Par Binoy Kampmark − Le 15 février 2022 − Source Oriental Review
De temps à autre, on nous explique qu’amener les gens à voter davantage améliore la représentation et la représentativité. Qu’obliger les gens à se déplacer au bureau de vote va apporter de l’honnêteté dans la vie politique, et assurer que les membres du Parlement, ou de toute autre chambre de représentants, en deviendra plus responsable. Imaginez-vous l’horreur d’avoir un président élu par à peine un tiers de l’électorat, ou des représentants politiques qui ne s’expriment qu’au nom d’une petite fraction de leur électorat nominal ?
L’argument n’est convaincant qu’à titre superficiel. Quiconque regarde les épisodes de l’émission Four Corners de ABC, qui donne la parole à des électeurs choisis par l’organe médiatique national, ne se trouve pas du tout rassuré au sujet du vote obligatoire, qui est en place en Australie depuis 1924. Depuis cette époque, la loi électorale précise qu’« il relève du devoir de chaque électeur » de voter « à chaque élection ».
Par
Robert F. Kennedy, Jr., l’héritier de la famille politique la plus célèbre de toute l’histoire moderne des États-Unis, ne peut en aucun cas être considéré comme un personnage obscur, et les événements récents l’ont amené au premier rang du débat public national.
Présentation du livre
Si vous commenciez à avoir l’impression que votre monde est en train de devenir un scénario de film dystopique très cliché, ne vous inquiétez pas. Il semble que certains des méchants soient d’accord avec vous.
Introduction :
