Le 12 octobre 2016 – Source Moon of Alabama
J’ai parlé, le 20 septembre, de la raison probable de l’attaque volontaire américaine sur une position cruciale de l’armée syrienne à Deir Ezzor. Continuer la lecture
Le 12 octobre 2016 – Source Moon of Alabama
J’ai parlé, le 20 septembre, de la raison probable de l’attaque volontaire américaine sur une position cruciale de l’armée syrienne à Deir Ezzor. Continuer la lecture
Par Sharmine Narwani – Le 4 septembre 2016 – Source Alwaght
L’Axe de la Résistance est un excellent exemple d’efficacité dans la région : il a pris de bonnes mesures militaires, politiques, économiques pour diminuer les inégalités. Mais l’Axe n’accorde pas assez d’importance à la propagande. Par propagande, je ne veux pas dire mentir, non, je veux dire qu’il faut que les gouvernements de l’Axe de la Résistance présentent leur version des faits avec intelligence. Il est temps qu’ils reconnaissent qu’ils ont perdu la guerre des narratives, explique Sharmine Narwani.
Mme Narwani est une auteure qui était auparavant chercheuse sur l’Asie de l’Ouest (le Moyen-Orient) au Collège Saint Anthony de l’Université d’Oxford. Elle a un master en journalisme et un autre en études d’Asie de l’Ouest de l’École des affaires publiques et internationales de l’Université de Columbia à New York. Narwani vit actuellement à Londres. Son article Comment les narratives ont tué le peuple syrien a été publié pour la première fois par RT (Russia Today) et a été traduit en sept langues. Nous l’avons interviewée. Continuer la lecture
Le paiement par les États-Unis de 400 millions de dollars à l’Iran est un signe que sa longue période d’isolement touche à sa fin.
Par Adam Garrie – Le 5 août 2016 – Source The Duran
Les révélations sur le transfert de 400 millions de dollars du gouvernement Obama à l’Iran, payés en liquide, en ont fait tiqué plus d’un à travers le monde. Cela a confirmé le rapprochement entre deux nations dont les relations ont, pendant des décennies, été au plus bas. Bien que ce rapprochement ne soit pas d’aussi grande envergure et aussi ambitieux que celui de Nixon avec la Chine maoïste, il est curieux de voir que le rôle de l’Iran dans la région et dans le monde a changé si rapidement, si récemment.
«... La guerre en Tchétchénie a montré que les russes peuvent tuer une quantité de wahhabites. Mais seuls les musulmans peuvent tuer l’idéologie wahhabite.» The Saker
Par The Saker – Le 8 août 2016 – Source thesaker.is
Dans nombre de mes articles précédents, j’ai tenté de montrer que les terroristes qui ont commis les atrocités récentes aux États-Unis, en Europe et ailleurs n’étaient vraiment pas du tout motivés par des valeurs islamiques et que les dirigeants de l’Empire anglosioniste essaient de créer un récit de choc des civilisations, dans lequel le monde occidental et le monde musulman sont en train d’entrer en collision.
Par Marwa Oswan – Le 26 mai 2016 – Source The Saker
Dans une interview avec le site officiel du Guide de la Révolution islamique d’Iran réalisée à Beyrouth par Marwa Osman, Seyyed Hachem Safieddine, Président du Conseil exécutif du Hezbollah au Liban, commémore le 25 mai, Jour de la Résistance et de la Libération, en rappelant que l’entité sioniste est jusqu’à aujourd’hui incapable d’assumer sa défaite au niveau moral, militaire et combatif, après celle subie au cours de la guerre de 2006. Il dit que la libération du Sud-Liban en l’an 2000 est un véritable cauchemar touchant l’armée, les leaders politiques et militaires israéliens, et que ce cauchemar est toujours ancré dans leur conscience, leur culture, et leurs institutions sécuritaires et militaires.
Seyyed Safieddine déclare à Khamenei.ir : «Notre perception des intérêts israéliens autant qu’américains, nous indique que ce n’est pas le moment pour une nouvelle guerre.»
