L’État ne le fera pas à notre place, car il n’est pas patriotique
Par Gilles Verrier − Avril 2018
En cinquante ans, le néo-nationalisme a fini de briser les liens ancestraux. Au lieu de comprimer le West Island, il a comprimé les Canadiens français. Il a contribué à la réalisation du plan canadien de la segmentation provinciale des « descendants des vaincus ». Le régime fédéral, édifié sur la volonté de suprématie anglo-saxonne, est devenu aujourd’hui moins contesté que jamais auparavant.
Au Québec, l’autonomisme – souverainisme – indépendantisme − « beau risque » enfin, tout ce vocabulaire mobile d’une ambivalence politique paralysante, est en fin de cycle. Son crédit épuisé, le Parti québécois est devenu aphone, ne produisant plus aucune étude originale sur la nature de sa raison d’être.




Par le Saker – Le 13 avril 2018 – Source
Par Pepe Escobar − Le 5 avril 2018 − Source 


