Par Kit Klarenberg – Le 16 juin 2023 – Source Mint Press News

Cet immeuble à la façade de verre situé dans le quartier chinois de New York fait partie des centaines d’immeubles dans le monde accusés, par Safeguard Defenders, d’abriter des bases secrètes d’espionnage chinoises. Bebeto Matthews | AP
Depuis des mois, les grands médias du monde occidental – en particulier les médias anglophones basés dans les pays membres du réseau d’espionnage mondial « Five Eyes » – sont inondés d’informations voulant faire peur au sujet de « commissariats de police chinois » secrets qui opèrent dans le monde entier.
Ces « commissariats » seraient des cellules secrètes et non officielles de sécurité et de renseignement du Parti communiste chinois (PCC) dissimulées dans des entreprises privées gérées par des émigrés chinois, telles que des restaurants. Derrière une façade anodine, elles surveillent et harcèlent les expatriés favorables à la démocratie, entre autres activités néfastes.
Par contre, Pékin nie leur existence, affirmant que les exemples cités ne sont que des initiatives anodines mises en place par des bureaux régionaux pendant la pandémie de COVID-19. Il s’agirait principalement de services administratifs offerts aux citoyens chinois à l’étranger, tels que le renouvellement du permis de conduire.
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Depuis la pandémie, je n’ai eu de cesse d’affirmer que la confiance dans la presse institutionnelle dominante a été irrémédiablement altérée. Après quatre années ininterrompue d’un syndrome d’aliénation au sujet de Trump, tellement intense que même certains libéraux se demandaient si la presse avait dépassé les bornes dans ses éditoriaux, après le choc du COVID, beaucoup de gens qui acceptaient les informations diffusées par ces médias sans les remettre en cause considèrent désormais les médias dominants pour ce qu’ils sont : de l’agitation, de la propagande et du lavage de cerveau.