Par Andrew Korybko − Le 11 novembre 2019 − Source oneworld.press
Le président Morales a été contraint de démissionner suite à la « demande » de l’armée, après que l’Organisation des États Américains, avec les États-Unis en sous-main, a affirmé avoir trouvé des « preuves « établissant que sa ré-élection récente était truquée, mais le coup d’État militaire ne mettra pas fin à la Guerre Hybride contre la Bolivie, mais dans le peu probable « meilleur » scénario possible qui serait que la spirale de violence cesse dans le pays. Les conséquences structurelles et institutionnelles de cette campagne améneront inévitablement à un renversement des droits socio-économiques qui avaient été accordés à la majorité indigène de la population : le risque est donc que des millions de gens retournent à la case départ, comme esclaves du système néolibéral-mondialiste.