En Israël, la pression pour détruire la mythique mosquée Al-Aqsa à Jérusalem se généralise


Ce site antique qui remonte à l’an 705 a fait l’objet de destructions par des groupes extrémistes qui cherchent à effacer l’héritage musulman de Jérusalem à la poursuite d’ambitions coloniales et de la réalisation des prophéties de la fin des temps.


Par Whitney Webb − Le 24 juin 2019 − Source Mint Press News

webbL’emblématique  Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa, situés sur le mont du Temple ou Haram el-Sharif, est le troisième site le plus saint de l’islam, il est reconnu dans le monde entier comme symbole de la ville de Jérusalem. Pourtant, cet ancien site qui remonte à l’année 705 est ciblé par des groupes extrémistes de plus en plus influents qui cherchent à effacer l’héritage musulman de Jérusalem à la poursuite des ambitions coloniales et de la réalisation des prophéties de la fin des temps.

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Le Saker US approfondit le thème “tout le monde y gagne” en Syrie


Par The Saker − Le 23 octobre 2019 − Source thesaker.is via Unz Review

2015-09-15_13h17_31-150x112Dans son récent article intitulé «Le chemin de Damas : comment la guerre en Syrie a été gagnée», Pepe Escobar a résumé le résultat de la guerre en Syrie de la manière suivante :

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L’histoire inédite de la prise du pouvoir par le sionisme chrétien aux États-Unis


Par Whitney Webb − Le 12 juillet 2019 − Source MintPress via Unz Review

whitney-4882-120x120Bien avant que Theodore Herzl ait fondé le sionisme politique et publié The Jewish State, les sionistes chrétiens aux États-Unis et en Angleterre cherchaient déjà à diriger et à influencer la politique étrangère des deux nations au service d’une prophétie obsessionnelle. 

La plus grande organisation pro-israélienne aux États-Unis n’est pas composée de Juifs, mais d’évangélistes chrétiens, avec un total de 7 millions de membres, soit plus de 2 millions de plus que l’ensemble de la communauté juive américaine.

John Hagee

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« Les guerres de Syrie » de Michel Raimbaud : résistance, mode d’emploi

"La Syrie n’a jamais eu bonne presse auprès des élites politiques dirigeantes de l’Hexagone. Et pour cause : ce pays récalcitrant, farouchement attaché à sa souveraineté, porte-étendard du nationalisme arabe, résolument anti-impérialiste, dernier rempart contre l’entreprise sioniste en Palestine, membre central de ce qu’il est désormais appelé Axe de la Résistance qui l’unit au Hezbollah libanais, à la résistance palestinienne, à l’Iran et à l’Irak, un axe adossé à une Russie ressuscitée sur les décombres de l’Union soviétique. Un pays séculier, attaché aux principes du non-alignement définis par la Conférence de Bandung de 1955, qui s’est tenu du côté de tous les mouvements de libération à travers le monde et qui n’a pas hésité à s’engager au côté du peuple algérien dans sa guerre de libération nationale. Last but not least : il a toujours porté la cause palestinienne dans son cœur envers et contre tous, y compris dans la tourmente qui a failli l’emporter depuis 2011. Autant de raisons pour le vouer aux gémonies" Michel Raimbaud

Par Majed Nehmé − Le 30 septembre 2019 − Source Afrique-Asie

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Ce n’est pas par hasard si le premier chapitre du livre de Michel Raimbaud, ancien ambassadeur, ancien président de l’OFPRA, professeur de sciences politique et auteur de Les Guerres de Syrie, reprend la célèbre locution de Caton l’Ancien Delenda est Carthago  – il faut détruire Carthage -, « Delenda est Syria », une vielle obsession. Un vieil acharnement sans doute puisque Caton, qui avait coutume de prononcer cette formule à chaque fois qu’il commençait ou terminait un discours devant le Sénat romain, quel qu’en fût le sujet, avait également participé à la guerre contre la Syrie alors dirigée par le roi Antiochos III le Grand ! Ce dernier avait eu l’audace de recevoir Hannibal le fugitif dans sa cour et de contribuer à l’armer contre Rome, alors seule puissance hégémonique montante.

