Par Moon of Alabama – Le 6 octobre 2019
Les troubles actuels en Irak ont commencé il y a une semaine, juste après la destitution d’un éminent général :
Par Moon of Alabama – Le 6 octobre 2019
Les troubles actuels en Irak ont commencé il y a une semaine, juste après la destitution d’un éminent général :
Si vous avez suivi la série intitulée «Venezuela. Comprendre la guerre qui vient» que nous avons publié cette semaine alors vous comprendrez mieux les implications de cette information, publiée cette semaine sur SputnikNews.
Par Sputnik News − Le 20 septembre 2019

De nouvelles photos de Juan Guaido dans les bras de membres du cartel narco-paramilitaire colombien Los Rastrojos viennent d’être révélées
Le groupe paramilitaire Los Rastrojos élimine les témoins de ses rapports avec l’opposant Juan Guaido, a annoncé le procureur général du Venezuela Tarek William Saab démontrant, pour appuyer sa thèse, des photos publiées sur les réseaux sociaux.
Une guerre hybride contre le Venezuela a déjà commencé. Et une offensive d’envergure est en train de se préparer contre le pays caribéen, que seule la capitulation totale, ou la disparition du camp bolivarien, pourraient endiguer. Comme ces options ne sont pas à l’ordre du jour, le conflit militaire contre le Venezuela prend chaque jour un peu plus forme.
Par Romain Migus − Source Venezuela en vivo

Pour comprendre comment s’articulera la stratégie de ces groupes armés, il nous faut revenir sur les guarimbas, du nom donné au Venezuela à ces épisodes insurrectionnels qu’a connus le pays au cours des dernières années. Dès le jour de l’élection de Nicolas Maduro, le 14 avril 2013, Henrique Capriles, mauvais perdant appela ses partisans à prendre les rues. Bilan : 11 morts, et 78 blessés1. L’opposition réitérera sa volonté d’engager un bras de fer avec le pouvoir en réactivant les guarimbas en 2014 (43 morts, 608 blessés), et en 2017 (142 morts, 1934 blessés). La plupart des morts sont imputables aux émeutiers, lorsqu’ils refusèrent que les citoyens puissent franchir les barricades pour accéder aux centres de soin, ou bien en assassinant des personnes suspectées de chavisme, en les égorgeant, en les brûlant vifs, en les lynchant, ou en les tuant par balle2. Les policiers et les militaires n’échappent pas à la folie meurtrière des participants aux guarimbas, 16 membres des forces de l’ordre ayant été assassinés en 2014 et 2017, et 102 ont été blessés par balle.
Par Moon of Alabama − Le 30 septembre 2019
Ian Cobain a déjà écrit la longue histoire de l’implication britannique dans la torture. Il enquête maintenant sur l’implication britannique dans la manipulation des médias. Voici une de ses importantes trouvailles :
Une guerre hybride contre le Venezuela a déjà commencé. Et une offensive d’envergure est en train de se préparer contre le pays caribéen, que seule la capitulation totale, ou la disparition du camp bolivarien, pourraient endiguer. Comme ces options ne sont pas à l’ordre du jour, le conflit militaire contre le Venezuela prend chaque jour un peu plus forme.
Par Romain Migus − Source Venezuela en vivo

Le 14 mars 2018, Erick Prince, le fondateur de l’entreprise militaire privée Blackwater, réunissait une centaine de personnalités dans son ranch de Virginie. L’invité d’honneur, ce jour-là, n’était autre que Oliver North, figure principale avec Elliott Abrams –l’actuel envoyé spécial des USA pour le Venezuela- de la sale guerre contre le Nicaragua dans les années 801. Ce retour de Erick Prince sous le feu des projecteurs, après sa mise à l’écart des administrations états-uniennes (tout comme son collègue Abrams), aurait dû être un signal d’alerte. Mais ce n’est qu’un an plus tard que l’on apprendra que le fondateur de Blackwater se disposait à recruter 5000 mercenaires pour le compte de Juan Guaido2. Ce plan macabre n’aurait, pour l’instant, trouvé ni l’écho de la Maison Blanche, pourtant sensible à l’influence de Prince, ni le financement nécessaire de 40 millions de dollars, somme ridicule si l’on tient compte du vol de plusieurs milliards de dollars appartenant à l’état vénézuélien par l’administration étasunienne.
Une guerre hybride contre le Venezuela a déjà commencé. Et une offensive d’envergure est en train de se préparer contre le pays caribéen, que seule la capitulation totale, ou la disparition du camp bolivarien, pourraient endiguer. Comme ces options ne sont pas à l’ordre du jour, le conflit militaire contre le Venezuela prend chaque jour un peu plus forme.
Par Romain Migus − Source Venezuela en vivo
Le storytelling occidental laisse entrevoir la situation au Venezuela comme un conflit interne où s’opposent deux armées, deux légitimités, deux présidents. D’un coté, les «défenseurs de la démocratie» de l’autre, les tenants de la «dictature maduriste», défendue par une armée en lambeaux et une garde prétorienne russo-cubaine (1). Ce récit médiatique permet de passer sous silence la robustesse des forces armées bolivariennes et le soutien non négligeable dont bénéficie le chavisme au sein de la population. Qui plus est, il élude complètement les enjeux géopolitiques et les ingérences prédatrices des Etats-Unis et de leurs complices internationaux.
Une guerre hybride contre le Venezuela a déjà commencé. Et une offensive d’envergure est en train de se préparer contre le pays caribéen, que seule la capitulation totale, ou la disparition du camp bolivarien, pourraient endiguer. Comme ces options ne sont pas à l’ordre du jour, le conflit militaire contre le Venezuela prend chaque jour un peu plus forme.
Par Romain Migus − Source Venezuela en vivo

