L’OTAN envisage des « frappes préventives » contre la Russie pour « se défendre » contre quelque chose qui ne s’est pas produit


Par Moon of Alabama – Le 2 décembre 2025

Alors qu’il devient évident que l’Ukraine perd la guerre par procuration contre la Russie, les idées que les gouvernements européens lancent deviennent de plus en plus folles.

Certains sont maintenant impatients d’attaquer « préventivement » la Russie en « représailles » pour de prétendues « attaques hybrides » contre des pays européens. Ces « attaques hybrides » sont pour la plupart de purs fantasmes.

Politico a été le premier à signaler cette absurdité :

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Les plans américains pour le blocus de la Chine continuent de prendre forme


Par Brian Berletic – Le 10 novembre 2025 – Source New Eastern Outlook

En 2018, l’US Naval War College Review a publié un article intitulé « Un blocus pétrolier maritime contre la Chine – Tactiquement tentant mais stratégiquement défectueux« . Ce n’est que l’un des nombreux articles publiés au cours des années précédentes à discuter des détails de la mise en œuvre d’un blocus maritime dans le cadre d’une stratégie plus large d’encerclement et de confinement de la Chine.

À première vue, le document ressemble à une réflexion politique américaine, montrant que l’idée de bloquer la Chine est dépassée. Le document se contente d’énumérer un certain nombre d’obstacles entravant une telle stratégie en 2018 – des obstacles qui devraient être levés si une telle stratégie devait être viable dans un avenir proche ou intermédiaire – des obstacles que les décideurs américains ont supprimés depuis.

Des articles plus contemporains publiés, y compris ceux parmi les pages de l’Institut naval américain (ici et ici), ont mis à jour et affiné non seulement une stratégie émergente pour affronter et contenir théoriquement la Chine, mais un plan d’action prenant forme tangible.

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Le Comité Nobel, craignant la colère de Trump, remet le Nobel de la paix à une marionnette de changement de régime


Par Moon of Alabama – Le 10 octobre 2025

Le président des États-Unis Donald Trump demandait à recevoir le prix Nobel de la paix. Mais suivre cette demande aurait été désastreux pour le prestige déjà terni du Nobel. Le gouvernement norvégien, qui influence fortement les décisions du comité du prix Nobel de la paix, était dans le pétrin :

À quelques heures de l’annonce du prix Nobel de la paix de cette année, les politiciens norvégiens se préparaient à des répercussions potentielles sur les relations américano-norvégiennes s’il n’était pas décerné à Donald Trump.

Trump a longtemps exprimé ouvertement sa conviction qu’il devrait recevoir le Nobel de la paix, un honneur précédemment décerné à l’un de ses prédécesseurs présidentiels, Barack Obama, en 2009 pour ses “efforts extraordinaires pour renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples”.

En juillet, M. Trump aurait appelé Jens Stoltenberg, ministre norvégien des Finances et ancien secrétaire général de l’Otan, pour lui poser des questions sur le prix Nobel.

Le chroniqueur et analyste Harald Stanghelle a émis l’hypothèse que les représailles de M. Trump – si elles devaient venir – pourraient prendre la forme de taxes douanières, de demandes de contributions plus élevées à l’Otan ou même de déclarer la Norvège comme ennemi.

Après quelques discussions en coulisses, il a été décidé de donner le prix à une personne différente de Trump, mais avec l’intention très évidente de satisfaire également Trump en poursuivant un objectif majeur de sa politique étrangère :

Le prix Nobel de la paix a été décerné vendredi à la dirigeante de l’opposition vénézuélienne, María Corina Machado, qui vit cachée après avoir tenté de se présenter contre le président Nicolás Maduro.

Machado, 58 ans, a été reconnu pour avoir maintenu “la flamme de la démocratie allumée au milieu d’une obscurité croissante” et “un autoritarisme en constante expansion au Venezuela.”

Elle dirige le parti d’opposition Vente Venezuela, mais a été empêchée de se présenter à la présidence du pays et expulsée de ses fonctions en 2014. Elle vit désormais cachée et fait face à de “graves menaces contre sa vie”, a déclaré le Comité Nobel norvégien.

