Par Emmanuel Leroy − Septembre 2018
La plupart des auteurs s’accordent pour définir le terrorisme comme étant une méthode d’emploi de la terreur à des fins politiques, religieuses ou idéologiques. À ce titre, le génocide arménien de 1915 entre parfaitement dans la catégorie du terrorisme d’État visant à anéantir une partie de la population pour des raisons ethniques ou religieuses. L’emploi du mot terrorisme est attesté pour la première fois en France, en 1794, pour désigner la doctrine des partisans de la Terreur : Robespierre, Marat et leurs amis du bien mal nommé Comité de Salut Public. Nous remarquerons qu’il s’agissait déjà ici d’un terrorisme d’État, revendiqué et assumé comme tel, et destiné à éradiquer ou à mettre au pas tous ceux qui refusaient le nouvel ordre : Chouans, Vendéens, aristocrates, religieux, etc. et non pas d’un terrorisme dirigé contre un État par une faction politique ou religieuse quelconque.






Par Gareth Porter – Le 23 novembre 2017 – 



Le terme péjoratif de « théorie du complot » est automatiquement jeté sur n’importe qui ayant la témérité de questionner la véracité des histoires diffusées par les médias américains dominants : refusez de croire ce dont ils vous nourrissent, et vous êtes automatiquement étiqueté comme « théoricien du complot ». Mais que se passe-t-il si vous refusez de théoriser, d’attaquer, d’attribuer, d’insinuer ou d’offrir des versions alternatives, et si simplement vous soulignez que ce qui est prétendu être vrai n’est rien de moins que très peu probable ? Bien sûr, tout est possible ; par exemple, il est possible que chaque personne qui lit cet article attrape instantanément le hoquet. Mais ce n’est pas le plus probable. Si quelqu’un vous disait que tous ceux qui ont lu cet article ont effectivement eu le hoquet, je pense que vous seriez parfaitement en droit de dire que « c’est trop peu vraisemblable pour être vrai ». Vous pourriez refuser d’y croire sans être méprisé comme un « théoricien du complot » et sans être poussé à fournir une sorte de compte rendu alternatif parce que vous n’êtes pas obligé de donner un sens à l’absurdité de quelqu’un d’autre.