Par Alexandre Moumbaris – Le 2 février 2017
L’élection présidentielle étasunienne nous a interpellés avec une très grande intensité. Le risque d’une guerre nucléaire était notre première préoccupation. Nous ne pouvions pas assumer une pseudo-pureté idéologique et condamner les deux candidats de la même manière – attitude répandue parmi des « communisants » d’extrême gauche – ou, ce qui au fond revient quasiment au même, s’enfoncer la tête dans le sable et attendre que l’orage passe.