Un des rares bénéfices du bombardement de la Libye va tomber dans la poche des habituels gagnants de cette alliance public-privé que constitue la machine du militarisme sans fin, en lui fournissant un nouveau prétexte pour un nouveau bombardement.
Par Glenn Greenwald – Le 27 janvier 2016 – Source The Intercept
Les jours suivant le bombardement de la Libye par l’Otan ont été une période de grandes congratulations. Tout comme les avocats de la guerre contre l’Irak ont utilisé la capture et l’assassinat de Saddam Hussein comme preuve que leur guerre avait été un succès, les avocats de la guerre contre la Libye ont utilisé la capture et le meurtre brutal de Kadhafi comme une justification de leur décision.