
« ...C’est le Grand Marchandage de Poutine : la Russie assumera une certaine responsabilité définie pour la sécurité d’Israël, mais pas si Israël entreprend des guerres de choix contre l’Iran et le Hezbollah, ou s’il perturbe délibérément la stabilité dans le nord – y compris en Irak. Et plus jamais de bombardements gratuits dans le nord, destinés à perturber la stabilité. Mais si Israël veut une guerre avec l’Iran, alors la Russie se tiendra à l’écart.... »
Par Alastair Crooke – Le 17 février 2018 – Source Strategic Culture
« Israël enfourche un grand cheval » écrit Alex Fishman (le correspondant vétéran de la défense israélien) dans le quotidien hébraïque Yedioth Ahronoth le mois dernier, « et s’approche à pas de géant d’une ‘guerre de choix’. Sans mâcher ses mots, c’est une guerre commencée au Liban. » Dans son article, Fishman note : « La dissuasion classique consiste à menacer un ennemi de ne pas vous nuire sur votre territoire, mais ici, Israël exige que l’ennemi s’abstienne de faire quelque chose sur son propre territoire, sinon Israël va lui nuire. Du point de vue historique et de la perspective de la légitimité internationale, les chances que cette menace soit reconnue comme valide, conduisant à la cessation des activités ennemies sur leur propre territoire, sont minces. »


Par le Saker – Le 16 février 2018 – Source 

Par Alastair Crooke – Le 23 janvier 2018 – Source
Une lecture superficielle de l’Opération Rameau d’olivier indique qu’il s’agit d’une guerre turco-kurde, mais les détails de la lutte ressemblent beaucoup plus à la guerre civile provoquée par Daech à ses débuts, et c’est exactement l’intention initiale d’Ankara et des YPG.


Trump s’est ostensiblement compromis devant le président turc Erdogan en promettant qu’il va cesser d’armer les Kurdes syriens.
Par Federico Pieraccini – Le 20 novembre 2017 – Source