Par Andrew Korybko (USA) – Le 10 juin 2016 – Source Oriental Review
Partie 1 − Partie 2 − Partie 3 − Partie 4 − Partie 5
Le dernier chapitre relatif à l’applicabilité de la loi de la guerre hybride aux Balkans se conclut avec la République de Macédoine, le pays qui risque sans doute le plus d’être déchiré par les manœuvres des États-Unis. Ce pays satisfait à la quasi-totalité des vulnérabilités socio-politiques identifiées par la théorie comme propices à la guerre hybride, et elle est sur le point d’organiser une élection historique en avril 2016 1, qui pourrait être manipulée comme un prétexte pour établir un scénario destructeur.
- Les élections législatives macédoniennes de 2016, d’abord prévues le 24 avril, sont d’abord reportées au 5 juin 2016, puis sine die à la suite de l’appel au boycott de l’opposition et de la demande de report de l’Union européenne. Cette élection est commentée plus bas dans le texte ↩