Le 6 juillet 2020 − Source german-foreign-policy.com
De nouvelles divergences voient le jour dans l’UE : Paris fait appel à une coopération accrue avec la Russie, et à une confrontation plus dure face à la Turquie.
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Le 6 juillet 2020 − Source german-foreign-policy.com
De nouvelles divergences voient le jour dans l’UE : Paris fait appel à une coopération accrue avec la Russie, et à une confrontation plus dure face à la Turquie.
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Par Chris Hamilton − Le 27 février 2020 − Source Econimica
La croissance annuelle de la population en âge de travailler constitue la base organique de la croissance de la consommation nationale, régionale et mondiale.
Cependant, depuis la Seconde Guerre mondiale, la politique des taux d’intérêt a évolué à l’inverse de la croissance annuelle de la population en âge de travailler, pour inciter à s’endetter toujours plus alors que la croissance de la population en âge de travailler a ralenti pour devenir nulle.
Par Nino Pagliccia − Le 26 juin 2020 − Source One World
Le document qui a fait l’objet de fuites est clairement présenté comme un « plan d’action » visant à évincer Lopez Obrador. Cela devrait se produire en deux étapes : tout d’abord, suivant un processus d’apparence démocratique en remportant les élections législatives de 2021, puis en mettant en œuvre un coup d’État parlementaire qui pourrait « destituer le président Lopez Obrador pour 2022 », deux années avant le terme de son mandat.
Par Cynthia Chung − Le 3 juin 2020 − Source Strategic Culture Foundation
Dans la première partie, nous nous sommes arrêtés à l’histoire du renversement du leader nationaliste iranien Mohammad Mosaddegh par le SIS-CIA en 1953. A ce moment, le Shah a pu rentrer en Iran depuis Rome et Fazlollah Zahedi, soutenu par les Britanniques, qui a joué un rôle majeur dans le coup d’État a remplacé Mosaddegh en tant que Premier Ministre de l’Iran.
Par Cynthia Chung − Le 23 mai 2020 − Source Strategic Culture Foundation
Dimanche dernier, le 17 avril, un différend entre l’Iran et les États-Unis s’est produit au sujet de la décision des États-Unis d’accroître leur présence militaire dans les eaux des Caraïbes et du Pacifique Est, la raison invoquée étant une campagne de lutte contre les stupéfiants.
… et, selon un rapport, continueront après, malgré les renflouements
Par Sharon Kelly – Le 16 avril 2020 – Source DeSmog
Les industries pétrolière, gazière et pétrochimique ont subi un coup financier massif à cause de la pandémie COVID-19, conclut un nouveau rapport du Centre pour le droit international de l’environnement (CIEL), mais ses difficultés financières ont précédé l’émergence du nouveau coronavirus et risquent de s’étendre loin dans le futur, au-delà de la fin des mesures visant à freiner la propagation de la maladie.
Par Sharon Kelly – Le 9 mars 2020 – Source DeSmog
Le prix du pétrole s’est effondré aujourd’hui en raison de la baisse de la demande énergétique et de la réaction mondiale à l’épidémie du nouveau coronavirus, puisque le nombre de cas confirmés de COVID-19 dans le monde a atteint plus de 113 000. Vendredi, les discussions se sont interrompues au sein de l’alliance dite OPEP+, qui comprend l‘Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ainsi que des pays non membres de l’OPEP comme la Russie.
Par Justin Mikulka – Le 3 avril 2020 – Source DeSmog
En même temps qu’une guerre des prix fait rage sur les marchés mondiaux du pétrole, une guerre des prix régionale se déroule dans les champs de schiste du Texas. La guerre du pétrole texan oppose les grandes compagnies pétrolières ExxonMobil et Chevron aux nombreux producteurs indépendants de pétrole de schiste.
Cela aurait-il pu être mieux géré ?
Par Andrei Martyanov − Le 10 avril 2020 − Source Reminiscence of the Future
Bien évidemment, pour commencer, les Saoudiens et les États-Unis auraient pu « s’accorder » sur les quotas entre eux pour épargner au marché pétrolier le choc sans précédent qu’il continue à subir. En fin de compte, le marché pétrolier EST un marché mondial. Mais c’est ce qu’il est et nous devons tous regarder la réalité de la situation, car une fois que la Russie est entrée en lice, il ne s’agissait plus seulement du prix du pétrole, mais du changement des règles de la production et du commerce mondial du pétrole. Et je veux dire un véritable changement. Ce changement s’est produit, comme prévu, parce que la question n’était pas de savoir COMMENT la Russie allait essuyer le sol avec les Saoudiens, c’était clair dès le départ, la question était de savoir COMMENT la Russie allait convaincre les États-Unis de « rejoindre le parti » et d’essayer de tenir parole.
En fin de compte, comme je l’ai pas dit mainte fois, les États-Unis sont pour la Russie un « partenaire » stratégique et une autre superpuissance pour laquelle des règles différentes s’appliquent. En d’autres mots, la Russie est un partenaire stratégique et une autre superpuissance pour laquelle des règles différentes s’appliquent : La Russie peut nuire aux États-Unis, mais elle n’est absolument pas intéressée à enterrer les États-Unis car elle comprend les conséquences catastrophiques d’un tel effondrement. Pour les Saoudiens, la Russie se moque de savoir si ce pays se désintègre ou s’il survit, les deux scénarios peuvent être gérés. Mais le pétrole, bien sûr, est une question distincte. La Russie voulait un cartel mondial, l’OPEP++, auquel les États-Unis se joindraient, ce qui signifie un changement radical du jeu, dans lequel les États-Unis ont des responsabilités, et pas seulement des intérêts. Eh bien, devinez quoi !? Continuer la lecture
Par Alastair Crooke − Le 20 avril 2020 − Source Strategic Culture
Certains se sont demandé comment le président Poutine pourrait coopérer avec le président Trump pour que l’OPEP + fasse monter les prix du pétrole – alors que ces prix plus élevés ne contribueraient qu’à soutenir la production de pétrole américaine. En fait, le président Poutine était invité à subventionner l’économie américaine – au détriment de ses propres ventes de pétrole et de gaz [et malgré les sanctions, NdT] – car la production de schiste américain n’est tout simplement pas rentable à ces prix. En d’autres termes, la Russie semblait se tirer une balle dans le pied.