Les problèmes de la livre turque menacent l’avenir d’Erdogan


Moon of Alabama

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Par Moon of Alabama – Le 25 mai 2018

En mai 2016, la Turquie a élu un parlement dominé par le Parti de la justice et du développement (AKP). À l’époque, un premier ministre et un cabinet étaient censés diriger le gouvernement et le président turc était censé rester neutre. Mais Recep Tayyip Erdogan, leader de l’AKP et ex-premier ministre, est demeuré la figure dominante après qu’il soit devenu président et il a pratiquement choisi et dirigé le gouvernement. Deux mois plus tard, il y a eu une tentative de coup d’État contre lui, qui a échoué. Depuis, Erdogan gouverne au moyen de décrets d’urgence. Plus de 100 000 personnes ont été licenciées ou suspendues et 50 000 ont été arrêtées dans le cadre d’une répression sans précédent. Tous les médias indépendants ont été repris en main ou éliminés. Continuer la lecture

Le « tire à la corde » pour la Turquie dans le cadre de la nouvelle guerre froide


Un « tire à la corde » est en cours pour savoir qui gagnera la Turquie, après les frappes menées par les USA en Syrie


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Par Andrew Korybko − le 23 avril 2018 − source orientalreview.org

Macron a déclaré que les frappes avaient « séparé » la Russie de la Turquie, à cause du soutien du président Erdogan à l’opération de bombardement, mais ce dernier a tenu peu après une conversation téléphonique avec le Président Poutine, au cours de laquelle les deux parties se sont accordées pour « intensifier la coopération bilatérale… en Syrie ».

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Du positif : d’Ankara à Moscou, l’intégration de l’Eurasie est en marche


L’Union économique eurasienne dirigée par la Russie déploie ses ailes et gagne en force, avec des projets clés, de grands acteurs et de grands travaux en cours


Pepe EscobarPar Pepe Escobar − Le 5 avril 2018 − Source thesaker

Alors que les présidents Vladimir Poutine, Hassan Rouhani et Recep Tayyip Erdogan se sont rencontrés à Ankara pour un deuxième sommet Russie-Iran-Turquie sur l’avenir de la Syrie, Moscou a accueilli sa 7e conférence internationale de sécurité réunissant des ministres de la défense de dizaines de pays.

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Oncle Sam se débarrasse (de nouveau) des Kurdes


2015-09-15_13h17_31-150x112Par le Saker – Le 26 janvier 2018 – Source The Saker

Le drame qui se joue dans le nord de la Syrie est vraiment un cas presque idéal pour évaluer à quel point l’Empire anglosioniste est faible et totalement dysfonctionnel. Mais d’abord, un bref rappel.

Les buts américano-israéliens en Syrie étaient vraiment très simples. Comme je l’ai déjà écrit dans un précédent article, le plan anglosioniste initial était de renverser Assad et le remplacer par les fous takfiris (Daech, al-Qaïda, al-Nusra, ISIS – appelez-les comme vous voulez). Cela permettrait d’atteindre les objectifs suivants.

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Qui a perdu la Turquie ?


Le projet américano-kurde en Syrie menace l’OTAN


 

Moon of Alabama

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Par Moon of Alabama – Le 25 janvier 2018

Dans les années 1950, la sphère politique américaine a été empoisonnée par une campagne de dénigrement sans fondement contre des experts du département d’État accusés d’avoir perdu la Chine. Si l’administration de Trump poursuit sa trajectoire actuelle, elle sera peut-être bientôt accusée de quelque chose de similaire. Ceux qui seront accusés d’avoir « perdu la Turquie » seront une fois de plus les personnes qui ont averti du danger et non les véritables coupables. Continuer la lecture

Syrie – Les Turcs attaquent Afrin, les Américains se plantent, les Kurdes sont encore dans le mauvais camp


Moon of Alabama

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Par Moon of Alabama – Le 21 janvier 2018

