Par Eric Zuesse − Le 26 août 2022 − Source Oriental Review
Le gouvernement des États-Unis exerce des pressions sur le gouvernement japonais pour l’amener à revenir sur sa Constitution (écrite par les États-Unis en 1947), et lui faire supprimer sa clause (l’Article 9) qui empêche le Japon d’envahir un autre pays. Cette clause énonce que :
le peuple japonais renonce à jamais à la guerre comme droit souverain d’une nation, ainsi qu’à la menace ou à l’usage de la force pour régler les différends internationaux.
Pour accomplir l’objectif énoncé au paragraphe précédent, le Japon ne maintiendra pas d’armée de terre, de mer ou aérienne, ni tout autre potentiel de guerre. Le droit à la belligérance de l’État ne sera pas reconnu.
La raison de ce changement est que le Japon pourrait jouer un rôle décisif pour contribuer à la guerre officieuse menée par les États-Unis contre son ancien allié chinois dans la seconde guerre mondiale ; les États-Unis veulent transformer la Chine en État vassal, comme le Japon l’est depuis longtemps (sans interruption depuis 1945).



Il est troublant de voir un gouvernement démocratique comme celui des États-Unis se taper sur le torse après avoir commis le meurtre à renfort de haute technologie d’un djihadiste à la retraite, le Dr. Ayman al-Zawahiri.
L’Allemagne, jusqu’ici grande et puissante au sein de l’Union européenne, et qui a pu
L’impensable se produit pour la seconde fois en cinq mois : Gazprom, la gigantesque société gazière russe écrit aux entreprises gazières allemandes pour annoncer un cas de force majeur observé depuis le 14 juin, qui l’exonère de verser des pénalités pour les pénuries qui se sont produites depuis cette date.