L’administration Trump vise depuis longtemps à évincer Nicolas Maduro, le dirigeant socialiste du Venezuela. Elle a positionné ses moyens militaires autour du pays et envisage un changement de régime sous de faux prétextes :

Peu de temps après son entrée en fonction, Trump a déclaré que Tren de Aragua était une organisation terroriste étrangère qui avait “inondé les États-Unis de drogues mortelles, de criminels violents et de gangs vicieux. » En juillet, le président a ordonné au Pentagone de cibler certains cartels de la drogue latino-américains. En août, huit navires de guerre – dont des destroyers, un croiseur et un navire de combat littoral – opéraient dans la mer des Caraïbes. En septembre, le premier de quatre bateaux a été ciblé et 21 trafiquants de drogue présumés ont été tués. La semaine dernière, l’administration a envoyé un avis confidentiel au Congrès signalant son intention de mener d’autres frappes. La campagne pourrait s’étendre à l’intérieur des eaux territoriales vénézuéliennes ou inclure des frappes de drones à l’intérieur de ses frontières terrestres, nous ont dit des responsables de la Défense.

Mais il est loin d’être clair que les liens entre le gouvernement de Maduro et Tren de Aragua sont aussi étendus que l’administration Trump le suggère, ou même qu’ils existent. Ronna Risquez, auteur du livre El Tren De Aragua, nous a dit qu’il n’y a “aucune preuve” que Maduro dirige des gangs ou des opérations de trafic de drogue ; une note interne du Conseil national du renseignement des États-Unis est arrivée à une conclusion similaire. Il n’est pas sûr non plus que les opérations de drogue vénézuéliennes, centralisées ou non, soient suffisamment importantes pour mériter que le pays soit désigné comme une menace pour la vie des Américains. Le Venezuela n’est pas un important producteur de cocaïne ou de fentanyl. Et même si la majeure partie de la cocaïne mondiale pousse en Colombie voisine, le Venezuela n’est pas non plus une plaque tournante majeure du transit.

La campagne anti-« narco-terroriste » de Trump vise clairement un changement de régime. Ceci malgré les nombreuses offres du gouvernement vénézuélien pour permettre aux États-Unis de profiter des richesses vénézuéliennes (archivé) :

Les responsables vénézuéliens, espérant mettre fin à l’affrontement de leur pays avec les États-Unis, ont offert à l’administration Trump une participation dominante dans le pétrole et les autres richesses minérales du Venezuela lors de discussions qui ont duré des mois, selon plusieurs personnes proches des pourparlers.

L’offre de grande envergure est restée sur la table alors que l’administration Trump a qualifié le gouvernement du président vénézuélien Nicolás Maduro de “cartel narco-terroriste”, a amassé des navires de guerre dans les Caraïbes et a commencé à faire exploser des bateaux qui, selon des responsables américains, transportaient de la drogue du Venezuela.

Dans le cadre d’un accord discuté entre un haut responsable américain et les principaux collaborateurs de M. Maduro, l’homme fort vénézuélien a proposé d’ouvrir tous les projets pétroliers et aurifères existants et futurs aux entreprises américaines, d’accorder des contrats préférentiels aux entreprises américaines, d’inverser le flux des exportations de pétrole vénézuélien de la Chine vers les États-Unis et de réduire les contrats énergétiques et miniers de son pays avec des entreprises chinoises, iraniennes et russes.

Cette offre n’était pas suffisante pour un Trump avide :

L’administration Trump a fini par repousser les concessions économiques de M. Maduro et a interrompu la diplomatie avec le Venezuela la semaine dernière. Cette décision a effectivement tué l’accord, du moins pour l’instant, ont déclaré les personnes proches de la discussion.

L’administration Trump a ignoré l’offre généreuse parce qu’elle est convaincue que ses plans de changement de régime aboutiront à une domination totale sur le Venezuela.

La nouvelle lauréate du prix Nobel de la paix, María Corina Machado, joue un rôle important dans ces projets.

Qui est cette dame, vous pourriez vous demander. En juillet 2024, le NY Times a publié un portrait amical d’elle (archivé) :

Mme Machado, une ancienne députée conservatrice de l’Assemblée nationale autrefois rejetée par ses propres collègues, a non seulement rallié l’opposition frondeuse du Venezuela derrière elle, mais a également captivé une large partie de l’électorat avec une promesse de changement radical de gouvernement.

