Le Pentagone choisit l’option nucléaire contre la Russie

Par Pepe Escobar – Le 28 juin 2015 – Source Russia Insider 

En seulement quinze ans, la Russie a pris deux générations d’avance sur les États-Unis dans le domaine des missiles et pourrait être en mesure de lancer la première une frappe nucléaire. Les États-Unis flippent.

Continuer la lecture

Madeleine Albright égale à elle-même sur CNN



RIPar Johanna Ross – Le 26 juin 2015 – Source Russia Insider

 

Madeleine Albright

Lors de sa dernière interview l’ancienne Secrétaire d’État nous démontre simplement combien les arrangeurs de la politique étrangère de USA sont loin de comprendre la politique russe ainsi que leur basique ignorance crasse de celle-ci.
Ne vous laissez pas berner par l’image de cette dame. Son collier de perles et sa chevelure permanentée pourraient bien la faire ressembler à votre grand-maman.

Continuer la lecture

Immigration : L’Europe paie les pots cassés

La couverture médiatique sur la crise des migrants en Europe ignore la cause principale : l’Otan


Par Danielle Ryan – Le 23 juin 2015 – Source Russia Insider

Danielle Ryan

Les médias semblent déterminés à ne pas mettre le doigt sur la principale cause de la vague d’immigration clandestine que subit l’Europe, c’est-à-dire le chaos et la misère provoqués par la politique des Etats-Unis en Libye, en Syrie, en Irak, au Yémen et en Somalie.

L’ampleur de cette crise que subit l’Europe ne doit pas être sous estimée. Elle est vraiment sans précédent. Ce qui est plutôt sous estimé, on peut même dire complètement ignoré par les médias de masse, sont les causes réelles de cette crise.

Continuer la lecture

Guerre des chefs : Schloss Elmau contre Ufa


Par Andrew Korybko – Le 8 juin 2015 – Source thesaker.is

Les grands médias adulent les leaders du G7 et leur dernière rencontre en date, se plaisant à rappeler que, comme prévu, la Russie en a été exclue. Ils ont décidé d’en rajouter sur le côté cool de l’événement en soulignant la décontraction de tous les leaders, donnant l’impression que Poutine est passé à côté d’une soirée feu de camp sympa avec ses copains plutôt que de l’une des réunions pro-Occident les plus importantes de l’année. Bien que certains regrettent l’absence de la Russie, ils oublient les sommets relativement plus importants que cette dernière accueillera le mois prochain. Les sommets des BRICS et de l’OCS, qui se succéderont début juillet à Oufa, dans l’Oural, rassembleront les acteurs et les agitateurs les plus importants du monde actuel. Par rapport au G7, on voit clairement que les sommets du monde multipolaire et du monde unipolaire se retrouvent dos à dos, et que, in fine, la Russie a plus à gagner en se rangeant du côté des premiers plutôt que du second.

Le sommet du G7 (Otan + Japon)

Le sommet organisé en Allemagne serait plutôt à considérer comme un rassemblement des alliés les plus importants de l’Otan. Pour l’essentiel, il fonctionne comme un club de discussion transatlantique déguisé en forum économique. La présence du Japon tient au fait qu’il représente le bastion géopolitique de l’Occident en Orient. Au-delà des commentaires rituels sur le dérèglement climatique, cette rencontre a vu ses membres condamner unanimement la supposée agression russe en Ukraine et plaider en faveur du maintien des sanctions malgré le retour de bâton économique qu’elles impliquent pour certains d’entre eux. Cette année, on y a également vu une poignée de pays non européens coopératifs, les dirigeants de l’Ethiopie, de l’Afrique du Sud, de l’Irak, de la Tunisie, du Nigeria et du Sénégal étant accourus à Schloss Elnau pour parler politique avec les grands. Chacun d’eux recherche une assistance quelconque de l’Occident, par exemple dans la lutte contre le terrorisme, leur participation devant alors être considérée comme révélatrice des lieux où le monde unipolaire s’apprête à frapper.