L’alliance civico-militaire est un des piliers de la Révolution Bolivarienne. Elle puise ses sources dans l’histoire de l’indépendance du Venezuela, et amène les forces armées à jouer un rôle primordial dans la vie politique de la Nation. Les appels du pied de l’opposition aux militaires pour tenter de renverser Hugo Chávez, puis Nicolas Maduro, ont été récurrents depuis l’avènement de la Révolution bolivarienne en 1999. L’armée est l’objet de toutes les attentions et de toutes les convoitises.
Par The Saker − Le 18 septembre 2019 − Source thesaker.is via Unz Review
Le Moyen-Orient est littéralement en train d’exploser : les Houthis ont porté un coup extrêmement efficace à la production de pétrole saoudienne qui, selon eux, a maintenant chuté de 50% avant de rebondir ; il y a des rumeurs persistantes selon lesquelles les Su-35S et S-400 russes ont menacé d’abattre un avion israélien attaquant la Syrie ; le Liban a déclaré qu’il se défendrait contre les attaques israéliennes. Le Hezbollah a menacé de lancer des frappes paralysantes sur Israël et même contre des responsables israéliens ; la Turquie a acheté des défenses anti-aériennes russes et affirme que si les États-Unis refusent de livrer leur F-35S, la Turquie envisagera les Su-35 et peut-être même les Su-57. Bibi Netanyahu a essayé d’utiliser Poutine pour sa campagne de réélection – enfin, il essaie vraiment désespérément d’éviter la prison – mais a dû rentrer chez lui les mains vides et, selon le Jerusalem Post, sa mission a été un échec.
Une guerre hybride contre le Venezuela a déjà commencé. Et une offensive d’envergure est en train de se préparer contre le pays caribéen, que seule la capitulation totale, ou la disparition du camp bolivarien, pourraient endiguer. Comme ces options ne sont pas à l’ordre du jour, le conflit militaire contre le Venezuela prend chaque jour un peu plus forme.
Comment comprendre la guerre qui s’annonce? Quels seront les acteurs impliqués dans ce conflit ? Quelles seront les stratégies mises en place pour dévaster le pays ? Dans cette analyse en cinq parties [Que le Saker Francophone publiera sur les quatre prochains jours à 12h00] nous tenterons d’apporter des éléments de réponse pour que nos lecteurs comprennent toutes les dimensions d’un affrontement qui paraît inéluctable.
Par Romain Migus − Source Venezuela en vivo
. Le 23 janvier 2019, date de la tentative de coup d’Etat contre le président vénézuélien Nicolas Maduro, le président des États-Unis, Donald Trump a réitéré les menaces militaires contre le Venezuela, qu’il avait proférées dès août 2017 1. Cette déclaration tend à confondre le citoyen sur la réalité vénézuélienne. Elle suppose que la guerre contre ce pays est une option alors qu’elle a déjà commencé depuis plusieurs années. La guerre de quatrième génération, théorisée par des stratèges étatsuniens dès octobre 1989, est devenu l’option belliqueuse pour affronter un peuple et un gouvernement 2. Ce nouveau type de guerre est multiforme, contre le peuple dans son ensemble, et non plus contre une armée.
Ce sont les leçons à en tirer par les États-Unis
Par Gareth Porter – Le 19 septembre 2019 – Source The American Conservative

Le succès retentissant de l’attaque par drone de samedi contre le principal centre de traitement des exportations pétrolières de l’Arabie saoudite a amené la crise iranienne à un nouveau tournant. Elle a démontré que l’Iran a la capacité de faire pression sur les États-Unis pour qu’ils mettent fin à leur guerre contre l’économie iranienne ou alors qu’il aura la volonté [et la capacité, NdT] de la faire passer à un niveau supérieur.