Si l’opposition gagne, M. González, 74 ans, sera président. Mais de Washington à Caracas, tout le monde comprend que Mme Machado est la force motrice du mouvement.

Elle est devenue militante politique en 2002, aidant à fonder un groupe de défense des droits des électeurs, Súmate, qui a finalement mené un effort infructueux pour destituer M. Chávez. Elle est une chérie de Washington – le gouvernement américain a fourni une aide financière à Súmate – et est devenue l’un des adversaires les plus détestés de M. Chávez.

Mais ce n’est pas seulement le gouvernement qui la déteste. Parmi ses collègues de l’opposition, elle est souvent considérée comme trop conservatrice, trop conflictuelle et trop “sifrina” — qualificatif vénézuélien pour une “classe snobement élevée” — pour devenir la dirigeante du mouvement.

Elle a expliqué que la politicienne qu’elle admire le plus est Margaret Thatcher, l’icône conservatrice connue pour son entêtement et sa fidélité au marché libre. Et Mme Machado soutient depuis longtemps la privatisation de PDVSA, la compagnie pétrolière d’État, une décision qui, selon d’autres dirigeants de l’opposition, mettrait la ressource la plus précieuse du Venezuela entre les mains de quelques-uns.

Machado, alors qu’elle était sur la liste de paie des États-Unis, a été impliqué dans une tentative de coup d’État militaire en 2002 à Caracas :

Des questions entourent encore les actions de Mme Machado en 2002, lorsque des officiers militaires dissidents et des personnalités de l’opposition ont mené un coup d’État de courte durée destiné à évincer M. Chávez. Mme Machado était au palais présidentiel lors de l’installation d’un nouveau président, Pedro Carmona.

Dans l’interview de 2005 avec le Times, Mme Machado a insisté sur le fait qu’elle et sa mère étaient au palais ce jour-là uniquement pour rendre visite à la femme de M. Carmona, une amie de la famille – et non pour soutenir le coup d’État.

Plus récemment, dans une interview accordée à la BBC en 2019, Mme Machado a appelé les “démocraties occidentales” à comprendre que M. Maduro ne quitterait le pouvoir que “face à une menace crédible, imminente et grave de recours à la force.”

Machado a même demandé au criminel de guerre sioniste Benjamin Netanyahou un soutien militaire lors d’un coup d’État (traduction automatique modifiée) :

María Corina Machado a demandé au premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, une intervention militaire au Venezuela, à travers un document publié sur son réseau social X en 2018.

Machado a décrit l’intervention militaire de « pouvoir et d’influence » contre le gouvernement vénézuélien.

« Aujourd’hui, j’envoie une lettre à Mauricio Macri, Président de l’Argentine, et à Netanyahu, Premier ministre d’Israël, pour leur demander d’utiliser leur force et leur influence pour faire avancer le démantèlement du régime criminel au Venezuela, intimement lié au trafic de drogue et au terrorisme« , a-t-elle écrit.

En outre, le document souligne que Machado était « convaincue que la communauté internationale, selon la doctrine de la responsabilité de protéger, est appelée à apporter aux Vénézuéliens le soutien nécessaire pour générer le changement« , un changement de gouvernement.

Machado est toujours de mèche avec (et probablement toujours payé par) les États-Unis pour poursuivre le changement de régime au Venezuela (archivé) :

[Le secrétaire d’État américain] Rubio a rencontré cinq personnalités de l’opposition en mai qui se sont secrètement enfuies aux États-Unis pour leur demander un “plan précis.” Il a fait l’éloge de la dirigeante de l’opposition, María Corina Machado, qu’il a appelée par son surnom, la “Dame de fer vénézuélienne”, lors d’un hommage cette année.

Pedro Urruchurtu, conseiller de Mme Machado, a déclaré dans une interview que l’opposition avait élaboré un plan pour les 100 premières heures suivant l’éviction de M. Maduro, qui impliquerait un transfert du pouvoir à Edmundo González, qui s’est présenté à la présidence contre M. Maduro l’année dernière.

