Par James Howard Kunstler – Le 14 novembre 2016 – Source kunstler.com
L’air de rien, l’Amérique a recraché Hillary Clinton la semaine dernière, comme un glaviot irritant mais qu’elle a dû ravaler comme une pilule amère appelée Donald Trump. Cela valait la peine de voir le brouillard de la mafia Hillary s’étaler sur les réseaux des médias, alors que la narrative “Je suis avec elle / c’est son tour» n’était qu’une couverture pour l’équipe de pilleurs qu’est devenu l’establishment permanent à Washington DC, y compris la Fondation Clinton.