On s’en doutait un peu…


…Trump et le New York Times admettent que la guerre américaine en Syrie a des fins impérialistes


Par Finian Cunningham − Le 25 octobre 2019 − Source Strategic Culture

Finian CunninghamÀ partir des révélations candides extraordinaires faites séparément par le président américain Donald Trump et le New York Times, il ne peut y avoir aucune illusion quant à la raison pour laquelle les forces américaines sont réellement déployées en Syrie. C’est une occupation illégale à l’encontre du gouvernement syrien visant à priver ce pays arabe de ses ressources pétrolières.

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Le Saker US approfondit le thème « tout le monde y gagne » en Syrie


Par The Saker − Le 23 octobre 2019 − Source thesaker.is via Unz Review

2015-09-15_13h17_31-150x112Dans son récent article intitulé «Le chemin de Damas : comment la guerre en Syrie a été gagnée», Pepe Escobar a résumé le résultat de la guerre en Syrie de la manière suivante :

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Syrie – Les Kurdes veulent le beurre et l’argent du beurre


2015-05-21_11h17_05Par Moon of Alabama – Le 24 octobre 2019

Lorsque le président Trump a ignoré les mauvais conseils, il a permis des progrès en Syrie. Malheureusement, Trump est de nouveau à l’écoute du mauvais conseil que lui donnent certains membres du Département d’État :

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États-Unis : quand les fonctionnaires ignorent le président, le chaos est proche


2015-05-21_11h17_05Par Moon of Alabama − Le 22 octobre 2019

Depuis que Donald Trump est devenu président, nombre de ses subordonnés ont tenté de subvertir ses politiques. Au lieu d’implémenter l’idée et les préférences de Trump, ils ont essayé d’implémenter les leurs. Certains l’ont fait parce qu’ils pensaient que c’était la « bonne chose à faire », tandis que d’autres ont ignoré le souhait de Trump pour jouer leur propre jeu.

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Quand les médias US tentent d’effacer les traces de leurs mensonges … par des mensonges


Le New York Times falsifie les rapports sur l’armement des rebelles syriens par les États-Unis


2015-05-21_11h17_05Par Moon of Alabama − Le 20 octobre 2019

Voici l’histoire telle que bidonnée par le New York Times dans son article intitulé « Le sentiment de trahison des Kurdes remplacés par des rivaux peu recommandables » par Ben Hubbard, David D. Kirkpatrick, New York, le 18 octobre 2019 :

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Comment le retrait militaire de Syrie planifié par les USA va changer l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient


Par Andrew Korybko − Le 14 octobre 2019 − Source news.cgtn.com

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La décision prise récemment par le président Trump, consistant à effectuer le retrait de pratiquement 1000 soldats hors de la zone Nord-Est de la Syrie, ne constitue pas du tout la réaction de panique d’un dirigeant incompétent face aux opérations anti-terroristes turques sur la zone. Au contraire, il s’agit d’un coup habile visant à faire d’une pierre deux coups : réduire l’implication militaire étasunienne dans ce bourbier, et réviser en conséquence l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient. Nous allons passer en revue les derniers événements en date en Syrie qui éclairent la situation.

Un convoi de véhicules militaires étasuniens dans la ville de Manbij, au nord de la Syrie, le 20 décembre 2018. Photo /VCG

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Syrie – États Unis : sidération(*) des médias devant le plan « tout le monde y gagne »

(*) du Larousse : Anéantissement subit des forces vitales, se traduisant par un arrêt de la respiration et un état de mort apparente.


2015-05-21_11h17_05Par Moon of Alabama – Le 18 octobre 2019

Les médias et les « experts » américains ont tout faux dans la description des pourparlers d’hier entre le vice-président américain Mike Pence et le président turc Recep Tayyip Erdogan. Ces entretiens n’étaient qu’un spectacle pour apaiser les critiques contre la décision du président Donald Trump de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie.

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Quand les guerres culturelles et les guerres de politique étrangère se rencontrent c’est le clash


Par Alastair Crooke − Le 30 septembre 2019 − Source Strategic Culture

crooke_1-1-175x230Qu’est devenu le « style international d’architecture »  – maintenant démodé – apparu comme une esthétique universaliste conçue comme arme pour contrer les bouleversements nationalistes du début du XXe siècle, dans la géopolitique d’aujourd’hui ?

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Crédit photo pxhere.com

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« Les guerres de Syrie » de Michel Raimbaud : résistance, mode d’emploi

"La Syrie n’a jamais eu bonne presse auprès des élites politiques dirigeantes de l’Hexagone. Et pour cause : ce pays récalcitrant, farouchement attaché à sa souveraineté, porte-étendard du nationalisme arabe, résolument anti-impérialiste, dernier rempart contre l’entreprise sioniste en Palestine, membre central de ce qu’il est désormais appelé Axe de la Résistance qui l’unit au Hezbollah libanais, à la résistance palestinienne, à l’Iran et à l’Irak, un axe adossé à une Russie ressuscitée sur les décombres de l’Union soviétique. Un pays séculier, attaché aux principes du non-alignement définis par la Conférence de Bandung de 1955, qui s’est tenu du côté de tous les mouvements de libération à travers le monde et qui n’a pas hésité à s’engager au côté du peuple algérien dans sa guerre de libération nationale. Last but not least : il a toujours porté la cause palestinienne dans son cœur envers et contre tous, y compris dans la tourmente qui a failli l’emporter depuis 2011. Autant de raisons pour le vouer aux gémonies" Michel Raimbaud

Par Majed Nehmé − Le 30 septembre 2019 − Source Afrique-Asie

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Ce n’est pas par hasard si le premier chapitre du livre de Michel Raimbaud, ancien ambassadeur, ancien président de l’OFPRA, professeur de sciences politique et auteur de Les Guerres de Syrie, reprend la célèbre locution de Caton l’Ancien Delenda est Carthago  – il faut détruire Carthage -, « Delenda est Syria », une vielle obsession. Un vieil acharnement sans doute puisque Caton, qui avait coutume de prononcer cette formule à chaque fois qu’il commençait ou terminait un discours devant le Sénat romain, quel qu’en fût le sujet, avait également participé à la guerre contre la Syrie alors dirigée par le roi Antiochos III le Grand ! Ce dernier avait eu l’audace de recevoir Hannibal le fugitif dans sa cour et de contribuer à l’armer contre Rome, alors seule puissance hégémonique montante.

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