Par Valérie Bugault − Octobre 2023
Et la vidéo du support utilisé par la conférencière et projeté dans la salle.
Le gouvernement suisse viole le code pénal et l’état de droit pour sauver Crédit Suisse. Décryptage avec l’économiste Liliane Held-Khawam.
Par Valérie Bugault − Le 5 avril 2023
Ce que Liliane Held-Khawam dit en fin d’émission sur les « marchés » est aussi ce que je démontre dans « les raisons cachées du désordre mondial ». En revanche, ce qu’elle explique sur la BNS est nouveau, c’est son apport véritable qui consiste à démystifier et démonter le mécanisme d’intégration des différentes banques centrales… et en effet, comme Liliane le dit bien, ceci a été possible en Suisse car les mécanismes de la BNS y sont plus accessibles au public que partout ailleurs (banque de France, Bundesbank, a fortiori BCE…). Bravo et merci à Liliane. Il existe donc une fuite en avant des banques centrales consistant à cacher, sur le dos des contribuables, une cavalerie : les grandes banques systémiques se refinancent via les banques centrales par les mises en pension de titres, et lesdites banques centrales se financent elles-mêmes en vendant des actifs aux grandes banques systémiques, le tout avec l’assurance de la garantie des contribuables ! C’est une BOMBE, la démonstration des malversations bancaires par les banquiers eux-mêmes, les politiques n’étant que des pions soumis…
Valérie Bugault
Si la démocratie directe est un outil pertinent et très utile d’aide à la décision politique, elle ne saurait en aucune façon remplacer une organisation mettant en œuvre des dirigeants responsables…
Par Valérie Bugault − Le 30 mars 2023
Si la démocratie directe est un outil pertinent et très utile d’aide à la décision politique, elle ne saurait en aucune façon remplacer une organisation mettant en œuvre des dirigeants responsables. En elle-même, la « démocratie directe », est tout à fait inapte à remplir le rôle – que certains prétendent lui donner – d’être l’alpha et l’omega de la démocratie, pour les raisons suivantes :
On ne peut organiser une Société politique en demandant en permanence à tous les gens leur avis personnel sur tout ; une telle non-méthode reviendrait à imposer soit le chaos, en raison de la divergences de la majorité des réponses, soit la loi du plus fort (qu’il soit fort par les armes ou malin) …
Avec de tels amis, la « participation » n’a plus besoin d’ennemis
Par Valérie Bugault − Le 30 mars 2023
A la demande expresse de la Fondation Charles de Gaulle, j’ai accepté de préciser quelque peu le contexte juridique et politique dans lequel est intervenue une nouvelle forme, juridiquement très saugrenue, d’entreprise, la « société à mission » 1 .
Basée sur l’émission avec Chloé Frammery – mars 2023
Par Valérie Bugault − Le 23 mars 2023
Avant-propos
Cet article est rédigé à partir des réponses que Valérie Bugault a fourni aux questions posées par les internautes lors de l’émission de Chloé Frammery en mars 2023 intitulée : FDNL Questions et réponses de Valérie Bugault. Quelques-unes de ces questions vous sont livrées pêle-mêle en introduction de cet article.
En marche vers l’esclavagisme et l’abandon de notre civilisation.
Par Valérie Bugault – Le 15 février 2023
Je dénonce depuis des années l’infiltration de notre modèle de droit européen, fondé sur un droit civil commun, par des instances et autres organisations, y compris académiques, dévouées à la cause « commercialiste » chère au droit anglo-saxon.
Il faut encore préciser que, par « droit anglo-saxon », je parle précisément du droit britannique en tant qu’arme absolue au service exclusif des puissances financières dominantes. Cette bifurcation malheureuse du droit anglo-saxon résulte de deux évènements historiques majeurs, à savoir :
Par Valérie Bugault − Le 19 novembre 2022
Co-organisatrice de ce colloque, j’ai l’immense joie de clore les débats en présentant la théorie juridique unifiée de l’entreprise.
L’entreprise multinationale est actuellement le vecteur privilégié de la concentration des capitaux et des richesses dans quelques mains anonymes et irresponsables qui se sont, par ce moyen, arrogé des pouvoirs « politiques ». Ce constat s’applique d’une façon générale à tout type de grande entreprise, pudiquement appelée multinationale mais réel conglomérat économique, y compris, et peut-être surtout, aux entreprises monétaires et financières, banques, hedges funds et autres fonds vautours… sans oublier les médias. Il résulte de ces constats une extrême nécessité de réformer le cadre juridique conceptuel dans lequel les relations économiques, nationales et internationales, s’inscrivent.
La dernière guerre de l’hégémonie financière.
Par Valérie Bugault – Le 18 octobre 2022
Il y a selon vos mots, Valérie Bugault, un “système de domination” qui s’exerce sur les populations occidentales avec un recul des libertés et maintenant une crise énergétique qui découle des sanctions contre la Russie. Quels sont les objectifs de cette stratégie des dirigeants atlantistes ?
Le 15 Octobre − Source Valérie Bugault
Retrouvez Valérie Bugault sur sa chaîne Odysee, interviewé par le québecois Carl Brochu.
Et une seconde de Wilson de Chronique Hebdo.
Elle passe de l’état « Titanic » à l’état « radeau de la méduse »
Par Valérie Bugault − Le 4 septembre 2022
Par nature, la matière est instable, elle dépend des conditions du milieu dans lequel elle évolue. Ce qui est vraie en physique l’est encore plus en matière financière. La seule différence entre la physique et la finance réside dans le fait que ce dernier domaine est entièrement artificiel, créé et contrôlé par des individus cachés derrière l’anonymat des structures juridico-politiques qu’ils ont créées et qui sont, par essence, à leur service exclusif. Continuer la lecture