Par Tom Luongo – Le 5 janvier 2022 – Source Gold Goats ‘n Guns
À l’approche du grand sommet de la semaine prochaine entre les États-Unis, l’OTAN et la Russie sur les tensions en Ukraine, il est important de comprendre où en sont les relations entre ces parties. Le ministère russe des affaires étrangères, qui incarne habituellement une modération et une politesse exaspérantes, a redoublé de franchise au cours des deux derniers mois.
Rien d’autre ne semble attirer l’attention des soi-disant diplomates et décideurs américains et européens.
Ce sont des gens qui croient avec arrogance que c’est leur droit et leur privilège de rabaisser tous ceux qu’ils ne respectent pas ou avec lesquels ils ne sont pas d’accord. Ils n’aiment sincèrement pas qu’on leur renvoie la balle.
À cet égard, la récente altercation entre la porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Maria Zakharova, et le haut diplomate de l’UE, Josep Borrell, a été remarquable. Zakharova est minutieuse, éloquente et presque toujours correcte. Elle y parvient parce qu’elle a la vérité de son côté.

MOSCOU, RUSSIE, 1ER DÉCEMBRE 2021 : La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, donne un point de presse hebdomadaire. Ministère russe des Affaires étrangères/TASS



Si vous commenciez à avoir l’impression que votre monde est en train de devenir un scénario de film dystopique très cliché, ne vous inquiétez pas. Il semble que certains des méchants soient d’accord avec vous.
Si vous regardez les titres des journaux de la semaine dernière, vous constaterez qu’ils partagent une étonnante similitude. A travers le monde, les gouvernements instaurent l’un après l’autre un apartheid médical à propos du vaccin COVID-11/09.
Il y a quinze ans, un homme qui dirigeait le groupe d’étude sur le bioterrorisme de la Maison Blanche de GW Bush et qui était conseiller spécial du président, s’est vu propulsé de manière inattendue au rang de « père » de la planification des pandémies, après que Bush soit venu demander à ses spécialistes du bioterrorisme un énorme plan pour faire face à une calamité imaginaire. « Nous avons besoin d’un plan pour l’ensemble de la société. Qu’allez-vous faire au sujet des frontières avec les pays étrangers ? Et des voyages ? Et du commerce ? ». Du haut de sa position d’influence – au service d’un président apocalyptique – le Dr Venkayya est devenu le 