Pensez plutôt en semaines qu’en mois
Le 12 septembre 2016 – Source Russia Insider
Ce soir, la Russie et les États-Unis ont convenu d’une nouvelle cessation des hostilités en Syrie.
Pensez plutôt en semaines qu’en mois
Le 12 septembre 2016 – Source Russia Insider
Ce soir, la Russie et les États-Unis ont convenu d’une nouvelle cessation des hostilités en Syrie.
Par Israel Shamir – Le 8 septembre 2016 – Source The Unz Review
Le mauvais danseur s’en prend au plancher qui n’est pas droit, mais on ne s’attendait pas à ce que Mme Clinton se révèle aussi mauvaise dans les compétitions pour la présidence, face au nouveau patron excentrique qui mène la danse à New York. On s’attendait à ce qu’elle s’incline gracieusement dans la défaite comme dans le triomphe, comme il sied à une ex-première dame, mais c’est un boulet, et elle voudrait que ce soit la faute du pauvre Poutine.
Par Pepe Escobar – le 14 septembre 2016 – Source counterpunch
Les exercices Joint Sea-2016 ont commencé ce lundi. Il s’agit du cinquième exercice naval annuel sino-russe, mettant en vedette les piliers des deux marines en action dans les eaux à l’est de Zhanjiang, dans la province de Guangdong, le QG de la Flotte Nanhai de l’Armée de libération du peuple (PLA).
Par Alexander Mercouris – Le 13 septembre 2016 – Source The Duran
Les troupes russes prennent position le long de la route du Castello – la principale route au nord d’Alep – et les responsables russes parlent du départ des forces djihadistes de l’est d’Alep. Continuer la lecture
Chaque fois que les États-Unis testent les frontières russes, ils doivent être affrontés avec détermination
Par Vladimir Komoyedov – Le 10 septembre 2016 – Source Russia Insider
L’auteur est président du Comité de Défense de la Douma d’État [le parlement russe] et ancien commandant de la Flotte de la mer Noire.
Après une nouvelle déclaration du Pentagone sur les «manœuvres dangereuses et non professionnelles» d’un navire ou d’un aéronef d’un pays tiers à proximité des marins et des pilotes américains, qui «pacifiquement» violent les frontières russes, chinoises ou iraniennes, mes amis sont généralement indignés. C’est ce qui est arrivé récemment, lorsque l’avion de surveillance de la marine américain P-8A Poseidon a approché deux fois la frontière russe en mer Noire et a été intercepté par des chasseurs Sukhoi Su-27.
«Aujourd’hui, nous devrions être prêts pour tout, et la guerre n’est pas le principal problème dans ce cas» – Andrei Fursov
Le 9 septembre 2016 – Source katehon
Andrei Fursov est l’un des plus célèbres intellectuels russes, un maître avec une compréhension révolutionnaire des nouveaux événements puisée dans l’examen des idées traditionnelles. Il est historien et publiciste. Il évoque dans cette interview les dangers de la «vision du monde» actuelle, la difficile situation politique autour de la Russie, la nécessité d’une purge des élites et le retour révolutionnaire aux valeurs traditionnelles.
Pour de nombreux Ukrainiens, les vacances en Crimée sont liées à du harcèlement de la part des nationalistes et des agents ukrainiens chargés des contrôles aux frontières.
Par Dmitri Kovalevitch – Le 1er septembre 2016 – Source junge Welt
Le train de Kiev s’arrête à Novoaleksandrovska, la dernière gare en territoire ukrainien avant la frontière avec la Crimée. C’est un pauvre village, dans la steppe brûlée par la chaleur estivale. L’ancien trafic ferroviaire vers la Crimée a été interrompu en 2014 par l’Ukraine. Un grand nombre de locaux attendent les voyageurs qui veulent se faire conduire à la frontière, contre l’équivalent de trois ou quatre euros. Pour la plupart d’entre eux, c’est la seule possibilité de gagner un peu d’argent.
Par Joseph Thomas – Le 7 septembre 2016 – Source New Eastern Outlook
Les médias occidentaux se sont réjouis des maigres gains réalisés dans de récents sondages, par ce qu’ils ont décrit comme des «militants anti-Chine» du mouvement «local», des groupes politiques à Hong Kong qui préconisent «l’indépendance» à l’égard de la Chine. Continuer la lecture
Par Pepe Escobar – Le 6 septembre 2016 – Source CounterPunch
Ce qui vient d’avoir lieu à Hangzhou, en Chine, est d’une immense importance géo-économique. Depuis le début, Pékin a pris le G20 très au sérieux ; cela a été conçu comme l’affaire de la Chine, et non celle de l’Ouest déclinant. Et encore moins celle de Washington.