Il souligne : «L’Ayatollah Seyed Ali Khamenei nous assure que la victoire sera de notre côté, et ses paroles ont un grand impact sur nous tous et sur les âmes des moudjahidines (combattants de la résistance).» Son éminence déclare également que l’Ayatollah Khamenei voit toujours le futur avec optimisme et promet constamment que notre région regagnera son auto-détermination et reviendra à son peuple. Et que le jour viendra où il n’y aura plus d’Israël et où l’hégémonie américaine dans la région prendra fin.
Par Ibrahim Tabet – Avril 2016
La conclusion d’un accord partiel (et provisoire ?) de cessez-le feu en Syrie qui ne concerne pas la guerre contre Daech et le front al-Nosra, ne signifie pas nécessairement qu’une solution politique soit en vue.
L’éradication probable à terme du califat terroriste au nord-est du pays écarte sans doute le spectre de la remise en question de ses frontières. Mais elle ne garantit pas sa réunification, et encore moins l’instauration d’une démocratie inclusive et une réconciliation nationale.
Par Andre Vltchek – Le 2 avril 2016 – Source New Eastern Outlook
Maintenant que les forces armées syriennes ont libéré Palmyre, le président al-Assad a remercié Vladimir Poutine et le peuple russe pour le soutien important qu’ils ont apporté à son pays. Main dans la main, la Syrie et la Russie ont combattu État islamique et d’autres groupes terroristes opérant dans la région – principalement les implants des fidèles alliés de l’Occident : l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie. Continuer la lecture
Sionisme, génocide et tradition coloniale
en Syrie contemporaine
Par Stephen Gowans – Le 2 avril 2016 – Source gowans.wordpress
ISIS «est auto-proclamé génocidaire par son idéologie, et ses actes.» – Secrétaire d’État, John Kerry 1
«Si nous devions choisir entre ISIS et Assad, nous prendrions le premier.» – Ancien ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Michael Oren, maintenant membre de la Knesset 2.
Par Ibrahim Tabet – Mars 2016
En 1916, lors de la Première Guerre mondiale, la France et la Grande-Bretagne s’entendirent secrètement pour se partager les provinces arabes de l’Empire ottoman promis à un ultime démembrement. Les accords Sykes-Picot, nom donné à cette entente, stipulaient que la France et la Grande-Bretagne seraient disposées à reconnaître et à soutenir des États arabes indépendants dans deux zones : une zone A englobant la Syrie intérieureet la région de Mossoul que la France serait seule apte à conseiller, et une zone B allant de la Jordanie actuelle à Kirkouk où la Grande-Bretagne jouirait de la même influence exclusive. De plus la Grande-Bretagne serait autorisée à administrer directement une zone rouge formée de la Mésopotamie et la France une zone bleue comprenant le Mont-Liban, le littoral syrien et la Cilicie. Quant à la Palestine, compte tenu du rôle de Jérusalem pour les trois religion monothéistes, elle serait soumises à une administration internationale. Ces accords cadre firent toutefois l’objet de changements dictés par le nouveau contexte politique et les rapports de force sur le terrain. C’est ainsi par exemple que la France fut contrainte de céder la Cilicie à la Turquie et qu’elle dut renoncer au wilayet de Mossoul au profit de l’Angleterre. Ils déboucheront, après la guerre, sur la formation des États du Levant (Palestine, Transjordanie, Irak, Syrie et Grand Liban). Continuer la lecture
L’état d’esprit fondamentaliste sunnite que les Saoudiens et l’argent du Golfe ont forgé, perçoit l’Iran et le Hezbollah comme une plus grande menace régionale qu’Israël. Le terrain devient ainsi plus propice à une alliance des fondamentalistes sunnites et israéliens. Le besoin stratégique est déjà pressant et le soutien populaire n’est pas très loin.
Par Ghassan Kadi – Le 13 mars 2016 – The Vineyard of the Saker.
Dans un article publié par le quotidien libanais Assafir le 12 mars 2016 sous le titre L’Arabie saoudite prépare le chemin pour une guerre israélienne contre le Liban, le rédacteur en chef politique s’est fendu d’un commentaire sarcastique en se moquant du fait que si la Ligue arabe a pu déclarer que le Hezbollah est une organisation terroriste, elle pourrait tout autant demander officiellement à Israël de lui déclarer la guerre. Continuer la lecture