Après l’échec des négociations entre la Russie / Syrie et les Kurdes d’Afrin, la partie russe a conclu un accord avec la Turquie. Maintenant la Turquie attaque Afrin pendant que tout le monde regarde ailleurs. La principale raison de ce développement est la décision des États-Unis d’occuper le nord-est de la Syrie avec l’aide du YPG / PKK kurde. La stratégie d’occupation s’avère déjà être un échec. Les Kurdes ont fait le mauvais choix. Ils sortiront perdants du jeu. Continuer la lecture

Non, les États-Unis n’ont pas abandonné les Kurdes syriens


Par Andrew Korybko – Le 2 décembre 2017 – Source Oriental Review

Trump Erdogan phone callTrump s’est ostensiblement compromis devant le président turc Erdogan en promettant qu’il va cesser d’armer les Kurdes syriens.

Les dirigeants américains et turcs se sont entretenus par téléphone vendredi dernier, entretien au cours duquel Trump aurait déclaré à son homologue qu’il cesserait de donner des armes aux Kurdes syriens. La partie turque a rapporté que Trump a qualifié la politique de l’administration précédente, armant les YPG, d’« absurdité » et a promis d’y mettre fin, alors que la lecture officielle de la Maison Blanche était plus ambiguë et a dit qu’il « avait informé le président Erdogan des ajustements en cours concernant le soutien militaire fourni à nos partenaires sur le terrain en Syrie ».

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Turquie-OTAN : le départ de la Turquie mènera à l’effondrement complet de l’Alliance


Le 22 novembre 2017 – Source sputniknews.com

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Les relations entre la Turquie et ses alliés de l’OTAN ont empiré cette semaine après que le président Erdogan ait conseillé au parlement de reconsidérer l’adhésion d’Ankara à l’alliance. Yunus Soner, vice-président du parti Vatan en Turquie, a déclaré à Spoutnik que le retrait de son pays de l’alliance occidentale est pratiquement inévitable.

Les retombées des scandaleuses manœuvres de l’OTAN en Norvège la semaine dernière, où le président turc Recep Tayyip Erdogan et le père fondateur de la Turquie moderne, Mustafa Atatürk, ont été dessinés sur une « carte des ennemis ». Lundi, Yalcin Topcu, un conseiller clé du président, a exhorté les législateurs à reconsidérer l’adhésion de la Turquie au bloc militaire.
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Trump veut la paix avec Erdogan. Ses militaires n’en veulent pas.


Par Moon of Alabama – Le 25 novembre 2017

Le président Trump tente de calmer le différend entre la Turquie et les États-Unis. Mais la junte militaire de la Maison Blanche entretient des plans différents. Elle tente donc de contourner la décision que le président a annoncée à son homologue turc. Les conséquences n’en seront qu’encore plus d’acrimonie turco-américaine.

Hier, le ministre turc des Affaires étrangères a, de manière surprenante, rendu public un appel téléphonique entre le président Trump et le président turc, Erdogan.

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Erdogan n’est pas tant en position de force qu’il n’y paraît. C’est ce qui le rend dangereux.


Apparemment, rien n’arrêtera le dirigeant turc dans ses tentatives pour centraliser le pouvoir et toutes les tentatives qui ont échoué le rendent encore plus désespéré.


Par Conn Hallina – Le 5 avril 2017 – Source Foreign Policy in Focus

À première vue, la volonté de Recep Tayyip Erdogan de créer une présidence exécutive avec un pouvoir presque illimité grâce à un référendum national ressemble à un coup facile.

L’homme n’a pas perdu d’élection depuis 1994, il a pipé les dés et tout mis de son côté pour le vote du 15 avril [gagné d’une courte tête, NdT]. Utilisant le coup d’État de l’été dernier comme rempart, il a déclaré l’état d’urgence, a licencié 130 000 employés du gouvernement, a emprisonné 45 000 personnes, y compris des parlementaires de l’opposition, et a fait fermer 176 médias. Le Parti populaire républicain, un parti d’opposition, déclare qu’il est harcelé par les menaces de mort des partisans du référendum et les arrestations par la police.

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