Par Israel Shamir – Le 25 septembre 2015 – Source Unz Review
Ces jours d’automne sont les plus importants du calendrier au Moyen-Orient. Les musulmans célèbrent l’Aïd al-Adha, la Fête du sacrifice ; les juifs jeûnent à Yom Kippour, le Jour du Grand pardon ; et les chrétiens orthodoxes d’Orient se réjouissent de la nativité de Notre-Dame Marie. Il semble, de façon surprenante, que l’endroit à la mode en ce moment soit Moscou, où Poutine a reçu successivement, à un rythme soutenu, le Premier ministre Bibi Netanyahou, le président palestinien Mahmoud Abbas et le dirigeant turc Recep Erdogan.
Elias Moutran est un avocat libanais et militant pan-arabe de longue date. Il est entre, autres, membre du comité exécutif du Congrès national arabe et du Centre d’étude pour l’unité arabe ainsi que du Congrès national nassérien
Dans ce troisième épisode, il brosse ici une histoire contemporaine du Moyen-Orient, depuis les accords Sykes-Picot jusqu’à nos jours.
Dans cet épisode, il expose l’histoire et les bases du nationalisme arabe.
Enfin dans cette dernière courte vidéo, il développe plus spécifiquement les liens et intérêts convergents qui existent entre le nationalisme français et européen et le nationalisme arabe historique.
Elias Moutran est un avocat libanais et militant pan-arabe de longue date. Il est entre, autres, membre du comité exécutif du Congrès national arabe et du Centre d’étude pour l’unité arabe ainsi que du Congrès national nassérien
Dans ce second épisode, il brosse ici une histoire contemporaine du Moyen-Orient, depuis les accords Sykes-Picot jusqu’à nos jours.
Au moment où les ennemis de la chrétienté et de la romanité frappent conjointement le Moyen-Orient par la guerre et l’Europe par les flots humains des victimes de ces mêmes guerres iniques, il est plus que nécessaire d’avoir les idées claires sur les processus en cours et les permanences historiques rémanentes. De bien les connaitre afin d’identifier les ennemis de la civilisation européenne et de la civilisation arabe. Ennemis qui sont depuis toujours les mêmes.
Elias Moutran est un avocat libanais et militant pan-arabe de longue date. Il est entre, autres, membre du comité exécutif du Congrès national arabe et du Centre d’étude pour l’unité arabe ainsi que du Congrès national nassérien.
Dans cette série d’entretiens réalisée en aout 2015, il expose pour nous les logiques et fractures qui déstabilisent actuellement l’ensemble du Moyen-Orient. Déstabilisation qui touche maintenant le monde européen. Il développe ensuite l’histoire contemporaine de cette région depuis les accords Sykes-Picot ainsi que celle du nationalisme arabe.
Au moment où les ennemis de la chrétienté et de la romanité frappent conjointement le Moyen-Orient par la guerre et l’Europe par les flots humains des victimes de ces mêmes guerres iniques, il est plus que nécessaire d’avoir les idées claires sur les processus en cours et les permanences historiques rémanentes. De bien les connaitre afin d’identifier les ennemis de la civilisation européenne et de la civilisation arabe. Ennemis qui sont depuis toujours les mêmes.
Connaitre et comprendre les liens historiques et les intérêts convergents qui existent entre le nationalisme français et européen et le nationalisme arabe historique est plus que jamais fondamental.
Voilà, ci-dessous, ce qui a été rapporté hier dans le London Times. Bizarrement, aucun grand média américain n’en a fait état :
« La tentative américaine de relancer son programme – très critiqué – de formation de rebelles a essuyé un nouveau revers, hier, quand un deuxième lot de combattants formés en Occident a été détenu par d’autres groupes rebelles dans le nord de la Syrie.»
Par Pepe Escobar – 18 septembre 2015 – Source : Asia Times
Pour vous donner une petite idée des aptitudes intellectuelles de l’administration Obama, elle se demande encore si elle doit continuer à ignorer le président russe Vladimir Poutine ou s’investir dans un véritable partenariat pour régler le drame géopolitique et humanitaire qui se joue en Syrie. Après tout, dans les officines à Washington, en cas de doute entre la diplomatie et le chaos, la balance penche toujours vers le dénominateur commun le plus simpliste qui trouve grâce aux yeux des néocons et des néolibérauxcons, à savoir un changement de régime.
Des sources israéliennes accusent Erdogan de provoquer intentionnellement une vague de migration vers l’Europe du Nord.
Dans un premier temps, la Turquie a tout fait pour bloquer les routes maritimes de l’immigration clandestine vers l’Europe. Mais ensuite, du fait que l’Otan a refusé de prendre des mesures pour renverser Assad et que État islamique n’a pas réussi écraser le dirigeant alaouite comme l’espérait Erdogan, la Turquie a décidé de rendre les choses difficiles à l’Europe en y transférant une partie de la pression. Au cours des derniers mois, la Turquie a cessé de bloquer le mouvement des réfugiés vers l’Ouest. Selon la source israélienne, il est tout à fait possible que les mêmes forces de sécurité turques qui ont soutenu EI aident maintenant les passeurs.Continuer la lecture →
Les USA et la Turquie ont conjointement décidé d’envahir la Syrie, poussant la Russie a répliquer.
Les USA et la Turquie se drapent derrière la protection de réfugiés, une histoire de jour en jour plus dure à vendre si on connaît la longue implication de la Turquie dans la persécution des minorités.
Par Pepe Escobar – Le 13 août 2015 – Source Russia Today
Le ministre des Affaires étrangères russe Sergei Lavrov, le secrétaire d’État des USA John Kerry et le ministre des Affaires étrangères saoudien Adel al-Joubeir se sont rencontrés la semaine dernière à Doha pour trouver des moyens (en théorie) de résoudre le puzzle syrien.
Par MK Bhadrakumar – Le 20 juillet 2015 – Source: Bhadrakumar
A première vue, les frappes aériennes turques en Syrie, qui ont commencé la semaine dernière contre État islamique, semblent indiquer un changement de position d’Ankara à l’égard du groupe terroriste. L’armée turque a donné à cette opération le nom de code Yalcin Nane, d’après un sous-officier turc tué lors d’un affrontement transfrontalier avec EI jeudi dernier (qui à son tour suivait un supposé attentat suicide dans une ville à la frontière de la Turquie le lundi, tuant 32 personnes).