Ce dont nous parlons est une opération de démantèlement d’une structure criminelle, et cela comprend une série d’actions et d’outils”, a déclaré M. Urruchurtu, ajoutant : “Cela doit être fait avec l’usage de la force, car sinon il ne serait pas possible de vaincre un régime comme celui auquel nous sommes confrontés.”

Les plans de l’opposition consistent notamment à persuader d’autres gouvernements de prendre des mesures diplomatiques, financières, de renseignement et d’application de la loi, a-t-il déclaré.

Pour récapituler – le comité du Prix Nobel de la paix donne le prix à un politicien de l’opposition en Amérique du Sud qui est à la solde du gouvernement américain et a été impliqué dans de précédentes tentatives de coups d’État militaires dans son pays. Son conseiller plaide pour l’utilisation de la force pour renverser le gouvernement. Le plan de Mme Machado est de vendre tout ce que les Vénézuéliens ont à l’empire étranger qui la paie.

Le Comité Nobel et la Norvège se sont peut-être, pour l’instant, sauvés de la colère de Trump, mais la décision d’attribuer le prix à Mme Machado est encore une autre énorme tache à son bilan.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

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Israël a accaparé TikTok


Par Harrison Berger – Le 21 septembre 2025 – Source American Conservative

Les rapports selon lesquels TikTok transférera une participation de 80% dans ses opérations américaines à Oracle, Silver Lake et Andreessen Horowitz sont célébrés à Washington comme étant une victoire stratégique sur la Chine, où sa société mère est basée. Mais un examen plus approfondi de l’accord révèle un autre gagnant : le gouvernement étranger d’Israël et son lobby aux États-Unis.

Bien que la première campagne visant à interdire TikTok ait pour origine des inquiétudes concernant la manipulation et le vol de données en Chine, cet effort a finalement échoué après que TikTok a accepté de remettre toutes les données des utilisateurs à un entrepreneur basé aux États-Unis via son programme Project Texas. Mais TikTok n’était pas encore sorti de la zone de danger.

Comme Mike Gallagher – un ancien membre du Congrès américain et auteur de l’effort relancé et réussi pour interdire TikTok – l’a écrit en novembre 2023, la raison pour laquelle les États-Unis devaient interdire l’application la plus populaire parmi la génération Z n’était pas parce que l’algorithme incitait les jeunes Américains à soutenir la Chine mais parce que cela les a amenés “à soutenir le Hamas.

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Tren De Aragua est-il une opération de la CIA pour justifier une attaque contre le Venezuela ?


Par Larry C Johnson – Le 29 septembre 2025 – Source Son of the New american revolution

Vous vous demanderez probablement pourquoi le titre parle du Venezuela mais que l’article commence en discutant du nouveau dirigeant syrien ? Une bonne question dont voici la réponse : Étant donné l’accumulation massive de forces américaines au large des côtes du Venezuela, la menace supposée par le groupe Tren de Aragua est-elle réelle ou s’agit-il d’une opération de renseignement conçue pour créer une justification pour effectuer un changement de régime au Venezuela ?

Nous savons par des preuves accessibles au public que la CIA a l’habitude de soutenir des groupes islamiques radicaux au contraire de la politique américaine déclarée publiquement de s’opposer à ces groupes. Hay’at Tahrir al-Sham, qui est dirigé par le président syrien nouvellement installé, Ahmed Hussein al-Sharaa, anciennement connu sous le nom d’Abu Mohammad al-Julani, en est le dernier exemple.

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Pourquoi les Républicains ont-ils financé des « danses transgenres » au Bangladesh ?


Par Wyatt Reed – Le 7 février 2025 – Source The Grayzone

Un « spectacle de danse transgenre » parrainé par l’IRI le 9 décembre 2020 au Théâtre national de Dhaka

Alors que Trump s’attaque aux dépenses pour financer des initiatives « woke » à l’étranger, un spectacle aligné sur le Parti républicain a largement échappé à cet examen, bien qu’il ait utilisé l’argent des contribuables pour parrainer des “spectacles de danse transgenres” et ce qu’il a appelé le “plus grand sondage publié sur les personnes LGBTI au Bangladesh« .

