Le 8 janvier 2020 − Source german-foreign-policy.com
Les puissances membres de l’UE s’inquiètent des interférences extérieures en Libye. La Russie et la Turquie réfléchissent à un processus pour mettre fin à la guerre.
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Le 8 janvier 2020 − Source german-foreign-policy.com
Les puissances membres de l’UE s’inquiètent des interférences extérieures en Libye. La Russie et la Turquie réfléchissent à un processus pour mettre fin à la guerre.
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Le 11 novembre 2019 − Source german-foreign-policy.com
Suite à l’annonce par Annegret Kramp-Karrenbauer, ministre de la Défense allemande, la semaine dernière, de l’expansion du déploiement de la Bundeswehr [l’armée allemande, NdT], les hommes politiques allemands de premier plan ont fait monter les enchères et ont énergiquement appelé de leurs vœux une politique étrangère et militaire plus agressive de la part de l’Allemagne et de l’UE. Vendredi dernier, Ursula von der Leyen, la prochaine présidente de la commission européenne, dans son discours auprès de la Fondation Konrad Adenauer — affiliée à la CDU [le parti social démocrate au pouvoir en Allemagne, NdT] — a affirmé que le « soft power » ne suffisait plus dans le monde d’aujourd’hui, et que « l’Europe doit apprendre le vocabulaire de la puissance » 1.
Par M. K. Bhadrakrumar – Le 30 octobre 2019 – Source Indianpunchline.com
Personne n’aurait imaginé que la décision prise il y a trois semaines par le Président américain Donald Trump de retirer toutes les troupes américaines de Syrie se transformerait en engagement militaire vigoureusement renouvelé dans ce pays. Les troupes américaines ont d’abord été envoyées en Irak, mais seulement pour retourner en Syrie avec des blindés lourds et des armes. Des plans sont en cours pour renforcer les déploiements.
Le général Kenneth F. Mckenzie, commandant du Commandement central des États-Unis (D), a invité le commandant kurde Mazloum Kobani à un endroit non spécifié dans le nord de la Syrie en juillet 2019.
Le 17 octobre 2019 − Source german-foreign-policy.com
BERLIN/PARIS — Les affrontements pour le pouvoir entre la France et l’Allemagne mettent un coup d’arrêt à l’expansion de l’Union européenne et éclipsent le somment de l’UE, lancé ce jour à Bruxelles. Berlin met une pression maximale pour que des négociations d’entrée dans l’UE aient lieu avec la Macédoine du Nord et l’Albanie, afin d’empêcher que ces pays ne quittent l’influence de l’Union — qui leur apporte bien peu d’avantages — et se tournent vers d’autres puissances, telles la Chine et la Russie, qui leurs proposent des bénéfices bien plus considérables. Paris s’oppose aux exigences de Berlin. Tant que le gouvernement allemand rejettera les projets français, comme celui d’un budget de la zone euro, la France ne se pliera plus aux souhaits allemands, dit-on à Paris. Des discussions sur le sujet des négociations d’adhésion de la Macédoine du Nord et de l’Albanie se poursuivront au cours du sommet. Pendant que l’UE reste ainsi enlisée, Pékin et Moscou — et également Washington — s’emploient à renforcer leurs positions en Europe du Sud.
Le 17 septembre 2019 − Source german-foreign-policy.com
Charitable, la future présidente de la commission européenne aide son prédécesseur à tenir debout entre deux verres. Ursula von der Leyen et Jean-Claude Junker. Chacun a soif de ce qu’il peut.
La prochaine commission européenne devrait jouer un rôle « géopolitique » et donner à l’Union un axe directeur en matière de politique mondiale, a confirmé Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission « élue », dont l’équipe, selon les observateurs, fait preuve d’une inédite « soif de pouvoir ». Les projets de von der Leyen pour les cinq années à venir sont très alignés avec la vision de Berlin, qui consiste à vouloir positionner l’union comme une puissance mondiale indépendante entre les USA et la Chine.
Emmanuel Macron, le président français, partage ce projet, et – au vu du conflit qui chauffe entre Washington et Pékin – met en garde : en cas d’échec, toute influence sur la politique mondiale sera perdue. Les cercles d’affaires allemands influents opinent là-dessus : il n’y a pas d’alternative à une position intermédiaire germano-européenne, sous peine de perdre des opportunités d’affaires avec la Chine, et d’en subir de graves retombées. Mais selon les cercles transatlantiques, Berlin et Bruxelles, tôt ou tard, n’auront d’autre choix que de se réaligner sur Washington.
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Par Shane Quinn − Le 2 septembre 2019 − Source eurasiafuture.com
Des 28 États membres de l’Union Européenne, il se trouve que 22 appartiennent également à l’OTAN, l’organisation militaire dirigée par le Pentagone12.
Cette carte montre la progression rampante de l’OTAN vers l’est, en particulier depuis le début des années 1990.
Par Andrew Korybko − Le 16 août 2019 − Source orientalreview.org
La suggestion, émise par les ambassadeurs étasuniens en Pologne et en Allemagne, que les USA pourraient déplacer certains de leurs soldats de la seconde vers la première est à saluer : elle fait plus de sens pour l’ensemble des parties impliquées.
La chancelière allemande, Angela Merkel, serre la main de l’ambassadeur des USA en Allemagne, Richard Grenell, à Meseberg, en Allemagne, le 6 juillet 2018
Par F. William Engdahl – Le 31 Juillet 2019 – Source Williamengdahl.com
L’économie turque est dans une situation de plus en plus difficile depuis des mois, en particulier depuis l’échec de la tentative de coup d’État de juillet 2016. La dernière décision du président Recep Tayyip Erdoğan de congédier son chef de Banque centrale et de le remplacer par un loyaliste plus accommodant a déjà entraîné la plus importante réduction ponctuelle du taux d’intérêt de l’histoire de la banque. Cela suffira-t-il à relancer la croissance de l’économie en difficulté à temps pour les prochaines élections nationales dans 18 mois ?
Image : Site Web du gouvernement officiel de la Russie – Creative Commons Attribution 4.0 International
Par Patrick Armstrong − Le 10 avril 2016 − Source patrickarmstrong.ca
Cet article comporte trois sections, de tailles inégales :
Si vous savez déjà comment on assemble une armée, vous pouvez passer directement à la deuxième partie.
Par Grey Carter − Le 5 août 2019 − Source Oriental Review
Contrairement à la croyance populaire, le commerce le plus sanglant de l’histoire, qui vit des organes prélevés sur des serbes du Kosovo capturés et emprisonnés, trouve ses sources ailleurs. Comme l’indiquent les médias serbes, dans le cadre du processus mené par la mission EULEX au Kosovo, « l’un des accusés a reconnu avoir participé à un trafic d’organes humains ».
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