Par Elijah J. Magnier − Le 17 novembre 2019 − Source ejmagnier.com
Au cours de la dernière décennie, chaque fois qu’un gouvernement irakien est sur le point d’être formé et que l’élection d’un président du Parlement, d’un président de la République ou d’un Premier ministre est en cours, les émissaires américains et iraniens s’activent frénétiquement pour tenter d’influencer les élections et de former des coalitions politiques en amenant des candidats amicaux au pouvoir.


Personne n’aurait imaginé que la décision prise il y a trois semaines par le Président américain Donald Trump de retirer toutes les troupes américaines de Syrie se transformerait en engagement militaire vigoureusement renouvelé dans ce pays. Les troupes américaines ont d’abord été envoyées en Irak, mais seulement pour retourner en Syrie avec des blindés lourds et des armes. Des plans sont en cours pour renforcer les déploiements.
Par 
Dans son récent
Lors de la récente Assemblée générale des Nations Unies, il y avait une personne qui paraissait plus heureuse que les autres, surtout en comparaison des Européens, aux mines plutôt sombres. C’était le président iranien Hassan Rouhani. Il rayonnait positivement de plaisir et de bonne humeur. Bien que son discours ait été dur, contenant des termes tels que « terrorisme économique » et « piraterie internationale », dont il accusait le régime de Washington, son comportement n’était que joie. En passant, il a anéanti les espoirs de Boris Johnson de négocier un rapprochement entre l’Iran et les Washingtoniens, estimant clairement que toute nouvelle tentative de négociation avec eux était tout à fait inutile.
La campagne de «pression maximale» du président Trump contre l’Iran me rappelle la campagne similaire du président Franklin Roosevelt contre le Japon avant l’attaque japonaise de Pearl Harbor.