Comment nous savons que la soi-disant « guerre civile » n’avait rien à voir avec l’esclavage
Par Paul Craig Roberts – Le 23 août 2017 – Source IPE
Lorsque j’ai lu l’article du Professeur Thomas DiLorenzo, la question qui m’est venue à l’esprit était «Comment le Sud aurait-il pu lutter pour l’esclavage alors que le Nord ne luttait pas contre ? »
Par Lord Feverstone – Le 19 août 2017 – Source dystopiausa
Le temps est venu pour un laïus d’encouragement.
Je sais que le moral chez mes compagnons Déplorables est dans les chaussettes, juste au niveau de la cote de popularité du président Trump dans les sondages frauduleux.
Nous avons assisté à une semaine au cours de laquelle les médias traditionnels se sont précipités à guichet fermé dans l’hystérie au sujet de Charlottesville. Nolan Richardson serait impressionné par les Quarante minutes en enfer de l’État profond.
Selon une théorie politique des années 1950, La structure du pouvoir dans la société américaine repose principalement sur trois groupes d’élites : les hauts-gradés de l’armée, les dirigeants de grandes sociétés et les dirigeants politiques (par « direction politique » j’entends en fait la bureaucratie, la CIA et leurs forces par procuration du Congrès).
Lors de la course aux nouvelles sanctions de l’ONU contre la Corée du Nord, l’administration Trump a menacé de sanctionner la Chine si elle ne s’engageait pas à exercer de nouvelles pressions sur la Corée du Nord. Les mesures commerciales contre la Chine ont été mises de côté pendant que les discussions concernant la résolution de l’ONU étaient en cours :
Par Federico Pieraccini – Le 22 août 2017 – Source Strategic Culture
Dans chaque nation, il existe des conglomérats de pouvoir qui déterminent et influencent les choix du pays en matière de politique intérieure et étrangère. Aux États-Unis, il est important de souligner le concept connu sous le nom d’exceptionnalisme qui accompagne ces centres de pouvoir, souvent appelés l’État profond. Selon ce principe, les États-Unis ont été choisis par Dieu pour diriger l’humanité.
L’opposition, formée et financée par les États-Unis, a tenté de créer un violent chaos dans les rues mais n’a pas réussi à convaincre la majorité de la population. Le seul soutien qu’elle a à l’intérieur du pays provient de la riche bourgeoisie des grandes villes qui méprise le programme de justice sociale du gouvernement. Les travailleurs et les agriculteurs sont mieux lotis avec les politiques sociales-démocrates d’Hugo Chavez auparavant, et de Nicolas Maduro maintenant. La tentative de coup d’État qui était la première étape d’une prise de contrôle du Venezuela par les États-Unis a échoué.
L’affaire du Russiagate et ses allégations non vérifiées d’intrusion dans la campagne présidentielle, auxquelles le Congrès et les médias ont donné leur crédit de façon irresponsable, menacent gravement la sécurité nationale des États-Unis.
Par Stephen F. Cohen – Le 9 août 2017 – Source The Nation
Le Président Trump a raison : les relations avec la Russie n’ont jamais été aussi mauvaises, tandis que l’establishment politico-médiatique étasunien ne fait qu’envenimer la situation.
Les nouvelles sanctions que le Congrès a récemment adoptées à l’unanimité contre la Russie sont injustifiées et dangereuses. Comme Cohen le répète depuis longtemps, elles sont la preuve que la nouvelle Guerre Froide est plus dangereuse que celle qui l’a précédée et qui a duré quarante ans. Pire encore : les sanctions, inspirées par les allégations non vérifiées du Russiagate plus que par les initiatives récentes prises par Moscou, empêchent Trump de rechercher la coopération plutôt que la confrontation avec le Kremlin. C’est pourtant ce que ses prédécesseurs ont cherché à faire avant lui et ce que Trump lui-même a tenté de faire.
« Je quitte la Maison-Blanche et je pars en guerre pour Trump, contre ses opposants – au Capitole, dans les médias et dans l’Amérique des multinationales. »
C’est ce que l’ex-stratège en chef de la Maison-Blanche, Steve Bannon, a dit au téléphone à l’auteur du livre sur la façon dont Bannon/Machiavel avait conquis la Maison-Blanche au nom du Prince, Donald Trump.
En octobre dernier, j’ai écrit une analyse que j’ai intitulée Les États-Unis sont à la veille d’affronter la pire crise de leur histoire… et comment l’exemple de Poutine pourrait inspirer Trump et je pense que c’est une bonne chose d’y revenir maintenant. Je commençais l’analyse en examinant les calamités qui pourraient frapper les États-Unis si Hillary était élue. Puisque ce n’est pas arrivé (Dieu merci !), nous pouvons sans problème ignorer cette partie et regarder ma prédiction de ce qui arriverait si Trump était élu. Voici ce que j’écrivais. Continuer la lecture →