Certains de ces États non européens sont de purs vassaux, comme l’Irak, la Tunisie et le Sénégal, tandis que les autres (Éthiopie, Afrique du Sud, Algérie et Nigeria) oscillent entre les mondes unipolaire et multipolaire, leurs dirigeants s’efforçant de trouver le bon équilibre (ou le plus profitable). Il est évident que plus ils se rapprocheront de l’Occident, plus ils lui seront inféodés sur le plan stratégique. L’Algérie, par exemple, constitue toutefois un cas à part, car il lui est extrêmement difficile de manœuvrer hors de son confinement géopolitique. L’Afrique du Sud, par contre, n’a aucune bonne excuse à proposer pour sa présence au G7 sans son allié BRICS, la Russie, hormis le fait que Zuma tient à s’afficher aux côtés des grands manitous occidentaux. Quoi qu’il en soit, dès qu’on prend un peu de recul, on voit clairement que l’Occident compte utiliser ces États comme têtes de pont dans leurs régions d’Afrique respectives (l’Irak jouant déjà ce rôle pour l’ensemble du Moyen-Orient).

Les sommets des BRICS et de OCS (multipolaires)

Le sommet multipolaire d’Oufa est bien différent de celui du G7 au château d’Elmau. Pour commencer, les BRICS réunissent les forces géopolitiques parmi les plus notables d’Eurasie, d’Afrique et d’Amérique du Sud, chacune d’elles ayant un intérêt dans la construction d’un monde multipolaire. En ce qui concerne l’Afrique du Sud, comme nous l’avons vu, Zuma veut jouer à la politique avec les marionnettistes occidentaux alors que, en même temps, l’establishment de son pays est lancé sur une trajectoire multipolaire. Cette identité politique bipolaire fait de l’Afrique du Sud le plus faible et le plus instable des BRICS. Il est probable qu’il n’y a été intégré que pour servir de porte d’entrée économique au reste du continent, en commençant par les pays relativement stables du cône méridional. Cela dit, et quoi qu’il en soit de l’Afrique du Sud, il reste acquis que les BRICS poursuivront la mise en place de leur architecture financière non occidentale en renforçant la Nouvelle banque de développement (souvent appelée Banque des BRICS) dont la naissance a été annoncée il y a peu. Des déclarations fermes de rejet des sanctions unilatérales faisant clairement référence à la politique occidentale à l’encontre de la Russie sont probablement à l’ordre du jour, tout comme pourraient l’être quelques projets bilatéraux ou multilatéraux inattendus entre les membres du groupe.

La seconde partie de l’assemblée multipolaire, le sommet de l’OCS, s’annonce encore plus passionnante que celui des BRICS. Les principaux membres du groupe seront rejoints par tous les observateurs et partenaires du dialogue, la majorité de l’Eurasie étant représentée sous une forme ou une autre. On rapporte que l’Inde et le Pakistan seront finalement admis en tant que membres à part entière, tandis que la Russie a laissé entendre que la même chose pourra avoir lieu avec l’Iran si les sanctions internationales sont levées d’ici le 30 juin, juste avant le début de l’événement. De plus, le secrétaire général du groupe, Dimitri Mezentsev, a annoncé début février que la Syrie, l’Arménie, l’Azerbaïdjan, la Biélorussie et le Bangladesh demanderaient le statut d’observateur, tandis que les Maldives et le Népal ont demandé à participer au dialogue. Tout cela signifie que l’OCS est en passe de rassembler la plus grande partie de l’Asie en vue de constituer un jour un concert des grandes puissances dans les questions de sécurité de l’Eurasie. Les synergies envisagées entre des membres officiels et officieux aussi divers présentent certainement des difficultés, mais ce qu’il faut retenir, c’est que l’OCS s’emploiera à les faciliter par la mise en place d’un mécanisme de coopération plus étroite.

Cui Bono ? À qui profite le crime ?

Ayant vu ce qu’il en est des sommets du G7 et des BRICS/OCS, il convient de déterminer lequel des deux est le plus avantageux pour la Russie, et lequel lui est en fait stratégiquement préjudiciable.

