Par Michael Krieger − Le 19 mai 2020 − Source Liberty Blitzkrieg
Il y a un passage dans le célèbre discours de Teddy Roosevelt de 1910 sur «La citoyenneté dans une République» que je veux partager avec vous aujourd’hui :
Si l’efficacité d’un homme n’est pas guidée et régulée par un sens moral, alors plus il est efficace, pire il est, plus il est dangereux pour le corps politique. Le courage, l’intellect, toutes les qualités magistrales ne servent qu’à rendre un homme plus mauvais s’ils ne sont utilisés que pour son propre intérêt, avec une indifférence brutale aux droits des autres. Cela avilit la communauté si elle vénère ces caractères et traite leurs possesseurs comme des héros, que ces qualités soient utilisées correctement ou incorrectement. Cela ne fait aucune différence quant à la manière précise dont cette sinistre efficacité est présentée. Peu importe que la force et les capacités d’un tel homme se dévoilent dans une carrière d’entrepreneur ou de politicien, de soldat ou d’orateur, de journaliste ou de dirigeant populaire. Si l’homme travaille pour le mal, alors plus il réussira, plus il devra être méprisé et condamné par tous les hommes droits et clairvoyants. Juger un homme simplement par ses succès est un tort odieux ; et si les gens en général jugent ainsi habituellement les hommes, s’ils apprennent à tolérer la méchanceté parce que le méchant triomphe, ils montrent leur incapacité à comprendre qu’en dernière analyse les institutions libres reposent sur le caractère de la citoyenneté, et par une telle admiration pour le mal ils se révèlent inaptes à la liberté.

N’êtes vous pas divertis ?
Le gouvernement fédéral allemand et les médias grand public sont engagés dans la lutte pour réparer les dommages causés par un 
Et donc, avec le meurtre abominable de George Floyd à Minneapolis, l’appel à la justice divine recommence – c’est-à-dire la justice qui règle les innombrables griefs raciaux depuis toujours, ce qui, bien sûr, est peu susceptible d’être satisfait par aucun moyen. Floyd a été assassiné par l’officier de police Derek Chauvin qui a appuyé son genou sur le cou de Floyd [menotté à plat ventre sur le sol, NdT] pendant huit minutes avec toute la force de son poids tandis que trois autres agents regardaient stupidement la scène, sans intervenir, jusqu’à ce que Floyd soit mort.
J’aime les théories du complot ; elles tentent d’injecter du sens dans des ensembles de faits divers, qui sont sinon incohérents. Ils apportent de la rationalité dans notre vie, comme dirait notre ami E. Michael Jones. 
Par
George Soros, milliardaire philanthrope, et financier des infâmes révolutions de couleur, a récemment développé sa vision quant aux relations internationales dans le contexte de guerre mondiale contre le coronavirus, dans le cadre d’une interview accordée au journal britannique The Independent. Sa conclusion, quelque peut inattendue, est que l’arbitrage récent établi par la cour constitutionnelle allemande, opposé à l’achat d’obligations nationales par la banque centrale européenne constitue une « menace existentielle » pour l’Union européenne, et donc à sa « précieuse » vision d’une « société ouverte ». Une menace plus grande que celles supposément posées par le COVID, par Trump, par la Chine, sur lesquels il ne s’était précédemment pas privé de se montrer alarmiste.
Depuis des années, les éco-fanatiques, militants et scientifiques, nous disent que la «fête» prendra fin. La planète sur laquelle nous sommes coincés ne peut pas tenir plus longtemps, elle devient trop encombrée et insupportablement chaude. La plupart des gens n’ont pas vraiment remarqué la situation et pour une raison.
Les magasins d’alcools et les armureries ouvrent leurs portes, mais les églises sont fermées. Pourquoi les gouverneurs américains mettent-ils à la poubelle le premier amendement ?
Je vais vous donner un indice. Ce ne sont pas les Russes, ni les suprématistes blancs, ni les Gilets jaunes, ni le Culte Nazi de la Mort de Jeremy Corbyn, ni le misogyne Bernie Bros, ni les terroristes à la casquette MAGA, ni aucune des autres forces «populistes» réelles ou fictives auxquelles le capitalisme mondial fait la guerre depuis quatre ans.