Par Jason Morgan – Le 15 novembre 2019 – Source Mises.org
Peu de gens se souviennent de lui aujourd’hui, pour des raisons qui devraient tous nous perturber, mais Vladimir Boukovski a été le héros d’un âge sombre dont l’exemple conforte la devise de Mises, tirée de L’Enéide : « Toi, ne cède pas au mal, mais combats-le toujours plus hardiment. » Souvent présenté dans la presse comme un « dissident soviétique », Boukovski était infiniment plus que cela. Il s’est mesuré au géant communiste dans sa totalité et a assez vécu pour le voir tomber… mais seulement pour voir certaines de ses parties se relever, affirme-t-il, et tout cela avec la complicité de l’Occident.