Par Matthew Ehret-Kump – Le 3 juin 2016 – Source Global Independent Analytics
La communauté transatlantique fait aujourd’hui face à une décision qui, si elle est erronée, peut condamner l’humanité à une extinction prématurée. Continuer la lecture
Par Matthew Ehret-Kump – Le 3 juin 2016 – Source Global Independent Analytics
La communauté transatlantique fait aujourd’hui face à une décision qui, si elle est erronée, peut condamner l’humanité à une extinction prématurée. Continuer la lecture
Le 3 juin 2016 – Source sputniknews
Comme le gouvernement canadien débat sur l’opportunité d’acheter l’infâme F-35, il va peut-être être obligé d’acheter le chasseur F/A-18E/F Super Hornet pour s’assurer que sa force aérienne reste opérationnelle.
Le F-35 Joint Strike Fighter se révèle être une question controversée sur la scène politique canadienne. Alors que le Premier ministre Justin Trudeau a fait la promesse de campagne de renier l’engagement de la nation envers l’avion infâme, la Force aérienne du Canada demeure déterminée.
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A l’insu de leurs gouvernements respectifs 🙂, des généraux US et canadiens au plus haut niveau ont discuté de l’intégration totale de leurs forces armées
Par Joshua Krause – Le 10 octobre 2015 – Source The Daily Sheeple
Depuis que les plans pour le corridor Trans-Texas (Alias Autoroute de l’ALENA) ont été annulés par le gouvernement fédéral et la législature de l’État du Texas, les théories entourant l’Union nord-américaine sont largement retombées dans l’oubli, hors de la conscience publique. Cependant, régulièrement, une histoire émergera qui suggère que les gouvernements d’Amérique du Nord sont toujours tranquillement en train de conspirer pour unir le Canada, le Mexique et les États-Unis en un super État, tout comme l’Union européenne.
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Par Dagmar Henn – 17 mai 2015 – Source vineyardsaker.de
L’article ci-dessous a paru dans le journal canadien National Post. Il est si divertissant que je ne veux pas vous en priver. Mais attention, veillez à être bien assis… (et merci à la page Facebook Initiative citoyenne pour la paix en Ukraine, qui a découvert cette friandise). Et oui, naturellement, c’est aussi un morceau de vile propagande. Mais quand on s’abaisse à ça, voilà ce que ça donne.
L’infiltration par les russes de l’armée ukrainienne complique la mission de formation canadienne
Former des Ukrainiens pour lutter contre les séparatistes pro-russes pourrait se révéler une entreprise beaucoup plus difficile pour les 200 soldats canadiens, dont Ottawa a annoncé mardi le déploiement en Ukraine, que la mission similaire qu’assurent quelque 70 formateurs canadiens en Irak.
Selon une nouvelle note, destinée au bureau des études militaires pour les Affaires étrangères de l’armée US, à Fort Leavenworth, Kansas, la raison en est que des agents russes de services de renseignement de toute nature ont infiltré si profondément l’armée ukrainienne que presque rien de ce qu’ils disent ou font ne reste secret longtemps,
Citant des sources non classifiées, principalement russes, Roger McDermott, dans son essai Frères ennemis : l’usage par la Russie de la puissance militaire en Ukraine, met en garde contre «l’infiltration de l’appareil de renseignement de l’État ukrainien, le SBU (Service de sécurité d’Ukraine), par les services de renseignement russes, y compris par le GRU (Direction générale des renseignements russe), le FSB (Service fédéral de sécurité) et le SWR (Service des renseignements extérieurs)».
L’infiltration de l’armée ukrainienne n’implique pas seulement des agents officiels des services de renseignement russes. On croit que des Ukrainiens qui sympathisent avec Moscou travaillent au sein, ou à proximité, de presque toutes les unités de l’armée ukrainienne, ce qui rend tous les aspects du conflit – y compris la formation pour la guerre – plus difficiles pour tous ceux qui soutiennent le camp ukrainien.
Plusieurs officiers canadiens, qui connaissent bien la situation ukrainienne, ont dit qu’ils étaient au courant d’un possible intérêt russe pour les activités des formateurs canadiens, mais ils n’ont pas précisé davantage.
