Par Sabtain Ahmed Dar − Le 11 septembre 2020 − Source Oriental Review
Le 4 septembre 2020, Macron a prononcé une déclaration publique, au cours de laquelle il a affirmé ne pas être en position de porter un jugement quant à la décision prise par Charlie Hebdo de publier une caricature du prophète Mahomet — que la paix soit avec lui. Cependant, il n’a pas manqué d’affirmer que : « Au début du procès jugeant des attaques de janvier 2015, j’affirme qu’être français, c’est défendre le droit de rire, de railler, de se moquer et de caricaturer, dont Voltaire tenait qu’il s’agissait du premier de tous les droits ».
Macron a vanté la moralité de la démocratie et de la liberté d’expression en affirmant : « Ce n’est jamais le rôle d’un président de la République d’émettre un jugement sur les choix éditoriaux d’un journaliste ou d’une salle de rédaction, jamais. Nous avons la liberté de la presse ». [Sans doute Macron est-il le seul à ne voir aucune contradiction entre ce propos et la mise sur liste noire par les propres services de l’Élysée du média Russia Today, NdT]. « Il existe en France une liberté de blasphémer qui est attachée à la liberté de conscience. Je suis là pour protéger toutes ces libertés. En France, on peut critiquer un président, des dirigeants, on peut blasphémer », a-t-il affirmé.



Je ne sais pas si la malédiction prétendument chinoise vient vraiment de Chine, mais que cela soit le cas ou non, nous sommes absolument ravis de vivre une époque vraiment intéressante.
Croire que les sept éco-vandales les plus industrialisés empêcheront l’Amazonie de partir en fumée revient à espérer que les dirigeants d’Hollywood trouveront le moyen d’empêcher le sexe et la violence d’apparaître sur grand écran. Cela ne va probablement pas arriver. Le G7 veut continuer à occuper les sièges pour le spectacle intitulé « Le capitalisme ».
Le commentateur économique spécialiste de l’Europe, Ambrose Pritchard Evans, 
Il y a un peu plus d’un an, le Président français Emmanuel Macron est venu aux États-Unis en apportant deux espèces potentiellement envahissantes à Washington. L’une n’était autre qu’un arbre et la seconde une répression de la liberté d’expression. Ironiquement, peu de temps après la plantation de l’arbre, les autorités l’ont déterré pour le mettre en quarantaine.