Par The Saker − Le 16 octobre 2019 − Source thesaker.is via Unz Review
Eh bien, cela n’a pas pris trop longtemps. Permettez-moi de résumer ce qui vient de se passer en Ukraine.
Par The Saker − Le 16 octobre 2019 − Source thesaker.is via Unz Review
Eh bien, cela n’a pas pris trop longtemps. Permettez-moi de résumer ce qui vient de se passer en Ukraine.
Par Brandon Smith − Le 2 octobre 2019 − Source Alt-Market.com
Au cours de la campagne électorale de l’été 2016, j’ai examiné le phénomène Trump et son rapport avec le récit globaliste. J’ai conclu que Trump serait président parce que le fait d’avoir un (soi-disant) nationaliste pur jus et un conservateur populiste à la Maison-Blanche au cours des quatre prochaines années serait en fait très avantageux pour les élites. À l’époque, la Réserve fédérale s’apprêtait à resserrer les liquidités, ce qui entraînerait inévitablement une volatilité des marchés et un effondrement des fondamentaux. À la fin du premier mandat de Trump, ou peut-être au début de son deuxième mandat, la crise récessionniste deviendrait évidente pour le grand public. Trump, et tous les conservateurs, seraient blâmés pour le désastre résultant que les élites bancaires ont conçu.
Par Andrew Korybko − Le 14 octobre 2019 − Source news.cgtn.com
La décision prise récemment par le président Trump, consistant à effectuer le retrait de pratiquement 1000 soldats hors de la zone Nord-Est de la Syrie, ne constitue pas du tout la réaction de panique d’un dirigeant incompétent face aux opérations anti-terroristes turques sur la zone. Au contraire, il s’agit d’un coup habile visant à faire d’une pierre deux coups : réduire l’implication militaire étasunienne dans ce bourbier, et réviser en conséquence l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient. Nous allons passer en revue les derniers événements en date en Syrie qui éclairent la situation.
Par Nicolas Bonnal – Septembre 2019 – Source nicolasbonnal.wordpress.com
Jamais nous n’avons tant eu l’impression que notre planète, comme dit Hamlet (ou plus exactement Rosencrantz) est devenue une prison, prison dotée d’une foule de geôles, d’interdits, de flics de la pensée. La France est un camp de concentration médiatique, culturel et politique dont on ne s’échappe que par l’exode virtuel, ce qui est une faible consolation, puisque les responsabilités de l’aliénation sont imputables à cette même omniprésente et addictive technologie. Nous prétendons retourner contre l’ennemi les armes qu’il utilise pour nous emprisonner. Comme si nous n’avions pas compris Tolkien et la menace protéiforme et polyfacétique de son anneau…
Par Stratediplo − Le 6 octobre 2019 − Source stratediplo
Il semble nécessaire de rappeler une fois de plus que le terrorisme n’est pas un acteur ou une faction, ce n’est qu’une stratégie.
Cette stratégie consistant à frapper au hasard pour générer la terreur a été utilisée, par exemple, par les anarchistes il y a un peu plus d’un siècle, par les séparatistes (algériens, basques, corses…) il y a un demi-siècle et par les Mahométans aujourd’hui (en France en tout cas). Et évidemment, comme on l’annonçait il y a trois ans, la défaite de l’ennemi lointain auquel le gouvernement français avait, en 2016, laborieusement mais mensongèrement attribué les attentats de 2015, n’a pas mis fin aux attentats d’inspiration mahométane en France.
Par SrsRoccoReport – Le 13 septembre 2019
La production américaine de pétrole de schiste est-elle en train de stagner ? Eh bien, il semble que oui. Après avoir connu une croissance importante en 2017 et 2018, la production américaine de pétrole de schiste est demeurée stable au cours des cinq premiers mois de cette année. C’est une terrible nouvelle pour l’industrie du pétrole de schiste qui comptait sur la croissance de la production pour augmenter ses flux de trésorerie et rembourser sa dette.
Le QE est de retour ?!!?
Par Chris Hamilton – Le 23 août 2019 – Source Econimica
Résumé
(*) du Larousse : Anéantissement subit des forces vitales, se traduisant par un arrêt de la respiration et un état de mort apparente.
Par Moon of Alabama – Le 18 octobre 2019
Les médias et les “experts” américains ont tout faux dans la description des pourparlers d’hier entre le vice-président américain Mike Pence et le président turc Recep Tayyip Erdogan. Ces entretiens n’étaient qu’un spectacle pour apaiser les critiques contre la décision du président Donald Trump de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie.
Par Vladislav B. SOTIROVI – Le 29 avril 2019 – Source Oriental Review
À l’aube du XXe siècle, les grandes puissances européennes 1, réparties entre deux alliances politico-militaires antagonistes, se préparaient à un grand règlement de comptes autour de la nouvelle répartition des sphères d’influence politico-économiques et de la redistribution des colonies à travers le monde. Leurs intérêts respectifs se télescopèrent sur le territoire du Sud-Est de l’Europe, bien plus que dans d’autres parties du globe. Ces puissances étaient motivées par l’exploitation des richesses naturelles de la région et par le potentiel militaro-stratégique de cette arrière-cour stratégique de la méditerranée orientale, point de passage privilégié entre l’Europe centrale et le Moyen-Orient.
Par Jeffrey A. Tucker − 7 octobre 2019 − Source American Institute for Economic Research
“C’est un film sur la lente descente d’un homme dans la folie, rien de plus”, me dit-il. C’est ainsi que le guichetier me prévint après que je lui dit quel film j’allais voir : Le Joker. Pourquoi est-ce que le guichetier s’est senti obligé de me résumer le film ? Comme s’il avait répété cette phrase à l’excès, pour la servir aux spectateurs, telle une mention d’avertissement, à savoir que la fiction apocalyptique du film pourrait générer des vocations.