G7 (OTAN + Japon) :

Le G8, comme on l’appelait lorsque Moscou en faisait partie, visait largement à rassurer l’Occident (Otan + Japon) et la Russie quant à leur sentiment réciproque d’insécurité. Les premiers avaient l’impression que les dirigeants russes pouvaient être influencés par la position pro-occidentale du groupe et que, si on leur laissait suffisamment de temps (comme le soutiennent toujours les atlantistes), ils finiraient par intégrer la communauté des nations occidentales en tant que partenaire junior. De son côté, la Russie avait une perception entièrement différente du groupe. Elle n’y voyait pas un abandon de ses intérêts ou de son identité, mais plutôt une reconnaissance triomphante de sa puissance et de son influence. Le fait que le chef de la Fédération russe était assis côte à côte avec ses pairs occidentaux dans les discussions autour des grands thèmes de l’année était une puissante marque de prestige. Cela montrait que, en dépit de ses objections permanentes concernant la démocratie, l’Occident traitait in fine la Russie sur un pied d’égalité.

Malheureusement, il est apparu que cette perception du G8 par la Russie était erronée, et que celle des pays occidentaux était plus proche de la réalité (également parce qu’ils représentent les 7/8 de ses membres). Cette pensée collective unipolaire a conduit à l’éviction de la Russie du G8 au début de la Nouvelle guerre froide, le groupe ayant annoncé clairement la couleur en se présentant comme une réunion unipolaire. Il n’a peut-être pas exercé explicitement cette fonction quand la Russie en faisait partie (1988-2014), mais c’est uniquement parce qu’il rongeait son frein à dessein en vue d’amener la Russie à se rapprocher (en particulier dans les dernières années Eltsine, lorsque la Russie s’est jointe à lui). Désormais, il n’a plus besoin de cette main de fer dans un gant de velours. Il peut se lâcher, d’où tout le battage agressif autour de la Russie et des sanctions. La Russie a semblé un peu déçue d’être évincée par le G8 l’année dernière, mais, rétrospectivement, c’est peut-être un mal pour un bien comme nous allons le voir.

BRICS/OCS (réunion multipolaire)

La Russie a mal calculé les avantages du G8, probablement parce qu’elle pensait pouvoir renforcer son influence en traitant d’égal à égal avec ses membres. Seulement, les deux seuls à être égaux dans le groupe étaient la Russie et les États-Unis, tous les autres étant inféodés à Washington et non des membres indépendants. La plus grande erreur de Moscou a donc été de penser que ces derniers poursuivraient logiquement leurs intérêts économiques et n’oseraient pas sanctionner leur partenaire ; la mise en œuvre des sanctions l’a démontré clairement. Ce rappel des faits en introduction de la section relative à l’assemblée multipolaire vise à montrer que celle-ci représente l’exact opposé des BRICS et de l’OCS. Dans ces organisations, tous les membres sont considérés comme égaux, aucun d’eux ne pouvant être décrit par quiconque comme une marionnette. La raison en est qu’ils ont tous suivi une trajectoire multipolaire au cours des deux dernières décennies, qui les a conduits à trouver un équilibre avec leurs principaux partenaires, comme dans le cas des pays d’Asie centrale vis-à-vis de la Russie et de la Chine. L’Inde, le Pakistan et l’Iran font de même, mais de manière plus affirmée que les pays d’Asie Centrale, en partie du fait de leur population plus nombreuses, d’une économie plus puissante et d’une plus grande liberté de mouvement géopolitique.

Rien de tout cela n’enlève cependant quoi que ce soit au fait que tous les membres des BRICS et de l’OCS sont des États indépendants ayant un programme de coopération commun. Les membres des BRICS s’attachent à instaurer un modèle économique plus équitable, d’où leurs initiatives de mise en place d’une architecture financière non occidentale et de renforcement de la coopération entre eux. Les membres de l’OCS, quant à eux, se caractérisent par leur opposition partagée aux fléaux que sont le terrorisme, le séparatisme et l’extrémisme. Ils sont très conscients des menaces existentielles que fait peser chacune de ces armes asymétriques. Si l’unité de vues entre l’Inde et le Pakistan laisse à désirer, il n’en demeure pas moins que tous deux souhaitent intégrer la même organisation régionale. Ils montrent ainsi que leur rivalité a ses limites et suscitent l’espoir que l’OCS pourra tempérer leur antagonisme mutuel. Après tout, tout le monde sait en Eurasie que les États-Unis profitent de tous les conflits et font tout pour y entretenir la division, et qu’ils ne répugnent pas à recourir au terrorisme, au séparatisme ou à l’extrémisme. Plus l’Eurasie est divisée, plus il est facile pour les États-Unis d’atteindre leurs objectifs stratégiques ; à l’inverse, plus elle est unie au travers de diverses structures (telles que l’OCS), mieux elle est armée pour résister et repousser toute ingérence extérieure superflue.

