Une critique globale du modèle d’intégration supranational de l’UE, analysant ses lacunes structurelles, économiques et géopolitiques
Par Thomas Fazi – Le 10 septembre 2025 – Source Blog de l’auteur
Présentation
Au cours des trois dernières décennies ou plus, un récit dominant a façonné le discours européen : dans un monde de plus en plus globalisé et interconnecté, les nations individuelles sont progressivement devenues limitées dans leur autonomie économique et ont perdu la capacité de déterminer indépendamment leur trajectoire économique. Cela est attribué à leur faiblesse par rapport aux puissantes forces extérieures — à la fois des entités privées telles que la finance internationale et les multinationales, ainsi que des superpuissances étrangères, en particulier la Chine. Selon ce point de vue, le concept même de souveraineté nationale est devenu de plus en plus obsolète dans le monde d’aujourd’hui.
La solution, selon ce récit, était que les nations européennes « mettent en commun » leur souveraineté et la transfèrent à une institution supranationale suffisamment grande et puissante pour faire entendre sa voix sur la scène internationale : l’Union européenne (UE). L’argument soutenait que ce n’est qu’à ce niveau supranational et continental que les États individuels pourraient acquérir un pouvoir collectif suffisant pour mettre en œuvre des politiques économiques efficaces par rapport à ces forces mondiales. Autrement dit, renoncer à certains éléments de souveraineté nationale — déjà jugés diminués dans la pratique — permettrait aux pays de se réapproprier une forme de souveraineté “réelle”, par la force collective. Cela constitue le cœur de l’argument supranationaliste pro-UE.
L’Opération militaire spéciale (OMS) de la Russie a infligé une attrition massive des capacités militaires de l’Ukraine et a également révélé la faiblesse et les limites des pays de l’OTAN en matière de fourniture d’armes de remplacement, de munitions et de véhicules de combat. L’OMS a également démontré la supériorité des armes russes par rapport à celles de l’OTAN. La Russie, par exemple, a utilisé avec succès au moins quatre types de missiles hypersoniques, alors que l’OTAN n’en a même pas déployé un seul.


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L’une des rares déclarations honnêtes de Bill Gates a été sa remarque, faite début 2021, disant que si vous pensez que les mesures dues à la Covid sont mauvaises, attendez de voir les mesures prises contre le réchauffement climatique. L’Union européenne est en train d’imposer, du haut vers le bas, les mesures les plus draconiennes à ce jour, qui détruiront effectivement l’industrie moderne dans les 27 États de l’Union européenne. Sous de jolis noms tels que « Fit for 55 » et European Green Deal, des technocrates non élus finalisent à Bruxelles des mesures qui provoqueront le pire chômage industriel et le pire effondrement économique depuis la crise des années 30. Des industries telles que l’automobile ou le transport, la production d’électricité et l’acier sont sur la sellette, tout cela pour une hypothèse non prouvée appelée réchauffement climatique d’origine humaine.
J’adore New York. Quand je suis arrivé à New York, ce fut un rêve en train de devenir réalité. Chaque coin de rue était comme une production théâtrale qui se déroulait juste devant moi. Tant de personnalité, tant d’histoires.