Par M. K. Bhadrakumar − Le 12 avril 2021 − Source Oriental Review
Le destroyer à missiles guidés USS John Paul Jones, qui a croisé au large des îles Lakshadweep le 7 avril dernier, a jeté les sinophobes indiens en état de confusion. Un quotidien de premier plan l’a signalé comme « une rare chute entre deux partenaires du groupe Quad ». Un analyste anti-chinois a tweeté qu’il s’agit simplement d’un « exercice de relations publiques raté » de la part des Étasuniens.
Le ministère des affaires étrangères a opté pour une perspective légaliste comme s’il répondait à une ordonnance de la haute cour de Delhi. Mais réfléchissons sérieusement. Oui, il s’agit d’un rare heur au sein de la confortable famille du Quad. Mais Quad n’est qu’un bambin. Que va-t-il donc se passer lorsque le président Biden la dressera au statut d’adolescent tapageur?

Le destroyer USS John Paul Jones, de classe Arleigh Burke
C’est le troisième livre d’Andrei Martyanov que je passe en revue. Le premier était
L’US Navy a dévoilé il y a peu sa doctrine « Avantage en mer », qui identifie l’Océan Arctique comme prochain théâtre de la tentative menée par les États-Unis d’isoler la Russie et la Chine. Pour parvenir à cette fin, le document propose que Washington recoure à des moyens désespérés, comme un déploiement de ses forces navales de manière risquée, à des fins de « désescalade » qui font peser le risque de provoquer une guerre nucléaire.
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Twitter affirme avoir suspendu 130 comptes iraniens qui « tentaient de perturber la conversation publique » pendant le débat présidentiel américain.
L’inscription, dans la liste noire américaine des personnes sanctionnées, de la procureure de la Cour pénale internationale Fatou Bensouda équivaut à «une tentative inacceptable d’interférer avec l’état de droit», a déclaré la CPI après l’annonce des sanctions par le secrétaire d’État américain Mike Pompeo.
