Par Sonja van den Ende − Le 14 octobre 2021 − Source OneWorld Press
J’ai déjà beaucoup écrit à ce sujet, nous le voyons progresser, mais uniquement dans le monde dit développé. Une société dystopique, vouée en fin de compte à l’échec. Un monde de surveillance, de dictature sanitaire, de QR-codes, de paiements électroniques, invivable pour la plupart des gens, qui ressemble aux anciens systèmes comme le fascisme ou le communisme totalitaire, simplement paré de nouveaux atours. On peut désigner ce monde comme technocratique, et fondé sur un système totalitaire à base d’Intelligence Artificielle. Reste que l’histoire nous a enseigné que tous les systèmes et idéologies qui sont devenus totalitaires ont échoué.
Les preuves affluent pour illustrer la nouvelle société dystopique, sur la vague de la soi-disant pandémie. J’aurais tendance à la considérer comme un nouveau système dictatorial et technocrate, et sanitaire également, mis en place dans de nombreuses régions du monde. Les tests de ce nouveau système mondial, intégrant un composant de crédit social, ont été menés en Afrique pour mettre en place ce système de crédit social, sur la base d’une pandémie, avec la coopération du GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, et en coopération avec le Forum Économique Mondial. Non sans ironie, ils l’ont baptisé “passe pour le bien-être”, attention Afrique, on va voir le niveau d’utopie que vous allez atteindre! Comme chacun le sait désormais (j’espère sincèrement que nombre d’entre nous se sont enfin éveillés), il ne s’est jamais agi d’un virus. Il s’agit d’une problématique de contrôle, de villes connectées, de véhicules électriques, où l’Afrique va de nouveau se trouver exploitée pour le Lithium, ainsi que l’Afghanistan ; c’est la raison pour laquelle l’occident a dû quitter ce pays, un conflit géopolitique est en cours, avec pour enjeu non pas l’Afghanistan comme territoire, et encore moins son peuple, mais son lithium. Build Back Better, ainsi que la dépopulation du monde, choses en lesquelles Bill Gates et son père sont des experts, sont autant de composantes de ce nouveau monde dystopique.
Même l’Église Catholique trempe dans cette grande expérience, bien entendu en Afrique depuis de nombreuses années, mais également en Occident, après des années d’abus commis sur des enfants et de scandales pédophiles, ils ne font que poursuivre leurs politiques non-chrétiennes. Il ne faut pas oublier que l’Église Catholique est une excroissance de l’Empire romain, ou de ce que nombre de personnes appellent de nos jours l’Empire britannique ; c’est fondamentalement la même chose : l’idéologie unipolaire occidentale, et le colonialisme dans tous leurs excès. Donc, l’Église Catholique est impliquée dans ce nouveau monde dystopique, car elle possède beaucoup de richesses, et dispose de son propre État, le Vatican. L’Église protestante ne jouit pas de cette position et est désormais vue comme “ennemie” de l’État, surtout aux Pays-Bas. Le gouvernement hollandais vient d’entamer l’“approche douce” pour persécuter les Protestants, un sentiment de déjà-vu se fait sentir, qui rappelle l’époque des Huguenots. Ce sont bien les descendants des Huguenots qui vont subir le même sort, mais cette fois-ci dans les pays qu’ils avaient élus domicile il y a des siècles, pour y mener une vie de liberté, en jouissant de la tolérance des peuples. Aux Pays-Bas, ces Protestants vont être contraints à rester confinés, car nombre d’entre eux, pour des raisons religieuses, refusent de se laisser vacciner. Le gouvernement hollandais a également lancé un projet de recherche (en partenariat avec des organisations) pour établir si l’Église protestante fut impliquée dans l’esclavage aux Indes néerlandaises orientales. Bien évidemment que oui, c’est l’ensemble de la société qui l’était à l’époque, mais les plus grands criminels, et cela n’a pas changé, étaient l’élite, la famille royale hollandaise, qui feignent d’être chrétiens, mais leur religiosité n’est qu’un spectacle, joué pour duper le citoyen ignorant.