Conclusion

L’éviction de la Russie par le G7 a eu surtout pour conséquence, imprévue, le réveil de Moscou, qui rêvait jusque-là d’être acceptée par l’Occident et a brusquement pris conscience de sa situation cauchemardesque. En effet, l’Occident n’a jamais été un vrai partenaire, et tous ses gestes amicaux et déclarations de soutien ne visaient qu’au désarmement stratégique des décideurs russes. En réponse à la douche froide de la rhétorique anti-russe et aux agissements actuels de l’Occident (prétendument en bons termes avec Moscou il y a seulement quelques années), la Russie s’est tournée vers l’est et a déclaré fermement son intention de construire un monde multipolaire. Bien qu’annoncée de longue date, cette initiative n’a jamais été autant prise au sérieux qu’aujourd’hui. L’Occident a fait la preuve qu’il ne pourra jamais cohabiter pacifiquement avec la Russie tant que le caractère unipolaire restera à l’ordre du jour, et que la seule possibilité pour la Russie d’être traitée sur un pied d’égalité (sans même parler de sa survie sous sa forme politique et territoriale actuelle) consistera à se tourner résolument et définitivement vers l’Eurasie.

En conséquence, la Russie et la Chine se sont attachées à simplifier leur partenariat stratégique pour en faire le moteur de l’intégration pan-eurasienne (qui a déjà fait ses preuves dans le passé, mais pas à une échelle aussi ambitieuse) et instaurer la vision multipolaire qu’elles partagent. Dans ce contexte, les réunions multipolaires des BRICS et de l’OCS à Oufa peuvent être considérées comme la prochaine étape majeure de cette initiative. Il est d’ailleurs hautement symbolique qu’elles soient accueillies cette année par la Russie (et en plus, consécutivement). Rien d’autre ne saurait montrer à l’Occident avec plus d’éclat que la Russie le rejette autant qu’il rejette lui-même la Russie, aussi surprenant que cela puisse lui paraître de prime abord. Moscou indique que toute coopération entre la Russie et l’Occident devra dès lors obéir à ses conditions multipolaires de respect et d’égalité géopolitiques authentiques, et que l’époque où la Russie se précipitait dans les structures mises en place par l’Occident est depuis longtemps révolue. À la place de reliques unipolaires telles que le G7, des institutions multipolaires émergentes telles que les BRICS et l’OCS sont devenues les acteurs les plus dynamiques des événements mondiaux. Les intérêts souverains de la Russie sont mieux servis et protégés par l’alternative multipolaire que l’Occident lui a imposée involontairement.

Andrew Korybko

Traduit par Gilles Chertier, relu par jj  pour le Saker Francophone

   Envoyer l'article en PDF   

La logistique pour les nuls : qui ravitaille EI ?


2015-05-21_13h55_11

par Toni Cartalucci – Le 9 juin 2015 – Source NEO

Depuis toujours une armée nécessite un important soutien logistique pour lancer une campagne militaire d’envergure. A l’époque de la Rome ancienne, un large réseau de routes fut construit non seulement pour faciliter le commerce mais aussi pour permettre aux légions romaines de se déplacer rapidement là où l’on avait besoin d’elles, ainsi que pour transporter les fournitures nécessaires au soutien des opérations militaires qu’elles devaient mener.