Selon des documents obtenus par The Grayzone, l’Institut républicain international (IRI) financé par les États-Unis considère les homosexuels et les transgenres comme des acteurs perturbateurs uniques qui peuvent être déployés pour manipuler les réalités politiques à l’étranger, déclarant: “Les personnes LGBTI ont tendance à participer à des activités de changement social pour éventuellement apporter des changements à la politique.”

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Le vice-président JD Vance menace l’Europe au sujet des modèles d’IA ouverts chinois


Par Moon of Alabama – Le 12 février 2025

Hier, le vice-président américain JD Vance a participé au sommet sur l’intelligence artificielle à Paris afin de promouvoir l’adoption exclusive de modèles d’IA fermés que les États-Unis tentent de monopoliser.

Vance est un excellent orateur et son sermon était bien écrit. Sa présentation peut être consultée ici.

Arnaud Bertrand résume :

Si vous n’étiez pas convaincu que la vision américaine de l’IA est celle d’un outil géopolitique qu’elle a bien l’intention d’utiliser comme une arme, regardez le discours de Vance au Sommet de l’IA de Paris.

Il le dit même littéralement : L’IA est une « arme dangereuse entre de mauvaises mains, mais un outil incroyable pour la liberté et la prospérité entre de bonnes mains ».

Qui sont les bonnes mains ?

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Washington déploie des forces proxy au Xinjiang pour saborder le projet d’infrastructure de la Chine


Par Mike Whitney – Le 21 décembre 2024 – Source Unz Review

Un groupe séparatiste ouïghour qui a contribué à renverser le gouvernement de Bachar al Assad a déclaré son intention de retourner au Xinjiang afin de mener des opérations militaires contre la République populaire de Chine. L’annonce suggère que Washington et ses alliés se préparent à ouvrir un autre front dans une guerre globale qui a déjà plongé de grandes parties de l’Europe de l’Est et du Moyen-Orient dans le chaos. L’annonce a été la plupart du temps ignorée par les médias occidentaux, mais les analystes pensent que nous sommes peut-être entrés dans une nouvelle phase de la lutte de l’Amérique pour préserver son hégémonie décroissante, une phase dans laquelle la probabilité d’un affrontement direct entre les États-Unis et la Chine a considérablement augmenté.

Des combattants ouighours font le vœu de s’en prendre prochainement à la Chine. Le Parti islamique du Turkistan déclare que sa principale mission est de « libérer les musulmans du Turkistan oriental de l’occupation chinoise ».

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Les États-Unis perdent leur combat contre l’Agence mondiale antidopage


Par Moon of Alabama – Le 9 janvier 2024

En avril dernier, le gouvernement américain, avec l’aide précieuse du New York Times, lançait une campagne contre l’Agence mondiale antidopage (AMA) et contre la concurrence sportive chinoise.

Les meilleurs nageurs chinois ont été contrôlés positifs à un médicament interdit, puis ont remporté l’or olympiqueNew York Times

Le contrôle positif, qui a révélé une digestion très mineure d’un médicament améliorant les performances, a été effectué par l’agence antidopage chinoise. Celle-ci a immédiatement interdit aux athlètes de participer à d’autres compétitions. Une enquête approfondie a révélé que les médicaments avaient été ingérés involontairement. L’AMA a accepté ces résultats. Les athlètes furent libres de participer aux futures compétitions.

Mais comme les États-Unis n’aiment pas se mesurer à des athlètes chinois de classe mondiale, ils en ont profité pour lancer une campagne de diffamation à leur encontre.

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Le cynisme dépasse le sacré quand l’Occident montre son vrai visage


Par Simplicius – Le 8 décembre 2024 –  Source Dark Futura

On peut à peine y croire. L’Occident a abandonné toute prétention avec sa vache sacrée qu’est la « démocratie« , utilisée depuis des générations comme un instrument de supériorité morale avec lequel intimider le reste du monde.

Le candidat roumain Calin Georgescu a terrassé son adversaire au premier tour des élections présidentielles, seulement pour que l’ensemble du résultat soit « annulé » par un tribunal roumain, en invoquant absurdement “l’ingérence russe sur TikTok » − sans fournir de preuves réelles. (Voir ici pour une plongée en profondeur sur ladite « preuve« .)

Quelques réactions contextuelles :

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