Le 29 novembre 2016 – Source entrefilets
En octobre dernier, Moscou et Damas ont accepté une énième trêve humanitaire, voulue par l’Oncle Sam pour sauver ses barbus coincés dans la poche d’Alep-Est. Durant plus de trois semaines, la Russie n’a opéré aucune frappe aérienne, se contentant d’effectuer un méticuleux travail de renseignement, tout en organisant des couloirs humanitaires pour permettre l’évacuation des civils. De leur côté, les coupeurs de têtes modérés du Bloc atlantiste empêchaient la population de les emprunter, se réarmaient et se regroupaient pour préparer une grande offensive destinée à briser le siège d’Alep-Est.