Par Ron Unz − Le 3 octobre 2022 − Source Unz Review
L’Europe est confrontée à sa pire crise énergétique depuis des générations, de nombreuses usines sont en train d’y fermer, et on s’attend à ce que l’hiver qui approche apporte son lot de graves privations. L’Allemagne très industrialisée est particulièrement durement frappée, avec plus de la moitié des petites et moyennes entreprises craignant d’être contraintes de mettre la clé sous la porte, une catastrophe économique qui présente des proportions dignes de la Grande Dépression. Le seul espoir de salut à court terme était la fin des sanctions auto-destructrices que ces pays avaient imposées à la Russie, ce qui aurait permis le retour du gaz naturel russe abondant et peu onéreux avec la réouverture du robinet des gazoducs russes Nord Stream.

La grande nouvelle du jour est que Biden a fait exploser 3 des 4 pipelines qui ne fournissaient pas de gaz naturel russe à l’Allemagne. Biden a fait exactement ce qu’il avait promis et, à l’heure actuelle, je ne vois aucune raison de le mettre en doute, car il existe de nombreuses preuves indirectes de l’implication des États-Unis dans cet acte : Des navires de l’USN circulant dans la zone, posant probablement des mines sur les tuyaux et repartant juste avant les explosions. Nous devons attendre que la Maison Blanche rende la Russie responsable de l’incident ; cela constituerait une marque supplémentaire de culpabilité. (C’est toujours le voleur qui crie le plus fort « Attrapez le voleur ! »). Mais je ne suis ni le juge ni le jury dans cette affaire, donc ce n’est ni ici ni ailleurs.
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« C’est une vraie question, n’est-ce pas ? Pourquoi ? Le comment et le qui ne sont que des décors pour le public. Oswald, Ruby, Cuba, la mafia. Cela les maintient dans l’expectative comme une sorte de jeu de société, les empêchant de poser la question la plus importante, pourquoi ? Pourquoi Kennedy a-t-il été tué ? Qui en a profité ? Qui a le pouvoir d’étouffer l’affaire ? Qui ? » ~ Mr. X dans le film JFK
BERLIN, 8 septembre (Reuters) – Le ministère allemand de l’Économie étudie une série de mesures visant à rendre les affaires avec la Chine moins attrayantes, dans le but de réduire sa dépendance à l’égard de la superpuissance économique asiatique, ont déclaré à Reuters deux personnes au fait du dossier.