Par Larry C Johnson – Le 29 septembre 2025 – Source Son of the New american revolution
Vous vous demanderez probablement pourquoi le titre parle du Venezuela mais que l’article commence en discutant du nouveau dirigeant syrien ? Une bonne question dont voici la réponse : Étant donné l’accumulation massive de forces américaines au large des côtes du Venezuela, la menace supposée par le groupe Tren de Aragua est-elle réelle ou s’agit-il d’une opération de renseignement conçue pour créer une justification pour effectuer un changement de régime au Venezuela ?
Nous savons par des preuves accessibles au public que la CIA a l’habitude de soutenir des groupes islamiques radicaux au contraire de la politique américaine déclarée publiquement de s’opposer à ces groupes. Hay’at Tahrir al-Sham, qui est dirigé par le président syrien nouvellement installé, Ahmed Hussein al-Sharaa, anciennement connu sous le nom d’Abu Mohammad al-Julani, en est le dernier exemple.

La deuxième étape du « transfert » de la guerre en Ukraine par Trump aux Européens a été clairement exposée dans 
La virulente campagne antichinoise qui se déroule actuellement dans les médias français est insensée, dans le sens pathologique du terme : quand quelqu’un est tellement dans l’emprise d’une croyance fanatique qu’il ne peut plus faire la distinction entre les faits et le dogme.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a juré de « traquer » les dirigeants du Hamas où qu’ils se trouvent, avertissant que « leur vie sera courte si un seul cheveu des otages israéliens à Gaza est touché ». Dans le même temps, Israël bombarde la ville d’un million d’habitants en préparation d’une invasion terrestre, forçant des centaines de milliers de personnes à fuir. Pourtant, le Hamas et d’autres groupes palestiniens ont clairement indiqué qu’ils ne quitteraient pas leurs positions. Les huit otages environ retenus à Gaza ont donc peu de chances de survivre à l’avancée israélienne, qui implique la destruction de quartiers entiers. En réalité, Netanyahou et la société israélienne savent que l’invasion équivaut à une condamnation à mort pour les captifs. Anticipant cela, Netanyahou déplace déjà la responsabilité : chaque fois que le Hamas annonce la mort d’un otage, il la présente comme un déclencheur de vengeance, promettant d’éliminer les dirigeants du Hamas et se vantant des « longs bras » du Mossad. En vérité, les longs bras du Mossad, si souvent célébrés, sont moins une preuve de force qu’une mesure de la complaisance dont bénéficie Israël.