Par Brian McGlinchey − Le 1er mai 2023 − Source Stark Realities
L’arrogance impériale d’Obama, ainsi que son mépris pour la Constitution, ont provoqué une tragédie.
Par Brian McGlinchey − Le 1er mai 2023 − Source Stark Realities
L’arrogance impériale d’Obama, ainsi que son mépris pour la Constitution, ont provoqué une tragédie.
Par Daniel Lazare − Le 2 juin 2020 − Source Strategic Culture Foundation
© Photo: REUTERS/Esam Omran Al-Fetori
La longue guerre civile en Libye a pris une nouvelle tournure ces dernières semaines après que le gouvernement d’union nationale soutenu par la Turquie a lancé une offensive contre le futur homme fort Khalifa Haftar, le poussant, ainsi que son armée nationale libyenne, à quitter Tripoli et un certain nombre de bastions voisins. Mais quiconque pense que la paix est à portée de main après neuf ans d’anarchie et d’effondrement devrait y réfléchir à nouveau. Il est presque certain que cela ne fera qu’introduire un nouveau chaos dans un pays qui en a déjà vu plus que sa part.
Par Moon of Alabama – Le 8 juin 2020
La guerre en Libye s’est transformé en conflit par procuration entre de nombreux acteurs internationaux.
Le gouvernement d’entente nationale (GNA), dirigé par le Premier ministre Fayez al-Sarraj, est soutenu par les Frères musulmans. Son principal sponsor politique et financier est le Qatar et son principal allié militaire est la Turquie. L’Italie soutient également Sarraj. Le GNA contrôle la capitale, Tripoli, et Misrata dans l’ouest du pays.
Du côté opposé, on trouve l’ancien agent de la CIA, Khalifa Haftar, et son armée nationale libyenne (ANL). Il contrôle l’est de la Libye et la plupart des ressources pétrolières. Il est soutenu par les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, l’Égypte, la Grèce et la France.
Le 8 janvier 2020 − Source german-foreign-policy.com
Les puissances membres de l’UE s’inquiètent des interférences extérieures en Libye. La Russie et la Turquie réfléchissent à un processus pour mettre fin à la guerre.
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Le 30 octobre 2019 − Source german-foreign-policy.com
Heiko Maas, le ministre allemand des affaires étrangères, intervient ces jours-ci en Libye, et appelle à la “fin de l’intervention étrangère”. Dans le cadre de sa visite en Turquie et en Afrique du Nord, il est arrivé dimanche 27 octobre 2019 pour une brève visite du pays, en vue de préparer une conférence internationale sur la Libye, que le gouvernement allemand entend mener sous peu. Le gouvernement allemand vise, via cette conférence, à pacifier le pays et à se distinguer comme “puissance normative” en Afrique du Nord. Maas a ensuite poursuivi son voyage en Égypte, qui est également impliquée dans la guerre en Libye. Pendant que le ministre allemand déclare que les Égyptiens devraient pouvoir “respirer l’air de la liberté”, Le Caire poursuit sa répression violente. Depuis le coup d’État militaire de juillet 2013, plus de 1500 personnes ont disparu des prisons d’État. Tout en essayant de pacifier la Libye, Berlin accroît ses activités “normatives” sur un “arc de crise” s’étalant depuis l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient jusque l’Asie centrale. Sans grand succès jusque ici.
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Par Moon of Alabama – Le 19 avril 2019
La situation sur le terrain en Libye a peu changé depuis notre dernier article, il y a deux semaines.
Les troupes de l’Armée nationale libyenne (ANL) du général Haftar attaquent par le sud les milices qui soutiennent le gouvernement, coincé à Tripoli et reconnu par l’ONU. L’ANL manque encore de forces pour effectuer une percée importante. Plusieurs objectifs situés sur le front ont changé de mains à plusieurs reprises. Il y a des escarmouches sanglantes, mais pas de gros combats. Il y en aura bientôt.
Par Moon of Alabama − Le 6 avril 2019
La Libye est de retour dans l’actualité alors que la soi-disant Armée nationale libyenne du général Haftar se prépare à attaquer Tripoli. Comment en est-on arrivé là ?
Par Andrew Korybko – Le 26 Février 2019 – Source eurasiafuture.com
Cet article constitue la retranscription d’une interview accordée par Andrew Korybko à RT Allemagne, au sujet des derniers développements en date en Libye. Cette interview a été publiée par le journal sous forme abrégée, sous le titre « Colonialisme 2.0 : la France et l’Italie se mènent une guerre par procuration en Libye ».
Champs de pétrole en Libye, pipeline, raffineries et stations de stockages
Par Andrew Korybko – Le 18 février 2019 – Source orientalreview.org
Le général Khalifa Haftar, membre du gouvernement Est-libyen non-reconnu de Tobruk, avait annoncé le mois dernier le début de ses opérations armées contre les groupes terroristes, les rebelles étrangers, les mercenaires, et d’autres acteurs non étatiques au sud du pays. Il a parcouru ces vastes étendues de territoires très peu densément peuplées, pour enfin reprendre les plus grands champs pétroliers d’El Sharara du pays en début de semaine. Des craintes ont existé de voir une autre phase de la longue guerre civile, cette fois conventionnelle, éclater alors que l’Armée Nationale Libyenne (ANL) s’approchait de zones sous contrôle symbolique des milices loyales au « Gouvernement de Concorde Nationale », installé à Tripoli et reconnu à l’international, mais il semble que l’armée de Haftar a conclu un accord avec les défenseurs du champ pétrolier d’El Sharara pour éviter l’occurrence d’un tel scénario.
Le général Khalifa Haftar