Le 10 septembre 2016 – Source sputniknews
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le secrétaire d’État américain John Kerry sont parvenus à un accord décisif sur la Syrie après des entretiens marathon. C’est la première fois que la communauté internationale est si proche de résoudre le conflit, mais la mise en œuvre de l’accord sera un défi encore plus grand en raison du grand nombre de parties prenantes.
Lors d’une conférence de presse le 9 septembre, Lavrov a décrit l’accord comme un paquet «important, pratique et concret», comprenant cinq documents qui ne seront pas rendus publics car ils contiennent des «informations assez sensibles et sérieuses». Pour sa part, Kerry a fait référence au plan comme «approche plus prescriptive et de plus grande envergure que ce que nous avons été en mesure de mettre en place à ce jour».
Voici ce dont la Russie et les États-Unis sont convenus.
La première étape consiste à fixer un cessez-le-feu national que personne, y compris les forces de Damas et les groupes d’opposition armés, n’est autorisé à violer. Cela implique l’abstention du gouvernement syrien de mener des frappes aériennes dans des zones où l’opposition, dite modérée, est située. Ces régions ont été décrites «très spécifiquement», a déclaré Kerry. La cessation des hostilités commencera par une période de 48 heures après le coucher du soleil le 12 septembre et sera reconduite pendant 48 heures si elle tient.
«Cela exige l’arrêt de toutes les attaques, y compris les bombardements aériens et toute tentative d’acquérir des territoires supplémentaires au détriment des parties en conflit. Elle exige un accès humanitaire sans entrave et soutenu à tous les assiégés même les plus difficiles à atteindre, y compris d’Alep», explique Kerry.
Si toutes les parties prenantes adhèrent au cessez-le pendant au moins sept jours, la Russie et les États-Unis vont passer à la deuxième étape.
Celle-ci consiste à créer un centre de mise en œuvre conjoint pour, selon Kerry, «travailler ensemble au développement des frappes militaires» contre al-Nusra, la branche d’al-Qaïda en Syrie qui a récemment affirmé avoir rompu les liens avec l’organisation terroriste, et Daesh, le groupe brutal qui contrôle encore de vastes zones en Irak et en Syrie.
«Je tiens à souligner que ces mesures ne peuvent être mises en œuvre efficacement que si toutes les parties respectent leurs obligations», a observé le chef de la diplomatie américaine, ajoutant que l’accord n’est pas «basé sur la confiance», mais plutôt «sur un moyen de fournir la surveillance et le respect de l’intérêt mutuel et d’autres choses».
Ceci a également été une source de préoccupation majeure pour Moscou. Lavrov a averti que «personne ne peut donner cent pour cent de garanties» que l’accord apportera la paix en Syrie car de nombreuses parties prenantes, avec des agendas contradictoires, sont «impliquées dans ce casse-tête».
M. Lavrov a mentionné la «séparation physique» des terroristes d’opposition modérée sur le terrain comme «la priorité».
Le diplomate russe a déclaré que le gouvernement syrien était d’accord avec le plan et prêt à remplir ses obligations. Pour sa part, Kerry a déclaré que l’opposition «a indiqué qu’elle est prête» à répondre aux «normes que nous avons établies» à condition que Damas prouve son sérieux au sujet de l’accord et que le cessez-le-feu tienne.
Gazeta.ru observe que l’accord «pourrait modifier considérablement le conflit syrien», car il est possible que la Russie et les États-Unis «présentent un front uni contre les terroristes». Le Dr Theodore Karasik, conseiller principal chez Gulf State Analytics, a averti que l’accord pourrait subir le même sort que le premier cessez-le feu qui était entré en vigueur en février.
«La situation sur le terrain est en constante évolution. Elle ressemble à une tour de Babel où l’on ne peut parvenir à un accord avec quiconque. Cela signifie que toute entente à long terme pourrait être condamnée», a-t-il déclaré au journal.
Voilà pourquoi autant Lavrov que Kerry ont demandé à plusieurs reprises à toutes les personnes concernées d’adhérer au plan. Si elles le font, l’affaire pourrait «réduire la violence, soulager la douleur, et permettre la reprise du mouvement vers une paix négociée et une transition politique en Syrie, comme l’a dit Kerry. Nous croyons que le plan tel qu’il est présenté – s’il est appliqué, et suivi – peut être un tournant, un moment de changement», a-t-il ajouté.
Sputniknews