporté l’événement :
Par The Saker − Le 2 avril 2021 − Source The Saker Blog
Chers amis,
La situation en Ukraine s’aggrave très rapidement et de nombreux signes indiquent que tout le monde se prépare à une sorte de crise. J’attire votre attention sur le blog d’Andrei Martyanov et, plus particulièrement, sur son article [Traduit à la suite de celui-ci, NdT]. Je vous renvoie également à cet article récent sur Zero Hedge.
Jusqu’à présent, voici les évènements clés :
Par Pepe Escobar – Le 27 mars 2021 – Source The Saker Blog
Commençons par le coté comique de cette histoire : le “leader du monde libre” [Biden, Ndt] s’est engagé à empêcher la Chine de devenir la nation “leader” de la planète. Signe qu’il est prêt à remplir une mission aussi exceptionnelle, son “espoir” est de se représenter à la présidence en 2024. Et pas sous la forme d’un hologramme, mais avec la même colistière.
Maintenant que le “monde libre” a poussé un soupir de soulagement, revenons aux choses sérieuses, aux aspects géopolitiques d’un 21e siècle très « shocked and awed ».
Par Moon of Alabama – Le 4 mars 2021
“L’Amérique est de retour”, a déclaré Joe Biden, ce qui n’a amusé personne. Mais le monde a changé après quatre ans de Trump et qu’une pandémie a bouleversé le monde. La position des États-Unis dans ce monde et le rôle qu’ils y jouent ont donc également changé. Prétendre être de retour sans s’adapter à la nouvelle situation promet un échec.
En tant que candidat, Joe Biden a promis qu’il n’y aurait pas de changement.
Joe Biden aux riches donateurs : “Rien ne changera fondamentalement” s’il est élu
Alastair Crooke tente de démêler l’écheveau des courants politiques qui déchirent le tissu social états-unien et d’en présager l’évolution possible.
Par Alastair Crooke – Le 22 février 2021 – Source Strategic Culture
Le député Jamie Raskin a conclu l’affaire de la mise en accusation de Donald Trump en citant un passage de Tom Paine, datant de 1776 : “La tyrannie, comme l’enfer, n’est pas facile à vaincre, mais nous avons cette consolation salvatrice : plus la lutte est difficile, plus glorieuse, en fin de compte, sera notre victoire”. La lumière et l’obscurité, le bien et le mal. C’est ainsi que l’essence de ce “procès spectacle” est révélée. Il s’agit d’un théâtre extravagant qui touche au manichéen en utilisant des clips télévisés montés pour présenter un drame composé, d’une part, de légitimité et de pouvoir, et d’autre part, de Trump et de ses partisans présentés comme des “ennemis”, mais aussi comme des “tyrans sortis de l’enfer”.
La question est finalement la suivante : Ce procès a-t-il atteint son but ? Le “coupable” a-t-il été intimidé par cette majestueuse dramaturgie que fut ce procès spectacle et craint-il un futur Patriot Act domestique ? Ce procès a-t-il garanti une longue période de règne pour un parti unique ?
Les élites en viennent à croire leur propre récit – oubliant que celui-ci n’a été conçu que pour être une illusion faite pour capter l’imagination de leur population.
Par Alastair Crooke – Le 15 février 2021 – Source Strategic Culture
Pat Buchanan a absolument raison : lorsqu’il s’agit d’insurrections, l’histoire dépend de celui qui écrit le récit. En général, c’est la classe oligarchique qui s’en charge (si elle finit par l’emporter). Pourtant, je me souviens d’un certain nombre de personne étiquetées “terroristes” qui sont finalement devenus des “hommes d’État” très connus. Ainsi tourne la roue de l’histoire, comme elle le fait encore.
Bien entendu, le fait de fixer un récit – une réalité incontestable, qui est perçue comme trop sûre, trop investie pour échouer – ne signifie pas qu’il n’est pas contesté. Il existe une vieille expression britannique qui décrit bien cette remise en question (silencieuse) du “récit” alors dominant (en Irlande et en Inde, entre autres). Elle était connue sous le nom d'”insolence muette”. Lorsque les actes individuels de rébellion étaient inutiles et trop coûteux sur le plan personnel, un silencieux et amère dédain, qui en disait long, exprimait cette “insolence muette” pour leurs “seigneurs et maîtres”. Elle rendait la classe dirigeante britannique furieuse car elle lui rappelait quotidiennement son déficit de légitimité. Gandhi a mené cette expression à son plus haut niveau. Et c’est finalement son récit qui est resté le plus mémorable dans l’histoire.
… tous les voyants sont au vert pour le complexe militaro-industriel alors que le président Biden oriente sa politique étrangère agressive vers des écueils dangereux
Par Brian Cloughley − Le 2 février 2021 − Source Strategic Culture
Le Washington Post a écrit joyeusement à la une qu’à la suite de l’appel téléphonique Biden-Poutine le 26 janvier, “La relation Biden-Poutine est déjà dans les choux”. Il n’est pas surprenant que le Post, profondément russophobe, adopte une approche entièrement négative des relations américano-russes, quels qu’en soient les signaux, mais ses reportages sur cet appel téléphonique ont dû illuminer les visages dans les bureaux à Washington et aux alentours, du Pentagone au bureau de Boeing à Arlington, en passant par Raytheon dans Pennsylvania Avenue, Lockheed Martin à Bethesda, Northrop à Falls Church et tous les autres membres du complexe militaro-industriel qui voient se profiler encore plus de profits.
L’ambassade britannique au Liban infiltre les renseignements militaires, fournit du matériel de surveillance et endoctrine les jeunes Palestiniens
Par Moon of Alabama − Le 1er février 2021
L’ambassadeur britannique au Liban est “très excité” par l’idée de remettre à l’armée libanaise d’inutiles véhicules de patrouille à moitié blindés :
Par Moon of Alabama – Le 12 décembre 2020
Il y a trois mois, nous avions parlé de documents obtenus du “gouvernement de Sa Majesté” en Grande-Bretagne qui révélaient l’implication intense du gouvernement britannique dans l’organisation, le financement et la propagande des “rebelles syriens” depuis le début de la guerre contre la Syrie. Ces programmes étaient coordonnés avec l’armement des différents djihadistes par la CIA et les pays du Golfe :
Par Moon of Alabama − Le 7 décembre 2020
Alastair Crooke a rédigé un autre résumé concis du problème de la politique étrangère américaine concernant l’Iran intitulé “L’accord de Biden avec l’Iran fait face à la pilule amère de l’Iran” :