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Comment la CIA, le Mossad et “le réseau Epstein” exploitent les fusillades de masse pour créer un cauchemar orwellien


Par Whitney Webb – Le 6 septembre 2019 – Source MintPress News

Graphique par Claudio Cabrera

À la suite d’une autre fusillade de masse ou d’une autre crise catastrophique, des “solutions” orwelliennes vont être imposées à un public américain effrayé par un réseau d’influence très organisé, pas seulement autour de Jeffrey Epstein, mais d’une litanie de crimes et d’une histoire effrayante de plans pour écraser la dissidence interne aux États-Unis.
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Un point de vue du bord du gouffre


Par James Howard Kunstler – Le 16 septembre 2019 – Source kunstler.com

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Bienvenue dans un monde où les choses n’ont pas de sens. Par exemple, certaines personnes ont fait certaines choses à la raffinerie de pétrole saoudienne d’Abqaiq au cours du week-end. Une salve de missiles de croisière et de drones armés pour la faire exploser. Ils ont fait du bon travail en bloquant l’activité. Il s’agit de la plus grande installation de traitement du pétrole d’Arabie saoudite et, pour l’instant, peut-être pendant des mois, une bonne partie de l’approvisionnement mondial en pétrole sera coupé. Le Président Trump a dit : ” Nous attendons que le Royaume nous dise qui, selon lui, est à l’origine de cette attaque et les termes selon lesquels nous allons agir !” Le point d’exclamation est de lui.

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Le départ de Bolton aura un impact sur la politique étrangère américaine, et voici comment


Par M. K. Bhadrakumar – Le 11 septembre 2019 – Source Indianpunchline.com

Lors d’un point de presse mardi après-midi à Washington, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a mis en garde contre toute estimation précipitée que la sortie du Conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, indiquerait un changement sismique dans la politique étrangère de l’administration Trump.

Pompeo a déclaré : « A mon avis, aucun dirigeant dans le monde ne devrait présumer que, parce que certains d’entre nous s’en vont, la politique étrangère du Président Trump changera de façon concrète. »

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La fin d’Israël


Gilad Atzmon − Le 12 september 2019 − Source Unz Review

Israel

La leçon à tirer de l’impasse politique israélienne actuelle est qu’Israël est en train d’imploser, de se disperser en ses différents éléments qu’il n’a jamais réussi à intégrer en une unité. Le schisme ne vient plus de la dichotomie quotidienne entre juifs ashkénazes et juifs arabes (alias séfarades) ; cette division est à la fois idéologique, religieuse, spirituelle, politique, ethnique et culturelle. Cela ne vient pas non plus d’une décomposition entre la gauche et la droite, les juifs israéliens étant politiquement de droite même lorsqu’ils prétendent être “de gauche”. Bien que certaines des voix critiques les plus acerbes de la politique israélienne et du fondamentalisme juif soient des Israéliens (comme Gideon Levi, Shlomo Sand, Israel Shamir et d’autres), il n’existe plus aucune gauche politique israélienne. La politique israélienne se divise maintenant en de nombreux électeurs d’extrême droite et de nombreux faucons ordinaires. Le parti Arab Joint List est pratiquement le seul parti de gauche à la Knesset israélienne. Cela ne devrait plus surprendre quiconque. La gauche juive, comme je l’affirme depuis de nombreuses années, est un oxymore ; la judaïcité est une forme d’identification tribale alors que la gauche est universaliste. Les “tribaux” et les “universalistes” sont comme l’huile et l’eau, ils ne se mélangent pas très bien.

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Un petit rappel de la faible valeur des analyses partisanes.


2015-05-21_11h17_05Par Moon of Alabama – Le 9 septembre 2019

Avi Issacharoff est un “expert sur le Moyen-Orient” israélien qui écrit pour le Times of Israel et d’autres publications du même genre.

Le 27 août, il affirmait que les drones qui ont attaqué le Hezbollah à Beyrouth ne venaient pas d’Israël et que le dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, mentait à ce sujet : 

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Bibi Netanyahou en Ukraine nazie ou l’importance des mots


Par The Saker − Le 28 août 2019 − Source thesaker.is via Unz Review

2015-09-15_13h17_31-150x112Le Premier ministre israélien s’est rendu à Kiev aujourd’hui, où il a été accueilli par le – pseudo – slogan «traditionnel» ukronazi “Gloire à l’Ukraine ! Gloire aux héros !”. Pour quelqu’un comme moi qui n’aime ni le sionisme, ni le nazisme, il était ironique de voir un premier ministre israélien se rendre officiellement en Ukraine, occupée par les nazis, pour commémorer le massacre des Juifs à Babii Iar, salué par le même slogan que celui entendu par les Juifs assassinés à Babii Iar de la bouche des bourreaux banderites, alors qu’ils se faisaient tirer dessus.

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