Par Esha Krishnaswamy − 19 mai 2025 − Source Le blog de Thomas Fazi
Lorsqu’il est arrivé au pouvoir pour la première fois en 1998, le Premier ministre Viktor Orbán a été salué comme un héros par l’Occident, en témoigne la Médaille de la liberté Truman-Reagan qu’il a reçu pour son engagement en faveur de la démocratie. Il a supervisé l’entrée de la Hongrie dans l’OTAN. Il a également proposé des mesures d’austérité pour l’Occident. Mais tout cela a changé lorsqu’il a été réélu en 2010.
Tous ceux qui ont le pouvoir décisionnel ont été placés là non pas par un vote populaire mais par une collusion en coulisses.
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Quos Deus vult perdere prius dementat – un dicton datant d’environ 450 avant Jésus-Christ dit : « Ceux que les dieux veulent détruire … ils les rendent d’abord fous ». Ces mots résument en quelque sorte la manière dont les premiers Grecs, d’Homère aux grands tragédiens, concevaient la relation entre « les dieux » (ici les forces psychiques invisibles qui nous façonnent) et la sphère humaine au sens large.
Cette victoire étonnante prouve que la campagne antigouvernementale menée par Soros a été terriblement inefficace et a pu être contre-productive en renforçant l’appel d’Orban et la « 

Le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto a pris la parole lors d’une réunion de l’OSCE à Vienne la semaine dernière pour