Joe Biden est l’incarnation vivante de l’establishment américain épuisé. De plus en plus de gens ont tout simplement perdu la foi en notre classe dirigeante. On peut difficilement avoir un symbole plus puissant de son impuissance. – Rod Dreher
Par James Howard Kunstler – Le 1er juillet 2024 – Source Clusterfuck Nation

Dr Jill rugissante soutenant le président « Joe Biden ».
Juste avant le week-end, un feu de prairie politique s’est propagé à travers une nation buffaloïsée, aveuglée et profondément enfouie dans la connerie, et les petites créatures qui habitent le paysage courent toujours avec leur fourrure fumante. Quelle surprise que « Joe Biden », le prétendu président handicapé mental, se soit effondré sous les projecteurs du débat, aux yeux de tous, comme le capitaine Queeg sur sa chaise de témoin fatidique, ou William Jennings Bryan lors du procès Scopes (1925), ou encore le magicien d’Oz lorsque le petit Toto a tiré le rideau – une révélation brutale de la vérité crue sur la façon dont les choses se passent réellement.
La Russie, actuellement aux prises avec des sanctions occidentales sans précédent, attend avec impatience l’arrivée de son allié de toujours, le Premier ministre indien Narendra Modi. Il s’agira de la première visite de Modi en Russie depuis 2019, année où il a participé au Forum économique oriental à Vladivostok.
Le G7 et la « conférence du Bürgenstock » qui a suivi en Suisse peuvent – rétrospectivement – être considérés comme une préparation à une guerre prolongée en Ukraine. Les trois principales annonces du G7 – le pacte de sécurité de 10 ans pour l’Ukraine, le « prêt pour l’Ukraine » de 50 milliards de dollars et la saisie des intérêts sur les fonds gelés par la Russie – le montrent bien. La guerre est sur le point de s’intensifier.
Nous avons récemment assisté au pathétique spectacle montrant que, même après sept décennies d’indépendance et d’expérience en tant que démocratie où des centaines de millions de personnes se sentent véritablement concernées, l’élite politique pouvait se comporter de manière infantile pendant le cycle électoral.
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