Autoritarisme climatique : le Forum Économique Mondial veut diminuer le nombre de véhicules de tourisme de 75% d’ici à 2050


Par Tyler Durden − Le 18 juin 2023 − Source Zero Hedge

Le prétexte du changement climatique tient lieu de justification à toutes sortes de changements sociaux, politiques et économiques, voués à réduire fortement la liberté et la survie financière du terrien moyen. Comme le monde a pu le constater au moment de la pandémie de Covid, les institutions globalistes s’acoquinent avec les gouvernements et les grandes entreprises pour faire monter la sauce sur des menaces imaginaires et inspirer une hystérie publique, dès lors que ces acteurs estiment pouvoir utiliser la peur afin de supprimer nos droits individuels. La mode des « émissions de gaz à effet de serre » ne fait pas exception à cette règle.

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Obligés de quitter l’île-monde


En suivant la théorie Heartland/Rimland/Puissance maritime, voici un nouveau regard sur les tentatives de Moscou et de Pékin de construire un ordre mondial multipolaire horizontal pour remplacer l’ordre mondial libéral unipolaire dirigé par les États-Unis.


Par Kevin Batcho – Le 10 mars 2023 – Source Beyond the Waste Land

Carte du globe inversée tirée du Grand échiquier de Zbigniew Brzezinski.

L’Eurasie est l' »échiquier » métaphorique de l’ouvrage géopolitique de Zbigniew Brzezinski, The Grand Chessboard (1997). Aujourd’hui, l' »île-monde » qu’est l’Eurasie abrite près de 70 % de la population mondiale et produit près de 70 % du PIB mondial (PPA). Son ouvrage exhortait les décideurs américains, nouvellement unipolaires, à continuer à jouer aux « échecs » géopolitiques avec leurs adversaires sur la masse continentale eurasienne. À l’époque de la guerre froide, l’ordre diversifié dirigé par les États-Unis était agnostique, la seule exigence étant d’être anticommuniste. Les États-Unis pratiquaient une approche réaliste et n’hésitaient pas à renverser une démocratie molle pour installer un régime autoritaire de droite s’ils pensaient que cela améliorait l’équilibre des forces entre les États-Unis et l’URSS. Mais la chute du mur de Berlin a déclenché le moment unipolaire de l’Amérique. Il s’en est suivi une approche idéologique où, avec un zèle messianique, les États-Unis ont répandu leur Ordre mondial libéral (OML) dans une tentative de mettre fin à l’histoire et de convertir toutes les nations à la religion du capitalisme de libre marché, des droits individuels et de l’obéissance à l’autorité américaine. Mais à l’aube du XXIe siècle, alors que les États-Unis s’engageaient dans de vaines campagnes pour imposer la démocratie au Moyen-Orient, la Chine et la Russie rassemblaient discrètement un ordre anti-hégémonique – une horde primitive de nations – en plusieurs alliances lâches.

En 1998, Brzezinski avait déjà averti que le règne des États-Unis sur l’Eurasie ne serait pas permanent.

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Cabinets de conseil : leur pire danger n’est peut-être pas celui que l’on voit…


Par Gilles Casanova − Le 27 novembre 2022 − Source RT France

Ils vendent à prix d’or à l’État des prestations dont on imagine que des fonctionnaires sont tout à fait capables de les réaliser, puisqu’ils ont été formés, engagés, et qu’ils sont payés – beaucoup moins cher – pour cela.

Ensuite gavés d’honoraires au titre d’études parfois inconsistantes, ils ne paient pas leurs impôts, font de la fraude fiscale et cachent leurs profits dans des paradis fiscaux.

Enfin, on les soupçonne d’avoir organisé ou participé à des circuits de financement occultes des campagnes présidentielles d’un politicien qui les a installés en majesté au cœur de l’appareil administratif.

Cela fait beaucoup pour des sociétés très riches, la plupart du temps à base américaine, et qui se présentent toujours aux côtés du Gotha de la finance mondiale et des organismes de pouvoir, du FMI à Davos. Mais peut-être le pire de leur action ne se situe-t-il pas là où le système médiatique veut bien nous le laisser entrevoir, mais dans un élément plus profond de leur présence au sommet de nos sociétés.

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Les armes climatiques existent-elles ?


Par Leonid Savin − Le 4 août 2021 − Source Oriental Review

système HAARP

Les pluies diluviennes qui ont frappé des pays d’Europe et d’Asie et les nombreux incendies ont fait resurgir un vieux sujet : l’homme peut-il contrôler les phénomènes naturels ? Si une telle technologie existe, cela soulève automatiquement la question suivante : peut-elle être utilisée à des fins destructrices (comme on le voit dans les films d’action de science-fiction tels que Geostorm) ? En d’autres termes, les armes climatiques (géomagnétiques, stratosphériques, etc.) existent-elles ?

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Comment l’impensable redevient pensable. Eric Lander, Julian Huxley et le réveil de monstres endormis


Par Matthew Ehret – Le 24 mai 2021 – Source Strategic culture

Bien qu’il puisse nous déplaire, voire nous donner la nausée, de considérer des idées telles que l’influence de l’eugénisme sur notre époque troublée, je pense qu’ignorer un tel sujet ne rend service à personne sur le long terme.

