Par Kit Klarenberg – Le 16 juin 2023 – Source Mint Press News

Cet immeuble à la façade de verre situé dans le quartier chinois de New York fait partie des centaines d’immeubles dans le monde accusés, par Safeguard Defenders, d’abriter des bases secrètes d’espionnage chinoises. Bebeto Matthews | AP
Depuis des mois, les grands médias du monde occidental – en particulier les médias anglophones basés dans les pays membres du réseau d’espionnage mondial « Five Eyes » – sont inondés d’informations voulant faire peur au sujet de « commissariats de police chinois » secrets qui opèrent dans le monde entier.
Ces « commissariats » seraient des cellules secrètes et non officielles de sécurité et de renseignement du Parti communiste chinois (PCC) dissimulées dans des entreprises privées gérées par des émigrés chinois, telles que des restaurants. Derrière une façade anodine, elles surveillent et harcèlent les expatriés favorables à la démocratie, entre autres activités néfastes.
Par contre, Pékin nie leur existence, affirmant que les exemples cités ne sont que des initiatives anodines mises en place par des bureaux régionaux pendant la pandémie de COVID-19. Il s’agirait principalement de services administratifs offerts aux citoyens chinois à l’étranger, tels que le renouvellement du permis de conduire.
Depuis longtemps, la Central Intelligence Agency (CIA) américaine prépare des « évolutions pacifiques » et des « révolutions colorées », ainsi que des activités d’espionnage dans le monde entier. Les détails de ces opérations ont toujours été obscurs, mais un nouveau rapport publié jeudi par le Centre national chinois de réponse d’urgence aux virus informatiques et la société chinoise de cybersécurité 360 a dévoilé les principaux moyens techniques utilisés par la CIA pour organiser et promouvoir l’agitation dans le monde.

L’ancien patron temporaire de la CIA, Michael Morell, a révélé une conspiration visant à cacher le scandale du au portable de Hunter Biden :
Depuis que des émeutes soutenues par l’étranger ont éclaté en Iran à la mi-septembre, les médias occidentaux ont fréquemment attiré l’attention sur le rôle de Psiphon, une application pour smartphone qui permet aux utilisateurs de contourner les restrictions imposées aux sites Web et aux ressources en ligne afin d’aider les fauteurs de troubles à organiser et à coordonner leurs activités, à envoyer et recevoir des messages vers et depuis le monde extérieur.