Le parlement hollandais a rejeté une motion qui avait été introduite par plusieurs partis, y compris le Forum for Democracy (FVD), qui énonçait le refus d’un système de crédit social aux Pays-Bas. Le gouvernement peut désormais introduire le système de crédit social, qui a déjà été lancé, bien entendu, avec le soi-disant passe Corona à QR-code. La prochaine étape sera le niveau d’émission en CO2, et la mesure de la quantité de viande consommée, pour en arriver à une censure de l’Internet, avec l’introduction d’un passe digital pour accéder à internet. Le système de crédit social de l’union européenne sera bien pire que l’expérience menée en Chine, qui n’a été menée que dans quelques villes. Le système de crédit social de l’UE vise à un contrôle absolu de votre corps, de votre comportement, de votre vie privée et en fin de compte de votre vie physique. Si vous ne vous soumettez pas, il n’y aura ni pitié ni recours, votre vie sera celle d’un marginal, sans aucun des avantages que vous vous êtes habitué à connaître. Préparez-vous.
Dans d’autres régions du monde occidental, comme en Australie, la société dystopique est d’ores-et-déjà une réalité. L’Australie a par le passé, et continue en ce moment, en tant que membre de l’Empire britannique, et sous influence des États-Unis, à préparer un conflit contre la Chine. L’Australie est le pays occidental le plus proche de la Chine, et nous connaissons tous son nouvel “AUKUS“, présenté comme un nouveau pacte de sécurité entre le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Australie ; c’est une tentative de contrer la Chine. Pour se préparer et doubler la Chine, ils ont déjà lancé leur système de crédit social draconien, et pire encore, leur État de surveillance constitue déjà une réalité. Des rapports alarmants pointent du doigt ce pays, qui fut jadis appelé terre des hommes libres, et qui constitue désormais le pays le plus répressif du monde occidental. Vous vous demandez ce que font Amnesty International ou les Droits de l’Homme? Bien évidemment qu’ils ne vont pas en parler, ils ne sont qu’un outil dans la main du même monde occidental, et ils ne parlent que des pays non-soumis, comme la Russie, la Syrie, ou bien les pays sous-développés. Mais l’Australie a toujours été un pays “raciste”, basé sur le principe du meurtre des Aborigènes, et l’envoi des criminels sur la terre conquise. Le Canada en est un autre exemple, d’une manière différente de l’Australie, mais avec la même idéologie sous-jacente. Bien sûr, le pays le pire du monde est la soi-disant démocratie d’Israël, où la vie est un “enfer” pour la plupart des citoyens. C’était déjà le cas pour les Palestiniens, c’est en train de le devenir également pour les Juifs orthodoxes.
Conclusion
J’aimerais produire une conclusion, mais pouvons-nous en établir une? Je ne crois pas, le monde que nous connaissons désormais est instable, bourré de conflits et ultra-polarisé, avec de nombreux différends géopolitiques. Je crains que nous soyons revenus, comme les rugissantes années vingt du siècle passé, qui avaient débouché sur les terribles années trente, au chômage, à l’introduction (par la force) d’un nouveau système, conçu par les élites du monde occidental. Ce monde semble à présent mûr pour un conflit, et très probablement la guerre, par une guerre comme la seconde guerre mondiale, mais une guerre différente, une guerre biologique (nous en subissons peut-être déjà les effets), un agenda de dépopulation, mis en œuvre par les vaccinations et l’introduction de l’intelligence artificielle. L’eugénisme (qui n’est pas une nouveauté) est nécessaire aux yeux de l’élite, comme au cours des deux guerres mondiales, où l’eugénisme fut produit par la mort des soldats sur les champs de bataille, et bien sûr l’holocauste. À présent, à en croire la même élite, il y a trop de bouches à nourrir, et pas de travail (intelligence artificielle), et bien évidemment l’élite n’a aucune intention de partager ses richesses avec les pauvres. Les heures sombres de l’histoire de l’humanité sont de retour.
Sonja van den Ende
Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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