Le 21 août 2015 – Source wikistrike.com
En deux mois, un million d’engagements.
Le 21 août 2015 – Source wikistrike.com
En deux mois, un million d’engagements.
Par Andrew Korybko – Le 19 août 2015 – Source thesaker.is
Ce point a été discuté depuis le début de la guerre civile qui a commencée au printemps dernier, mais l’Ukraine pourrait finalement être sur le point de voir la révolte du peuple contre le gouvernement légitime. Les révolutions de couleur en 2004 et 2014 ont été organisées par l’étranger (en dépit de la représentation médiatique trompeuse qu’il s’agissait de mouvements populaires) visant à atteindre des objectifs géopolitiques concrets en faveur de l’Occident, ce qui les discrédite à vouloir prétendre que ce sont des actions de la base populaire et expose leur véritable nature. Bien que l’Ukraine n’ait jusqu’à présent pas connu une seule révolution d’origine vraiment populaire, organisée par les Ukrainiens et pour les Ukrainiens, cela ne signifie pas qu’un tel événement est impossible, sachant que tous les ingrédients nécessaires sont actuellement là.
Après avoir été de 2009 à 2014 secrétaire général de l’Otan (sous commandement USA), Anders Fogh Rasmussen a été embauché comme consultant international par Goldman Sachs, la plus puissante banque d’affaires étasunienne.
Par Dmitry Orlov – Le 21 juillet 2015 – Source cluborlov
Au cours des derniers mois, nous avons été forcés de témoigner sur une farce humiliante qui se déroule en Europe. La Grèce, qui avait d’abord été acceptée dans l’Union monétaire européenne sous de faux prétextes, aux prises avec des niveaux excessifs de dette, puis paralysée par l’imposition de l’austérité, a finalement fait quelque chose : les Grecs ont élu un gouvernement qui a promis de faire bouger les choses. La plate-forme du parti Syriza avait fait les promesses suivantes, qui étaient tout à fait révolutionnaires dans leur esprit.
L’Allemagne a fait €100 Mds de profit sur la crise grecque.
Pour quoi travaille Merkel? Pour la zone euro ou pour équilibrer son vertueux budget sur le dos des Grecs et sauver sa réputation?
Le 10 août 2015 – Source Russia Today
Le plus grand créancier de la Grèce, l’Allemagne, a fait un énorme profit sur la crise de la dette du pays au cours des 5 dernières années. Elle a économisé grâce à des paiements d’intérêt à faible taux sur des fonds empruntés aux investisseurs qui se réfugiaient dans la sécurité.
Par Jefke – Le 6 août 2015
Il n’y a pas beaucoup d’articles dans les médias sur les conséquences en Europe des sanctions économiques de l’Occident envers la Fédération de Russie. Nous avons encore moins d’informations venant directement de l’économie la plus puissante d’Europe : l’Allemagne. C’est en discutant avec un proche, qui, par son passé connaît bien l’Allemagne, et m’avait dit : «Même si l’Allemagne perd quelques dizaines de milliers d’emplois suite aux sanctions russes, elle est tellement puissante qu’elle n’en ressentira aucun effet négatif !», que l’idée m’est venu de montrer ce qui se passe vraiment en Allemagne, car les informations que j’ai pu consulter disent tout à fait autre chose que la presse occidentale.
Les sources d’informations de la personne qui m’avait dit cela sont les médias de masse, les journaux comme Der Spiegel, Der Stern, Times magazine etc…
«...L’Europe est prise dans une vague de référendums aux résultats imprévisibles. Dans de nombreux pays, l’euroscepticisme gagne le soutien populaire. Par exemple, Marine Le Pen, dirigeante du parti nationaliste Front national, a promis de tenir un référendum sur la possible sortie de la France de l’Union européenne si elle est élue à la présidence en 2017.» Vladimir Nesterov
Par Vladimir Nesterov – Le 1er août 2015 – Source Strategic Culture
La crise grecque a donné l’impulsion au processus centrifuge en cours dans l’Union européenne. Il y a un fort sentiment sécessionniste. Les intérêts nationaux en arrivent à être plus importants que les valeurs de l’Europe unie… On dirait que l’Europe est prise dans une vague de référendums aux résultats imprévisibles. Outre la Grande-Bretagne, l’Autriche et la Finlande, l’euroscepticisme monte aussi dans d’autres pays membres de l’UE.
Le Gouvernement grec caniche de l’Otan, même en Bosnie. La Serbie demande des explications concernant les déclarations du ministre grec des Affaires étrangères en visite au Kosovo
Par Alex Moumbaris – Le 5 août 2015 – Source rizospastis
La Serbie a réagi concernant les démarches du gouvernement de coalition SYRIZA-ANEL qui sont de facto une reconnaissance du Kosovo.
Par Rostislav Ichtchenko – le 22 mai 2015 – Source vineyardsaker.de
La marionnette qui négocie avec le marionnettiste
A cette époque, en Ukraine, le bloc oligarchique-nationaliste croyait que la Russie devait être exploitée comme la source de tous les avantages économiques possibles, mais que la politique devait être alignée sur l’Occident. En 2010, l’équipe de la Révolution orange de Maidan s’était totalement discréditée et n’avait plus aucun soutien public sérieux. Plus encore, l’équipe avait démontré son impuissance à déclencher un conflit aigu avec la Russie (comme en Géorgie), qui aurait immobilisé ses ressources du côté de l’Ukraine et l’aurait donc empêchée de s’immiscer dans les questions mondiales.
Par Dmitry Minin – Le 23 juillet 2015 – Source: Strategic Culture
La crise de la dette grecque et l’Ukraine au bord de l’effondrement sont les questions à la une. On accorde moins d’attention à la Bulgarie, bien que ce pays puisse bientôt devenir un nouveau casse-tête pour l’Europe. Le gouvernement bulgare est loyal à l’égard des États-Unis, mais il pourrait se transformer en maillon faible parmi les alliés européens de l’Est qui dépendent beaucoup de Washington.