Continuer la lecture

Le rêve américain : du G1 + supplétifs, à Bilderberg

«...WikiLeaks a publié, au moment opportun, l’annexe sur les soins de santé de la version provisoire et secrète du chapitre du PTP portant sur la Transparence, de pair avec la position de négociation de chaque pays. Pas étonnant que la version préliminaire soit secrète. Et l’accord n’a rien de transparent; il s’agit carrément d’un braquage flagrant des autorités sanitaires nationales par les grandes sociétés pharmaceutiques.

Pour résumer, ces trois mégas accords (PTP, TTIP et ACS) représentent le modèle absolu de ce qu’on pourrait poliment décrire comme une gouvernance d’entreprise mondiale, qui fait saliver Bilderberg. Les perdants : les États-nations et le concept même de démocratie occidentale. Les gagnants: les méga-multinationales..."
Pepe Escobar

Pepe Escobar

Par Pepe Escobar – 11 juin 2015 – Source Russia Today

Quel est le lien entre le sommet du G7 en Allemagne, la visite du président Poutine en Italie, la réunion du groupe Bilderberg en Autriche et les négociations en cours à Washington à propos de l’accord de libre-échange TTIP [Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement] USA-UE ?

Continuer la lecture

La militarisation de l’Histoire, le révisionnisme comme arme de destruction massive.

 


Andrew Korybko

Par  Andrew Korybko – Le 4 mai 2015 – Source thesaker.is

L’Eurasie est en voie de devenir intégrée comme jamais auparavant. La Route de la Soie chinoise et l’Union eurasienne de la Russie constituent la base structurelle pour cette connexion historique entre les continents.

Les États-Unis croient comprendre la menace que cela pose à leur hégémonie mondiale (voir Brzezinski et son Grand Échiquier), d’où le déploiement de sa dernière arme postmoderne de communication, la militarisation de la mémoire historique.

Continuer la lecture

Vous ne pouvez pas toujours obtenir ce que veut l’Otan


Pepe Escobar

Pepe Escobar

Par Pepe Escobar – 29 mai 2015 – Source : Sputnik News

Ce qui se dégage de la dorénavant légendaire réunion du 12 mai au Kremlin entre le président Poutine et le secrétaire d’État des USA John Kerry, c’est qu’après une campagne de diabolisation effrénée de la Russie par les USA, les deux parties pourraient être parvenues à une sorte d’accord. Évidemment, aucune source officielle, tant à Washington qu’à Moscou, ne le confirmera.

Continuer la lecture

Le monde à l’envers, le containment des US par les pays du BRICS

Le président Russe à prononcé des paroles inhabituellement dures envers la politique étrangère des États-Unis. Il cherche une alliance avec la Chine et les pays du BRICS pour pouvoir éliminer les failles de sécurité qui ont émergé dans le monde suite à la politique étrangère des États-Unis : l'intervention illégale de l'Occident à fortifié État islamique. Les BRICS doivent se protéger en commun contre de tels développements.

Le 27 mai 2015 – Source : Deutsche Wirtschafts Nachrichten

Le Président russe Poutine veut, avec la Chine de Xi Jinping, créer un axe qui tient en échec la politique étrangère des États-Unis. La Russie observe que les interventions de l’Occident dans le Moyen-Orient n’ont pas rendu le monde plus sûr. Photo/EPA/ALEXEI DRUGINYN/RIA NOVOSTI/KREMLIN POOL)

 

Continuer la lecture

Croatie : La bête immonde sort de sa tanière

La présidente croate rend hommage aux nazis oustachis alors qu’une version Lite du Quatrième Reich relève sa tête hideuse en Europe


 

Wayne Madsen

Wayne Madsen

Par Wayne MADSEN – Le 19 mai 2015 – Source strategic-culture

Le président de la Croatie, l’ex-secrétaire général adjoint de l’Otan pour la diplomatie publique Kolinda Grabar-Kitarovic, a décidé de rendre hommage aux nazis du régime croate nazi oustacha tués par les partisans yougoslaves à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Grabar-Kitarovic a choqué les Balkans et le reste de l’Europe en choisissant la semaine de la Victoire en Europe contre le nazisme pour honorer des nazis morts.

Continuer la lecture