En raison de l’omniprésence de l’espionnage russe en Ukraine, les images satellites que le Canada a commencé à livrer à l’Ukraine ont pu aussi rapidement finir à Moscou. On pense que la raison pour laquelle Washington ne voulait pas partager ses meilleures images satellites avec l’Ukraine est qu’il ne veut pas que les Russes découvrent quelles sont les capacités de ses satellites.
Tandis que l’espionnage russe va indubitablement compliquer la mission canadienne, il ne fait probablement pas courir de risque physique supplémentaire aux formateurs canadiens. Comme le ministre de la Défense Jason Kenney l’a souligné à plusieurs reprises, lorsqu’il a annoncé à Ottawa l’engagement prévu pour l’été, les Canadiens travailleront avec les formateurs états-uniens et de l’Otan loin de la zone de conflit en Ukraine de l’Est. Si la situation en Ukraine se dégrade, a fait remarquer Kenney, les Canadiens peuvent se mettre en sécurité en Pologne voisine, d’où ils peuvent être évacués.
Contrairement à ce qui se passe en Irak, où des formateurs des unités spéciales canadiennes travaillaient parfois très près de la ligne de front et où ils ont été impliqués dans des échanges de tirs à courte distance, les formateurs mandatés, qui viennent principalement de la base de Petanawa dans la vallée d’Ottawa supérieure, n’accompagneront pas les unités ukrainiennes sur le terrain pour les aider dans l’identification et la détection de l’ennemi. Ils délivreront plutôt tout leur enseignement dans des bases fortifiées, à l’image de la mission de formation beaucoup plus importante en Afghanistan, qui a suivi la participation canadienne aux combats à Kandahar.
Selon le gouvernement, la mission assumera les activités suivantes : formation à l’élimination des munitions explosives et des explosifs improvisés ; formation de la police militaire ; formation médicale ; entraînement à la sécurité en vol ; et formation à la modernisation du système logistique.
Les officiers du renseignement russe et les sympathisants ukrainiens russophiles qui travaillent pour eux vont presque certainement tenter de saper la mission canadienne en recensant avec précision les stratégies et les tactiques pour lesquelles les Ukrainiens reçoivent une formation, ainsi que la logistique de la mission.
Quant aux Russes, ils ont formé l’an dernier les forces séparatistes rebelles à la stratégie, à la tactique et au maniement de systèmes d’armes de pointe, tant en Ukraine que dans le sud de la Russie. Mais ces séparatistes ne craignent pas, et de loin, la même infiltration par les services de renseignement ukrainiens, et les Ukrainiens de l’Est qui soutiennent Kiev ont fui depuis longtemps pour sauver leur vie.
Effectivement, conclut McDermott, les Russes, en plus de prendre l’initiative de nombreux combats, et de fournir l’équipement et le ravitaillement, ont donné la priorité à la formation de leurs alliés, longtemps avant que l’Otan se décide à faire de même.
Les pays occidentaux, dont le Canada, ont répondu très lentement à la demande pressante de l’Ukraine de livraison d’armes. Mais les Canadiens, de par l’expérience, en termes de combats et de formation, qu’ils ont acquise pendant une dizaine d’années en Afghanistan, sont particulièrement adaptés à la mission de formation ukrainienne.
Comme en Afghanistan, les Canadiens ont beaucoup de pain sur la planche. Depuis la chute de l’Union soviétique en 1991, les Ukrainiens, comme les Afghans, ont consacré peu de ressources à la formation ou au rééquipement de leurs troupes. Ils ont un urgent besoin d’aide dans presque tous les domaines.
Matthew Fisher.
Article original publié par nationalpost
A part que je peux difficilement concevoir que les Canadiens apportent là-bas des choses encore inconnues en Russie, et que les Ukrainiens soient ravis d’être comparés aux Afghans, il n’y a qu’un commentaire à faire, pour finir : à hurler [de rire, NdT].
