Ce site antique qui remonte à l’an 705 a fait l’objet de destructions par des groupes extrémistes qui cherchent à effacer l’héritage musulman de Jérusalem à la poursuite d’ambitions coloniales et de la réalisation des prophéties de la fin des temps.
Par Whitney Webb − Le 24 juin 2019 − Source Mint Press News
L’emblématique Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa, situés sur le mont du Temple ou Haram el-Sharif, est le troisième site le plus saint de l’islam, il est reconnu dans le monde entier comme symbole de la ville de Jérusalem. Pourtant, cet ancien site qui remonte à l’année 705 est ciblé par des groupes extrémistes de plus en plus influents qui cherchent à effacer l’héritage musulman de Jérusalem à la poursuite des ambitions coloniales et de la réalisation des prophéties de la fin des temps.


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Imaginez le système politique bipartite américain comme deux trains de marchandises délabrés qui se dirigent l’un vers l’autre par d’anciennes voies négligées, sur une trajectoire de collision qui va durer un an. Y aura-t-il même deux partis pour l’élection de 2020 ?
Cela fait un moment que je n’ai pas publié de message d’invité, faute de bons candidats, mais 
La semaine dernière, un article que j’ai écrit il y a un an, « 
Selon les analyses de beaucoup de commentateurs intelligents et bien informés, une guerre entre les États-Unis et l’Iran pourrait éclater à tout moment. Leur preuve en faveur de ce point de vue consiste en quelques porte-avions américains qui sont censés être en route vers le golfe Persique, que l’Iran a menacé de bloquer en cas d’attaque. Pour ce faire, l’Iran n’aurait pas à faire quoi que ce soit de militaire ; il suffirait que ce pays menace d’attaquer certains pétroliers pour que leur couverture d’assurance soit annulée, les empêchant de charger leur cargaison ou de prendre la mer. Cela bloquerait les livraisons de près des deux tiers de tout le pétrole brut transporté par mer et causerait des dommages économiques vraiment stupéfiants – si stupéfiants que les économies pétrolières des pays importateurs de pétrole (et même de certains des pays exportateurs de pétrole) pourraient ne jamais s’en remettre.