…un « activiste » publie une image trafiquée, des « vérificateurs de faits » gobent
Par Moon of Alabama − Le 4 décembre 2018
…un « activiste » publie une image trafiquée, des « vérificateurs de faits » gobent
Par Moon of Alabama − Le 4 décembre 2018
Préambule du Saker L'auteur, Ron Unz, d'origine juive [paramètre à connaître - sans plus - pour situer sa prose dans le contexte ambiant, et pour qu'on ne puisse pas dire que ça n'a pas été dit, haine de soi oblige], après une carrière politique mouvementée, a développé un site web d'archivage de documents d'actualité ancienne, il a pu alors alors constater à quel point les faits historiques étaient dénaturés par les pouvoirs dominants pour instrumentaliser leurs politiques.
Par Ron Unz – Le 11 juin 2018 – Source The Unz Review
Bien que je me sois plaint de lui ces dernières années, pendant les dix ans durant lesquels Paul Krugman a officié au New York Times, je le considérais comme le seul chroniqueur national digne d’être lu. Bien sûr, beaucoup d’autres ont ressenti la même chose, et Krugman s’est régulièrement rangé parmi les voix libérales les plus influentes du pays. Il a gagné cette position grâce à son attitude particulièrement affirmée contre les projets du président George W. Bush pendant la guerre en Irak, tandis que son prestige était comblé par l’obtention du Prix Nobel d’économie en 2007.
Par Moon of Alabama – Le 24 novembre 2018
En 2015, le gouvernement britannique a lancé une opération secrète pour insérer de la propagande anti-russe dans les médias occidentaux.
Nous avons déjà pu observer les nombreux effets de ce programme et de programmes similaires qui sont conçus pour calomnier quiconque ne suit pas les lignes anti-russes du gouvernement. La campagne de diffamation contre Donald Trump qui prétend qu’il a été élu grâce à une ” collusion avec la Russie “, basée sur le dossier Steele, était également une opération largement britannique mais semble faire partie d’un projet différent.
L’” Initiative pour l’intégrité “ crée des ” groupes locaux “, c’est à dire des groupes de contact de journalistes, de militaires, d’universitaires et de lobbyistes de confiance résidant dans des pays étrangers. Ces personnes reçoivent des alertes via les médias sociaux pour prendre des mesures lorsque le centre britannique en perçoit le besoin.
Le 7 juin, il n’a fallu que quelques heures au groupe local espagnol pour faire dérailler la nomination de Perto Banos au poste de Directeur du Département de la Sécurité Nationale en Espagne. Le groupe a déterminé qu’il avait une vision trop positive de la Russie et a lancé une campagne coordonnée de diffamation contre lui sur les médias sociaux (pdf).
… La dispute entre la Maison Blanche et Jim Acosta n’est pas une question de premier amendement de la Constitution américaine, l’inculpation d’Assange si.
Par Moon of Alabama – Le 16 novembre 2018
Les médias américains sont en train de soutenir un cas légal où l’invocation du Premier Amendement est discutable puisqu’un journaliste a simplement été réprimandé par la Maison-Blanche. Ils se taisent par contre complètement sur un autre cas légal où le danger pour les droits d’une presse libre est beaucoup plus grave.
Par Moon of Alabama – Le 12 novembre 2018
Le New York Times ment à ses lecteurs au sujet des actions d’un État pris dans son collimateur. Ce journal n’a tiré aucune leçon de ses reportages mensongers qui ont mené à la guerre contre l’Irak. Encore une fois, il fait preuve d’une attitude agressive.
Dans un article publié aujourd’hui, intitulé « En Corée du Nord les bases de missiles montrent qu’une tromperie est en cours », le journal ment sur les engagements pris par la Corée du Nord :
Par Andrew Korybko – Le 17 octobre 2018 – Source orientalreview.org
Jair Bolsonaro, candidat de droite aux élections présidentielles brésiliennes, a réalisé un score impressionnant au premier tour en début de mois, et le « Trump des tropiques » semble en bonne voie pour se faire élire au deuxième tour.
Par Cailtin Johnstone – Le 14 octobre 2018 – Source Zero Hedge
Alors que la plupart des médias indépendants se concentraient sur la façon dont les gens parlent de Kanye West et sur la disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, une escalade sans précédent de la censure sur Internet a eu lieu menaçant tout ce qui nous tient tous à cœur. Elle n’a reçu que très peu d’attention, et c’est cela qui est le plus effrayant.
Après la purge massive d’une centaine de pages politiquement orientées et de pages personnels pour « comportement inauthentique », Facebook a reçu, à juste titre, de nombreuses critiques pour les raisons floues et vivement contestées de cette décision. Ce qui a reçu relativement peu d’attention, c’est la mesure beaucoup plus inquiétante qui a été prise par la suite : quelques heures après avoir été purgés de Facebook, de nombreux sites de médias alternatifs anti-establishment ont également vu leur compte supprimé de Twitter.
Par Michael Brenner – Le 5 septembre 2018 – Source Consortium News
Ploutocratie signifie littéralement que ce sont les riches qui gouvernent. « Gouverner » peut avoir diverses significations : ceux qui exercent l’autorité dans la fonction publique sont riches ; leur richesse explique pourquoi ils occupent cette fonction ; ils exercent cette autorité dans l’intérêt des riches ; ils ont une influence déterminante sur qui y travaille et sur les mesures qu’ils prennent.
Ces aspects de la « ploutocratie » ne sont pas exclusifs. Car un gouvernement de riches et pour les riches n’a pas besoin d’être dirigé directement par les riches. Par contre, dans certaines circonstances exceptionnelles, des personnes riches qui occupent des postes de pouvoir peuvent gouverner dans l’intérêt du plus grand nombre, comme par exemple Franklin Roosevelt. Aujourd’hui, les États-Unis sont peuvent être qualifiés de ploutocratie pour plusieurs raisons. Regardons quelques éléments évidents de preuve.
Les votes contestataires, autant à droite qu’à gauche, pendant la présidentielle de 2016 ont secoué les deux ailes de l’establishment. Gareth Porter nous explique comment celles-ci tentent d’y répondre.
Par Gareth Porter – Le 6 septembre 2018 – Source Truth Out
Les deux groupes de réflexion les plus puissants de Washington, représentant les élites politiques de centre-gauche et de centre-droite, ainsi que les partis démocrate et républicain, ont réagi aux chocs populistes de l’élection présidentielle de 2016 en essayant de se repositionner et de se donner l’apparence d’être plus sensibles aux préoccupations populistes tout en maintenant leur attachement aux intérêts des grandes entreprises et au complexe militaro-industriel.
Par Moon of Alabama – Le 22 septembre 2018
L’élection de mi-mandat du 6 novembre décidera si la Chambre et/ou le Sénat passeront de la majorité républicaine actuelle à une majorité démocrate. Bien que ces deux partis ne soient pas très différents l’un de l’autre, quelques questions politiques importantes (et leurs conséquences financières) sont en jeu. La plus importante actuellement est la confirmation par le Sénat de l’archi-conservateur Brett Kavanaugh à la Cour suprême. Les Démocrates font tout ce qui est en leur pouvoir pour retarder le processus de confirmation dans l’espoir de le retarder jusqu’après les élections qui pourraient leur donner une majorité, majorité qui pourrait même donner aux Démocrates une chance de destituer Trump.