Traduit par Diane, relu par jj pour le Saker Francophone
Par John Helmer – Le 8 avril 2015 – Source johnhelmer.net
Le gouvernement canadien a annoncé la semaine dernière qu’il va donner à nouveau 200 millions de dollars à Kiev, en plus des 200 millions qui ont été donnés en septembre dernier.
Un porte-parole du ministre des Affaires Étrangères Rob Nicholson admet que la destination de l’argent n’est pas vérifiée comme les accords de prêt annoncés l’exigent.
Alors que les virtuoses russophones sont mis à l’index au Canada, la pianiste Valentina Lisitsa a vu ses prestations supprimées par l’Orchestre symphonique de Toronto pour avoir abusé de sa liberté d’expression.
Mais les Services de renseignement canadiens, avec l’aide de la redoutable CIA, dont l’efficacité légendaire n’est plus à prouver, ont immédiatement réagi.
En interrogeant la pianiste, les enquêteurs ont été mis sur la piste de ses complices.
Ils ont arrêté le chef d’un groupe terroriste russe, un certain Glinka, jusque là inconnu des services secrets occidentaux, établi à Saint-Petersbourg et qui dirige une cellule clandestine officiant sous le nom de code mystérieux de Groupe des Cinq.
Le 15 mars 2015 – Source Russia Today
Des milliers de manifestants se sont unis dans tout le Canada pour agir contre la législation anti-terrorisme connue sous le nom de Bill C-51 [proposition de loi, NdT], qui étendrait les pouvoirs de la police et de l’agence d’espionnage, particulièrement lorsqu’il s’agit de détenir des personnes suspectes de terrorisme. [Une transposition du Patriot Act US qui se prépare aussi chez nous, NdT]
Par Jason Fekete, Lee Berthiaume, Ian MacLeod – Le 13 mars 2015
Source ottawacitizen
L’ambassade du Canada en Jordanie, dirigée par un ambassadeur spécialement choisi par Stephen Harper et qui est un ancien garde du corps, est impliqué par un article dans un scandale d’espionnage et de terrorisme international qui se dévoile actuellement.
Vendredi, le gouvernement fédéral à refusé de commenter les nombreux articles évoquant un espion étranger supposé travailler pour les services de renseignement canadiens, arrêté en Turquie pour avoir aidé trois adolescentes britanniques à se rendre en Syrie pour rejoindre les militants de l’État islamique et qui travaillait pour l’ambassade canadienne à Amman, en Jordanie.
Par What’s Left – Le 17 mars 2015 – Source ICH
Selon David Pugliese, journaliste à Ottawa Citizen, qui a obtenu des documents des services de renseignements canadiens, ces derniers savaient que l’intervention de l’Otan en Libye en mars 2011 aiderait les islamistes théocratiques militants alliés à al-Qaida et que cela engendrerait un chaos à long terme dans le pays.
A l’époque, le dirigeant militaire de l’Otan, l’amiral US James Stavridis, niait le fait que l’opposition au dirigeant séculier Muhammar Kadhafi était dominée par des islamistes théocratiques, qualifiant la plupart des forces d’opposition d’ hommes et de femmes responsables.
Mais les renseignements canadiens étaient lucides sur la nature de l’opposition libyenne.
Pugliese à révélé qu’«un rapport des services de renseignements canadiens, écrit à la fin de 2009, décrivait la place forte de l’opposition à Kadhafi à l’Est de la Libye, d’où à surgi le soulèvement, comme un épicentre de l’extrémisme Islamique.»
Par Brandon Martinez – Le 13 mars 2015 – Source sott.net
Le journal The Ottawa Citizen a rapporté qu’un individu soupçonné par les autorités d’avoir assisté les trois élèves britanniques pour leur voyage en Syrie afin de rejoindre l’EI, est lié au CSIS, une agence des services de renseignements canadiens.
Le journal a écrit que «les agences d’information turques on rapporté jeudi que l’agent de renseignement étranger, détenu dans ce pays, et suspecté d’avoir aidé les filles à passer la frontière vers la Syrie pour rejoindre l’EI, travaillait pour le gouvernement Canadien».