Par M. K. Bhadrakumar – Le 2 août 2019 – Source Indian Punchline

La Révolte arabe (1916-1918)
Les cheikhs arabes à l’origine de l’impasse entre les États-Unis et l’Iran ont entendu le proverbe africain : « quand les éléphants se battent, c’est l’herbe qui souffre ». Mais ils ont choisi de l’ignorer. À Riyad et à Abou Dhabi, on a supposé que la stratégie du président Trump consistant à exercer une « pression maximale » dissuaderait Téhéran et que la vie reprendrait très bientôt son cours, avec un Iran affaibli et contraint de se soumettre.
L’économie turque est dans une situation de plus en plus difficile depuis des mois, en particulier depuis l’échec de la tentative de coup d’État de juillet 2016. La dernière décision du président Recep Tayyip Erdoğan de congédier son chef de Banque centrale et de le remplacer par un loyaliste plus accommodant a déjà entraîné la plus importante réduction ponctuelle du taux d’intérêt de l’histoire de la banque. Cela suffira-t-il à relancer la croissance de l’économie en difficulté à temps pour les prochaines élections nationales dans 18 mois ?
Par
Après la dissolution de l’ancienne Union soviétique, l’ajustement de l’Inde, après la guerre froide, à la politique étrangère reposait sur l’idée selon laquelle Delhi devrait s’en tenir au principe proverbial « ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire » pour ce qui concerne les États-Unis.



Lors d’une récente entrevue avec la journaliste de Russia Today Sophie Shevardnadze, le porte-parole du président Poutine, Dmitry Peskov, a mis un bémol aux illusions des médias alternatifs au sujet des relations économiques sino-russes, ce qui ne manquera pas de décontenancer nombre de leurs lecteurs dans le monde entier.