Par Brian McDonald – Le 13 juillet 2025 – Source Son blog
Il fut un temps où Londres ne se contentait pas de marcher droit, elle se pavanait avec l’arrogance sans vergogne d’une ville qui savait qu’elle n’avait pas besoin de s’expliquer. Il y a une génération, elle avait l’air d’une capitale sûre d’elle. L’argent affluait telle une eau de crue, l’énergie était fanfaronnade et excitation, et l’ambiance suggérée par l’histoire se déroulait toujours à l’abri des regards ; dans un sous-sol de club près de Soho, ou dans les vapeurs de whisky d’un bar des Commons.
Au début des années 2000, Londres donnait l’impression d’être incroyablement chère et pourtant toujours disponible, ne serait-ce que pour une nuit volée. C’était un spectacle en perpétuel mouvement. Tu ne faisais pas qu’y vivre, tu essayais de suivre. La ville était pleine d’étrangers mais qui parlaient toujours couramment l’anglais ; le genre que vous trouviez dans le silence de verre fumé des pubs de Bloomsbury, le snobisme impénitent des cafés de Chelsea ou la crasse glorieuse de Camden où rien ne correspondait et rien n’avait d’importance. Londres ne se pavanait pas comme Los Angeles ou n’était pas lisse comme Singapour. Elle ne demandait jamais d’amour. Elle était le but, et l’attraction.
Nous espérons que la suite de faits, de graphiques et de réalités tangibles exposées ici vont permettre d’apaiser ces craintes, car le rôle, la direction prise par le prix et les jours de l’or n’en sont qu’à leurs débuts.
Le refus de l’administration Trump de publier les fichiers et vidéos amassés lors des enquêtes sur les activités du pédophile Jeffrey Epstein, devrait mettre fin à l’idée absurde, promue par les partisans de Trump et les libéraux crédules, que Trump démantèlera l’État profond. 
La grande question qui se pose après l’attaque américaine du 22 juin contre l’Iran – juste après la question « que va devenir l’Iran ? » – est de savoir si, dans son calcul, Trump peut « imposer rhétoriquement » l’idée d’avoir « anéanti » le programme nucléaire iranien suffisamment longtemps pour empêcher Israël de frapper à nouveau l’Iran, tout en lui permettant de poursuivre son slogan spectaculaire, « NOUS AVONS GAGNÉ : C’est moi qui commande maintenant et tout le monde fera ce que je dis ».
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Voici quelques réflexions personnelles sur la récente attaque américaine contre l’Iran. Tout d’abord, je pense que le bombardement imprudent, illégal et non provoqué d’une nation souveraine — en particulier de ses installations nucléaires civiles — doit être condamné et combattu sans équivoque, quelles qu’en soient les conséquences. Même si cette attaque n’avait aucune conséquence, elle constituerait tout de même un crime international grave. Mais bien sûr, elle aura des conséquences. Bien au contraire.