C’est d’autant plus grave que les chouchous du Forum économique mondial, comme Yuval Harari, vantent des concepts tels que « la nouvelle classe inutile mondiale » que l’intelligence artificielle, le génie génétique, l’automatisation et la quatrième révolution industrielle sont censés inaugurer. D’autres créatures de Davos, comme Klaus Schwab, appellent ouvertement à la création d’un citoyen mondial équipé d’une puce électronique, capable de s’interfacer avec un réseau mondial à l’aide d’une simple pensée, tandis qu’Elon Musk et Mark Zuckerberg font la promotion des « neuralinks » pour « maintenir la pertinence de l’humanité » en fusionnant avec les ordinateurs dans la nouvelle ère de biologie évolutive.

D’éminents généticiens darwiniens comme Sir James Watson et Sir Richard Dawkins défendent ouvertement l’eugénisme tandis qu’une technocratie consolide sa prise de pouvoir en utilisant le « Grand Reset » comme excuse pour inaugurer une nouvelle ère post-État-nation.

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Compte à rebours de la guerre contre l’Iran


Moon of Alabama

Par Moon of Alabama – Le 12 mai 2018

John Bolton est un homme sans foi ni loi :

Au début de 2002, un an avant l’invasion de l’Irak, l’administration Bush a exercé une pression intense sur [José] Bustani pour qu’il démissionne de son poste de directeur général de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques. (…)

Bolton – alors sous-secrétaire d’État au contrôle des armes et aux affaires de sécurité internationale – est allé en personne au siège de l’OIAC à La Haye pour mettre en garde le chef de l’organisation. Et, selon Bustani, Bolton n’a pas mâché ses mots. Il a dit : « Cheney veut que vous partiez », en faisant référence au vice-président des États-Unis de l’époque. « Nous ne pouvons pas accepter votre style de gestion. »

Bolton a ajouté, toujours selon Bustani, : « Vous avez 24 heures pour quitter l’organisation, et si vous ne vous conformez pas à la décision de Washington, nous avons des moyens de vous le faire payer. »

Puis après un silence :

« Nous savons où vivent vos enfants. Vous avez deux fils à New York. » Continuer la lecture

La guerre frauduleuse de l’OTAN au nom des femmes


Par George Szamuely – Le 9 janvier 2018 – Source CounterPunch

Dans un récent article du Guardian intitulé « Why NATO Must Defend Women’s Rights » (Pourquoi l’OTAN doit défendre les droits des femmes), le secrétaire général de l’agence, Jens Soltenberg, et la star de cinéma Angelina Jolie affirment que « l’OTAN a la responsabilité et l’occasion d’être un défenseur de premier plan des droits des femmes ». En outre, elle « peut devenir le chef de fil militaire mondial en matière de prévention et de réponse à la violence sexuelle lors des conflits ». Tous deux se sont engagés à identifier « les moyens par lesquels l’OTAN peut renforcer sa contribution à la protection et à la participation des femmes dans tous les aspects de la prévention et de la résolution des conflits ». Continuer la lecture

Un spécialiste US notoire du changement de régime cible le dirigeant hongrois Orban

De nombreux lecteurs n'ont probablement jamais entendu le nom du remarquable opérateur politique né en Serbie, Srđa Popović.

Pourtant, lui et son organisation, CANVAS, ont joué un rôle de premier plan dans la plupart des Révolutions de couleur soutenues par la CIA depuis qu'il a dirigé le renversement du président serbe Slobodan Milosevic en 2000, puis dans au moins cinquante pays selon le dernier dénombrement.

F. William Engdhal

Par F. William Engdahl – Le 13 octobre 2017 – Source Russia Insider 

Le titre original de cet article était : « La carrière malhonnête du remarquable Srđa Popović »

Le 8 septembre, le spécialiste professionnel du changement de régime, Srđa Popović, est venu à Budapest et s’est joint aux groupes d’opposition anti-Orban devant le Parlement hongrois.

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La Pravda américaine. Comment la CIA a créé le concept de théorie du complot


Par Ron Unz – Le 5 septembre 2017 – Source Unz Review

Rien d’autre qu’une étiquette diffamatoire utilisée pour repousser un esprit critique

Il y a un ou deux ans, j’ai vu le film de science-fiction Interstellar et, bien que l’intrigue ne fût pas terrible, une première scène s’avérait quand même amusante. Pour diverses raisons, un gouvernement américain du futur a prétendu que nos alunissages de la fin des années 1960 avaient en fait été montés de toute pièce, une manipulation visant à gagner la guerre froide. Cette inversion de la réalité historique a été acceptée comme une vérité par presque tout le monde, et les quelques personnes affirmant que Neil Armstrong avait vraiment mis les pieds sur la Lune étaient universellement ridiculisées comme des « théoriciens du complot un peu dingues ». Cela me paraît une représentation réaliste de la nature humaine.

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