… Un inspecteur de l’OIAC témoigne au Conseil de sécurité de l’ONU au sujet de la manipulation des rapports concernant les « attaques chimiques ».
Par Moon of Alabama − Le 21 janvier 2020
Cela fait longtemps que nous prétendons que l’attaque chimique présumée du 7 avril 2018, à Douma en Syrie, était un coup monté par les djihadistes peu avant leur expulsion de cette banlieue de Damas.
A la fin de l’année dernière, des documents ont été divulgués et un lanceur d’alerte de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a prouvé que ses responsables avaient manipulé le rapport que leur personnel avait rédigé sur l’incident. Les inspecteurs de l’OIAC qui avaient enquêté sur le terrain à Douma ont observé des indices montrant qu’une attaque chimique avait eu lieu. Mais les personnes mortes vues dans les vidéos de l’attaque présumée ont dû mourir d’autres causes. Les bidons jaunes trouvés sur les lieux de l’attaque présumée n’ont pas été largués par hélicoptères mais clairement placés là par une main humaine.
Climat : mais qui l’eût cru ? Ces dernières décennies, les méga-corporations et les méga-milliardaires pilotent la mondialisation de l’économie, dont la poursuite de la plus-value et de la réduction des coûts a causé tant de dégâts à notre environnement, que ce soit dans le monde industrialisé ou dans les économies en développement d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine… Et pourtant, ce sont eux les principaux bailleurs de fonds du mouvement « populaire » de décarbonisation en Suède et en Allemagne, en passant par les États-Unis et au-delà. S’agit-il de sursaut de conscience, ou d’un projet plus radical de financiarisation de l’air que nous respirons, et plus encore ?



l’histoire, qui vit des organes prélevés sur des serbes du Kosovo capturés et emprisonnés, trouve ses sources ailleurs. Comme l’indiquent les médias serbes, dans le cadre du processus mené par la mission EULEX au Kosovo, « l’un des accusés a reconnu avoir participé à un trafic d’organes humains ».
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