Voici le plan. Saul Alinsky (1909 -1972†), le Machiavel de la sociologie, théoricien de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations – révolutions de couleur – serait fier de ce texte.
Par Ron Unz − Le 24 octobre 2016 − Source Unz Review
Il y a quelques années, j’ai lancé la revue Unz, offrant un large éventail de perspectives différentes, la grande majorité d’entre elles étant totalement exclues des médias grand public. J’ai également publié un certain nombre d’articles dans ma propre série American Pravda, qui traitent des défaillances et des lacunes suspectes dans nos récits médiatiques.

Comment pouvons-nous qualifier cela ? Un éditeur a fait ce que le New York Times a lui-même fait lorsqu’il a publié les Pentagon Papers et que la Cour suprême en 1971 – cas New York Times Co. contre États-Unis – a jugé qu’il était protégé par le premier amendement, mais aujourd’hui l’éditeur dont nous parlons a malgré tout subi, pendant des années, divers modes d’emprisonnement sans procès et a été détruit au point que, lors de sa première comparution devant un tribunal pour se défendre il semble avoir été drogué, car pour une raison quelconque «lorsqu’on lui a demandé de donner son nom et sa date de naissance, il a visiblement lutté pendant plusieurs secondes pour se souvenir des deux … Il a eu beaucoup de difficulté à articuler les mots et à centrer ses idées.» L’événement s’est produit le 21 octobre.
Le Royaume-Uni est sur le point de sombrer dans le chaos terminal du Brexit, la sortie britannique de l’Union européenne à 28 pays.


Le 22 juillet, le monde aurait dû se souvenir du 75e anniversaire de la libération de Majdanek, le premier des camps d’extermination tristement célèbres d’Hitler à être capturé et fermé. Mais bien sûr, les courageux soldats russes, ukrainiens, kazakhs et d’autres nationalités soviétiques, n’ont bénéficié d’aucune reconnaissance de l’Ouest pour cet événement.
Le Premier ministre israélien s’est rendu à Kiev aujourd’hui, où il a été accueilli par le – pseudo – slogan «traditionnel» ukronazi « Gloire à l’Ukraine ! Gloire aux héros ! ». Pour quelqu’un comme moi qui n’aime ni le sionisme, ni le nazisme, il était ironique de voir un premier ministre israélien se rendre officiellement en Ukraine, occupée par les nazis, pour commémorer le massacre des Juifs à 